valikor
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-Réalité- à dit:valikor
je ne suis pas sûr que vous ayez tout saisi : je ne travaille une croyance que lorsqu'elle est forte émotionnellement. le but étant de la descendre à 3-4
En effet, je n’avais pas remarqué le signe « > » dans votre message. J’en déduis que si l’intensité n’est pas suffisante vous ne pouvez opérer directement sur le postulat ou la croyance erronée de la personne par votre méthode.
en pratique, dès que cela atteint 3-4 sur 10, la croyance a extrêmement peu d'effet. il est donc souvent inutile de descendre plus bas.
au dessus de 4, on peut pratiquement toujours trouver une/des origines.
cela reste à prouver ... corrélation ne vaut pas causalité. (ca vaut pour moi aussi)
Les pistes sont nombreuses pour ce qui concerne l’anxiété. On pense à une hypersensibilité des amygdales cérébrale, des déséquilibres chimiques, un disfonctionnement au niveau de l’hippocampe…mais, pour l’heure, c’est vrai, rien de vraiment déterminé. Il n’en reste pas moins que le nouveau-né n’est pas une tabula rasa et qu’il existe des individus par nature plus émotifs ou plus peureux que d’autres.
cela reste à prouver. comme l'expérimentateur fait partie de l'expérience et qu'un bébé est sensible aux personnes qui l'entoure, cela pourrait être en fait les réactions du bébé, en miroir, face à l'anxiété de l'expérimentateur...
après il se peut qu'une mère anxieuse ait par le biais de ses hormones influencé le développement du bébé... ce ne serait pas génétique mais dû au contexte.
cela reste aussi à démontrer.