Comment rendre une recherche d'emploi "agréable" ou "positive" ?

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jumb

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Un jour, une amie m'a confiée que le sujet sur lequel un "psy" ne pouvait venir en aide à quelqu'un, c'est sur sa recherche d'emploi et sur sa gestion des refus, des non-réponses, anxiété, dévalorisation etc... découlant de cette situation. Je parle des personnes qui n'ont plus d'emploi (pas chercher un autre travail)

Quelles idées vous viendraient à ce propos ? (pour que la personne puisse bien vivre cette étape ou disons pas trop mal)
 
Jeanefraise

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Merci lisons pour votre post et son contenu. Effectivement, nous sommes à un tournant. l argent , les profits (toursjours plus de pofits ) tuent les droits ,les salaires, le respect et les conditions de vie des travailleurs

Effectivement c'est du massacre, alors pour revenir à la question de départ, pour rendre la recherche de emploi plus agréable il faudrain pouvoir se regrouper et travailler à plusieurs, se serait plus motivant, mais là encore aucune structure n existe, mis à part quelques rares associations qu il faut savoir dénicher soit même .

Pour avoir été régulièrement au pôle emploi de chez moi, j ai remarqué que les ordinateurservices sont en station debout, donc pas de chaise pour y travailler, comme pour éviter que les on s y attarde trop longtemps !, une aberration celon moi et comme cet endroit sert aussi d accueil aux ''visiteurs ", on ne peut pas communiquer avec les gens ni s entre aider.
 
Jeanefraise

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Lorsque vous avez ramé (je veux dire 35 À 40 heure de recherche de emploi par semaines), à près de 50 ans pour trouver un emploi, que vous avez "empêché'' votre famille de vivre pleinement (je veux dire par là que nous avons du freiné nos dépenses en particulier loisirs et congés )
Et que vous connaissez les questions des recruteurs sur votre soit disant instabilité professionnelle, vous éprouvez le besoin de retrouver votre "calme'., en prenant un poste avec une certaine stabilité, même si ce n'est est pas la panacée.

Le chômage fait mal à la famille et surtout au chômeur, mal psychologiquement et cela prend du temps de se retrouver.
J'ai tenté ensuite , à deux reprises pour des offres qui me corrépondaient vraiment (et pour moi cas elle se font rares) et cela n à pas fonctionné.

Je ne peux plus me permettre de mettre en danger ma famille et mon couple

Très non 14 juillet à vous , vive notre france , et nos valeurs.
 
Nossolar

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Et je te jure que c'est super triste parce que parfois cette non mise en relation stupide peut engendrer des non rencontre qui aurait pu être hyper géniale.
Je n'ai pas dit que cela était une partie de plaisir et encore moins que c'est facile de trouver un job, c'est sans doute le même genre de difficulté quand on est célibataire et que l'on arrive pas a trouver son âme sœur...
Pour les annonces ont peut aussi aller voir sur les sites des employeurs, je viens d'aller faire un tour sur le site de mon employeur, 10 postes à pourvoir.

La question qui me vient, qu'est ce que vous imagineriez plus difficile que le fait de devoir retrouver un travail ?
Il y en a malheureusement beaucoup: perdre une personne subitement, perdre ses enfants, devoir être amputé d'un membre, être victime d'erreur judiciaire et que cela te suive dans les recherche pour trouver un job, il y en a encore d'autres mais bon est-ce utile de comparer de qui est le plus difficile à faire ?

Tu sais à 15 ans j'ai stoppé mes études, à 16 ans je bossais, à 20 ans mon boss ne voulait pas m'engager comme ouvrier alors que j'avais fini mon contrat d'apprentissage, il voulait que je fasse encore 2 années d'études, à 20 ans je n'ai pas été d'accord je suis parti du jour au lendemain. Ce jour là j'ai pris un risque, le risque de vouloir faire ce que je voulais.

Bien sur en trouvant un nouveau job je suis passé par des phases que je ne voulais pas trop (comme travailler en pause, être dans un environnement que j'avais dur a maîtriser) mais bon faut être réaliste la vie n'est pas un fleuve tranquille....la chose que nous pouvons faire est d'être le meilleur capitaine de son bateau.
 
jumb

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Je n'ai pas dit que cela était une partie de plaisir et encore moins que c'est facile de trouver un job, c'est sans doute le même genre de difficulté quand on est célibataire et que l'on arrive pas a trouver son âme sœur...

