Croire et oser

Bonjour et bienvenue.

A lire entre les lignes , tu es face à un conflit intérieur entre ce que tu appelles la peur et l'envie d'essayer autre chose.
Je ne suis pas sur que le terme peur soit pertinent , tu pourrais peut être considérer que tu n'es pas une tête brûlée , que tu réfléchis avant de te lancer, que tu étudies la ou les stratégies pour mettre ton projet en route où après étude l'abandonner.

Bonjour Pattard 3,
Merci de votre réponse, très judicieuse et pertinente en effet.
Je suis pourtant le premier à conseiller aux autres de sortir de leur zone de confort et je ne me l'applique pas à moi même, je cultive donc le paradoxe hihi.
Je penses que ce qui me manque c'est d'avoir la certitude que le "consultant" est vraiment en état de trans. Lors des formations, nos exercices ne m'ont pas permis d'acquérir cette certitude. En effet nous étions peut-être juste bienveillants avec les autres apprenants. Je n'ai moi-même pas eu l'impression d'être sous hypnose, juste écouter quelqu'un qui lit un script.
En tout cas, merci beaucoup pour votre réponse

On dit assez souvent qu il est pertinent d être salarié au départ, pour pouvoir bien apprendre après sa formation.

En hypnose, il y a besoin de franchir le pas plus vite, et on peut juste s entraîner bénévolement (si on n est pas dans le médical)

C est un sacré challenge.
Je verrai plus commencer par du bénévolat pour se faire la main et ensuite se lancer, une fois qu on est prêt

Personnellement c est de ne pas réussir à me faire de clientèle (enfin de ne pas vraiment dégager assez d argent pour vivre) qui me fait peur). Et des efforts qu il va falloir faire pour...
Exemple à 50 euros la consult pour qu il reste 1200 euros net par mois, combien de client faudra t il ? 50 consultations par mois est ce faisable ?

Avant cela il y a de se sentir légitime comme hypno et de se sentir pro et performant

Bonsoir jumb,
merci d'avoir pris de votre temps pour répondre à mon post.
je partage vos impressions. De plus avec l'émergence de plus en plus d'hypnothérapeutes, cela donne à réfléchir.
Et il n'y en à que peu qui en vivent, si ce n'est en activité complémentaire pour des psychologues, infirmiers libéraux, coach sportif, kiné, ... (personnes avec qui j'ai partagé mes formations)
Bonne soirée

Ce qu on peut faire c est développer un max sa pratique (trouver des volontaires), ensuite passer sur une activité complémentaire et plus si affinités. Se donner le temps de bien progresser et progressivement aller vers son but.

jumb à dit:

Ce qu on peut faire c est développer un max sa pratique (trouver des volontaires), ensuite passer sur une activité complémentaire et plus si affinités. Se donner le temps de bien progresser et progressivement aller vers son but.

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En effet , le problème est sans doute d'avoir de l'expérience. Il fut un temps où j'allais chez un médecin ostéopathe pratiquant l'ostéopathie crânienne ,on restait tout habillé, il mettait les mains à divers endroits du crane , dans la bouche , et on ressortait délivré de ses douleurs.
Il organisait chaque semaine des séances de formation de médecins dans un hopital parisien. A 75 ans il n'arrivait pas à trouver un remplaçant les gars issus de ses séances de formation auxquels il renvoyait ses patients n'avaient les mêmes dons que lui, les patients y allaient une fois , parfois deux , jamais plus.

Pour améliorer tes compétences en hypnose , tu pourrais devenir bénévole dans une ou des associations sportives , en commençant par faire n'importe quoi , le ménage , et un jour tu pourras mentionner que tu as des compétences en hypnose qui pourraient être utilisée dans le cadre de l'association, tu aurais moyen de pratiquer , et de voir les progrès ou non de ta pratique , plus qu'avec une patientelle , dans la mesure où les patients ne reviennent pas forcément , et où partant tu n'as pas de retour de ta pratique

Un détail surprenant , on voit des formations à l'hypnose qui prétendent qu'après Six mois de formation tu peux t'installer hypnothérapeute. C'est moins long que pour préparer le permis de conduire un semi remorque , et les entreprises canadiennes qui importent des chauffeurs de poids lourd leur demandent 5 ans de pratique .