Bien d'accord !
À mon humble avis, toutes les écoles, de tous les pays et ce dans n'importe quel discipline de médecine alternative, devraient être reconnues et règlementées. C'est le meilleur moyen de s'assurer que les thérapeutes savent ce qu'ils font. Chez nous ils ont le cerveau un peu mou. Ils se plaignent que les citoyens leur coutent chère en soin, mais ils n'accepte pas qu'on puisse les aider à être en bonne santé. En fait c'est l'industrie pharmaceutique qui aurait trop à perdre. Un être qui est en harmonie avec lui-même n'a pas besoin de prendre des antidépresseurs.
Par contre, ils ne ferment pas les cliniques pour autant. N'est-ce pas une bonne source de revenu d'impôt ? Seulement, si un individu devait souffrir d'un quelconque trouble à la suite d'une thérapie, il rejetterait rapidement le blâme sur le thérapeute. Pourtant, la médecine fait un nombre incalculable d'erreur de diagnostique et de prescription, mais bon... Personnellement, je souhaiterais que les écoles soient surveillées. Parce qu'ils faut se le dire, chez nous, n'importe qui peut enseigner n'importe quoi. Ils y vont avec leur école de pensé.
Mise à part une personne qui avait réussi à me déjouer, je n'ai jamais laissé partir un client de mon bureau avant de m'être assurée que le ou les évènements qu'il venait de revivre avaient été nettoyés totalement. Parce que oui ça peut être dangereux. C'est ce que j'ai appris. Mais j'ai malheureusement entendu dire que ce n'était pas une pratique courante. Imaginez qu'un personne ait commis un meurtre, mais que son cerveau l'ai occulté. La seule révélation de son acte avec toutes les émotions que ça peut engendrer est suffisant pour que la personne se suicide en sortant, si le nettoyage n'a pas été fait.
Remarquez qu'aujourd'hui les cliniques qui pratique la régression d'évènement sont devenu rare. C'est plutôt l'imagerie mental et la programmation qui sont utilisés et c'est bien comme ça. Mais c'est important d'avoir des professeurs compétant, qui n'enseignent pas seulement dans un seul but lucratif. Vous avez de la chance que votre gouvernement soit plus ouvert que le nôtre.