Sclérose en plaques

Une seule fois, il y à longtemps au tout début de mon parcours.
Une jeune femme dans les 25/30 ans, elle avait à l'époque deux crises par an environ.
Des sortes de paralysie, comme des crampes devenant de plus en plus fortes et amples.
J'était chez elle pour une autre raison qu'un soin quand elle à fait une crise.
Tout le coté gauche comme tétanisé de plus en plus fort.
Sur le canapé, j'ai fait une séance l'amenant à ce concentrer sur ma voie puis à imaginer une eau fraiche et pure venant soulager son corps.
Une fois une relaxation (relative) obtenue, je lui ais suggérer qu'il était devenu inutile d'avoir mal et de se contracter.
Dans l' heure elle allait mieux et à pus manger avec nous (ses crises pouvait durer de 2 jours à une semaine) bien que très fatigué.
J'ai su par la suite que les 3 ou 4 mois suivant elle n'a pas eu de crise, mais ensuite je l'ai perdu de vue.
Donc cette expérience n'est pas très significative.

Bonjour , je travaille avec des personnes douloureuses chroniques, en général , avec l'anamnèse, je repère son besoin , son objectif prioritaire qui est parfois différent d'une personne à l'autre , pour certaines , ce sera le sommeil, d'autre se libérer des traumatismes, pour d'autre encore, lâcher prise il n' y a pas de règle, mais je travaille aussi beaucoup dans mes métaphores et dans la mise en transe avec les mots cachés : les douleurs s'estompent , disparaissent ....... ? J'aime bien aussi rajouter un peu de PNL : dans mes suggestions et action .
voilà, je voyais une patiente ravi cet après midi après ce type d'hypnose, ravie, " je n'ai plus de douleurs , elle souffre depuis des années d'une spondylarthrite ankylosante. Si ça peut vous aider, bonne chance

Effectivement lui demander ce qui l amène ou la gene en premier, faire un recadrage, puis travailler, ce peut être la douleur, ou toute autre chose,

Merci pour ces réponses très intéressantes. Actuellement cette personne a complète perdu confiance en elle. Elle culpabilise beaucoup parce qu'elle est très fatiguée, au bout du rouleau et a l'impression que personne ne comprend cette fatigue. Je croyais moi aussi devoir soulager ses douleurs mais après l'à anamnèse, voilà sa première demande.

donc travailler sur la confiance en elle,lui montrer combien elle gère bien ,sa maladie,son quotidien...
lui expliquer que sa maladie évolue par phases ,que la fatigue fait parti de son quotidien et du vôtre
lui faire verbaliser la plus petite choses qu'elle aimerait faire d'ici ce soir par exemple
en bref lui donner une bouffée d'oxygène,de l'énergie.....et voir ce qu'elle vous demande la prochaine fois