Perso, j'ai émis le voeux de trouver un job aussi sympa que mon âme-soeur ( l'âme soeur je l'ai trouvée). Mon job actuel est très sympa ( sauf qu'il s'arrête le 10 septembre, la personne que je remplace souhaitant revenir (lol, je comprends). Il faut être patient néanmoins... pour trouver... et refaire une séance d'auto-hypnose (peut-être)

Pour les annonces, on peut aussi aller voir sur les sites des employeurs, je viens d'aller faire un tour sur le site de mon employeur, 10 postes à pourvoir.
Oui, c'est un basique. On peut rechercher aussi par compétences ( par exemple en tapant "anglais" si on le pratique bien et sortent tous les jobs où est cherché une personne où cette compétence est nécessaire)

Il y en a malheureusement beaucoup: perdre une personne subitement, perdre ses enfants, devoir être amputé d'un membre, être victime d'erreur judiciaire et que cela te suive dans les recherche pour trouver un job, il y en a encore d'autres mais bon est-ce utile de comparer de qui est le plus difficile à faire ?

Pour toi, il y en a beaucoup, donc bon signe. Pour une personne en difficulté à ce niveau, elle ne verra peut-être pas du "pire".
Ca peut servir à relativiser, car si tu regardes c'est qui est mieux et que tu ne peux l'atteindre, il peut y avoir un coté frustrant.

Ce jour là j'ai pris un risque, le risque de vouloir faire ce que je voulais.
La dimension du risque est présente, dès qu'il y a un choix. Bref, dès qu'on accepte un poste, il y a le risque de toute façon, à prendre ou à ne pas prendre. Il s'agit sans doute de réfléchir au risque que l'on est capable de prendre. Qu'est-on prêt à faire pour payer ses factures ?
Peut-on réduire son train de vie ? Combien de temps, on souhaite travailler ? Combien gagner ? dans quoi ? dans quelle ambiance ? Ma famille, elle en dit quoi ? (etc...)

Dernièrement, il y en a où je n'ai pas donné suite (le recruteur non plus) car j'ai perçu à l'entretien que ça ne pourrait aller ( j'aurais déprimé, le niveau d'emploi étant vraiment catastrophique, ainsi que le salaire, donc j'ai renoncé). Pour Jeanefraise, je pense qu'il faut néanmoins se laisser un petit espace de choix (au moins un petit pour pas être trop à coté de sa vie)
 
jumb

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Que voulez vous dire par petit espace de choix.

Par espace de choix, j'entends que si par exemple chaque matin, on se lève en n'ayant aucune envie d'aller au travail durant une période assez longue, de se laisser une porte de sortie, de pouvoir changer cette situation. Changer de métier, même s'il y a une part de risque, négocier avec ses proches, trouver des solutions alternatives etc... bref garder une certaine liberté. (même si elle peut être compliquée parfois à garder).
 
Jeanefraise

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Merci jumb pour votre réponse,
J'ai fait une formation en 2012, pour un autre métier. J'ai obtenu mon diplôme , mais cela na pas porté ses fruits.alors j'ai appris à me contenter. Mon travail viens d évoluer car je suis devenue asthmatique avec un peu d'emphysème (je supecte mon travail d ouvrière d en être à l origine, vu que je n'ai jamais fumée) du coup je ne peux plus faire de travail de production. Je fais désormais du contrôle. Voilà j'ai je pense tellement tenté et fait de choses, maintenant je laisse aller.
 
Jeanefraise

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Une fatalité ,peut être oui, on peut appeler ça comme on veut. J'avais l'impression que tout capotait et effectivement tout allait de travers.je savais que je devais attendre que la roue tourne et j'ai attendu sans être passive en essayant de trouver des solutions, en donnant le meilleur se moi même.
Maintenant je suis en paix , je me connais mieux , l'humain également, et les relations interpersonnellesociales aussi.
 
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