surderien
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Un bon principe d'auto-suggestion : "se sentir jeune" !
8)
Le Figaro indique en effet que « les personnes qui se considèrent âgées réussissent moins bien aux tests d'évaluation cognitive.
Et ont cinq fois plus de risques d'être diagnostiquées démentes »,
selon une étude rendue publique par le Dr Catherine Haslam et ses collègues de l'université d'Exeter (Royaume-Uni) à l’occasion de la première Conférence internationale sur l'identité sociale et la santé.
Le journal relève que « 68 volontaires âgés de 60 à 70 ans ont été recrutés pour cette étude
. Sans chercher à savoir s'ils se considéraient spontanément jeunes ou vieux, les chercheurs ont fait en sorte qu'ils se sentent vieux ou jeunes.
Comment ? En disant aux uns qu'ils faisaient partie d'un groupe de participants âgés de 40 à 70 ans et aux autres qu'ils faisaient partie d'un groupe de participants âgés de 60 à 90 ans ».
« Les chercheurs leur ont donné un texte à lire : soit un article traitant des effets de l'âge sur la perte de mémoire, soit des effets du vieillissement sur les capacités cognitives générales.
Les volontaires ont ensuite répondu à l'Addenbrooke's Cognitive Examination-Revised, l'un des nombreux tests reconnus pour le diagnostic de démence - mais pas le plus fréquemment employé en France », observe le quotidien.
Le Figaro constate que « 70% des personnes qui avaient été incitées à se sentir vieilles et, en plus, à croire que le vieillissement était associé à un déclin général des capacités ont rempli les critères du diagnostic de démence, contre 14% dans les autres groupes ».
Le Dr Catherine Haslam a déclaré que cette étude « montre que la manière dont nous percevons notre âge peut avoir un effet dramatique sur nos performances et que se voir comme «plus vieux» augmente significativement le risque de diagnostic de démence à l'issue de tels tests.
Cela souligne l'importance de prendre en considération l'attitude des personnes à l'égard de leur âge lorsqu'on les évalue ».
« Cela souligne également l'importance d'agir sur cette attitude pour éviter l'installation d'un cercle vicieux entre la perception négative de l'âge et le déclin cognitif », remarque pour sa part le Pr Alain Grand, professeur de santé publique et chercheur à l'Inserm (Toulouse).
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Le Figaro indique en effet que « les personnes qui se considèrent âgées réussissent moins bien aux tests d'évaluation cognitive.
Et ont cinq fois plus de risques d'être diagnostiquées démentes »,
selon une étude rendue publique par le Dr Catherine Haslam et ses collègues de l'université d'Exeter (Royaume-Uni) à l’occasion de la première Conférence internationale sur l'identité sociale et la santé.
Le journal relève que « 68 volontaires âgés de 60 à 70 ans ont été recrutés pour cette étude
. Sans chercher à savoir s'ils se considéraient spontanément jeunes ou vieux, les chercheurs ont fait en sorte qu'ils se sentent vieux ou jeunes.
Comment ? En disant aux uns qu'ils faisaient partie d'un groupe de participants âgés de 40 à 70 ans et aux autres qu'ils faisaient partie d'un groupe de participants âgés de 60 à 90 ans ».
« Les chercheurs leur ont donné un texte à lire : soit un article traitant des effets de l'âge sur la perte de mémoire, soit des effets du vieillissement sur les capacités cognitives générales.
Les volontaires ont ensuite répondu à l'Addenbrooke's Cognitive Examination-Revised, l'un des nombreux tests reconnus pour le diagnostic de démence - mais pas le plus fréquemment employé en France », observe le quotidien.
Le Figaro constate que « 70% des personnes qui avaient été incitées à se sentir vieilles et, en plus, à croire que le vieillissement était associé à un déclin général des capacités ont rempli les critères du diagnostic de démence, contre 14% dans les autres groupes ».
Le Dr Catherine Haslam a déclaré que cette étude « montre que la manière dont nous percevons notre âge peut avoir un effet dramatique sur nos performances et que se voir comme «plus vieux» augmente significativement le risque de diagnostic de démence à l'issue de tels tests.
Cela souligne l'importance de prendre en considération l'attitude des personnes à l'égard de leur âge lorsqu'on les évalue ».
« Cela souligne également l'importance d'agir sur cette attitude pour éviter l'installation d'un cercle vicieux entre la perception négative de l'âge et le déclin cognitif », remarque pour sa part le Pr Alain Grand, professeur de santé publique et chercheur à l'Inserm (Toulouse).
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