Bonjour à tous
La contagiosité du covid 19 parait importante au départ de sa diffusion mais il faut bien considérer le phénomène de rattrapage avec une mortalité l'année dernière inférieure à la moyenne et semble-t-il, une faible mortalité due à la grippe cette année.
Nous avions donc un "réservoir" de malades fragiles avec certainement un potentiel énergétique vital réduit qui les a prédisposés au développement du Covid 19 avec de graves conséquences.
Maintenant que la première vague est passée, on devrait constater une petite recrudescence à partir du 11 mai avec un maxi très limité mais il faut tenir compte aussi de ce qui s'est passé pendant le confinement.
La crainte, selon moi, c'est l'apparition et la continuité avec aggravation , pendant le confinement, d'un certain nombre de pathologies qui vont augmenter le risque de sensibilité au virus. Il faut y ajouter les dégâts dus au stress.
Un autre problème à considérer: l'impossibilité, aux magnétiseurs et autres praticiens, officiels ou non, d'exercer pendant le confinement. Le nombre de personnes souffrant actuellement, par exemple, de douleurs post zostériennes doit être considérable avec un virus actif et donc un potentiel énergétique vital bien inférieur à celui nécessaire, ce qui devrait malheureusement permettre au Covid 19 de se développer.
Si j'ai bien compris, le nombre de lits comme critère pour rester en rouge correspond à une occupation de plus de 80% par rapport à la normale ce qui laisse donc de la marge pour y faire face si on est pas trop au-dessus.
Au sujet de la sensibilité, de la contagiosité, de la notion de porteur sain et même malade: J'ai été atteint par une hépatite B sans m'en apercevoir et guéri sans traitement. Il doit donc y avoir une très grande majorité qui ne vont même pas s'apercevoir d'avoir été en contact avec le Covid 19, leur organisme ayant la capacité de le neutraliser dès sa présence.
Comme depuis le début de cette pandémie, on navigue à vue en se servant de l'historique et des hypothèses. On peut quand même être optimiste si on regarde les courbes d'évolution et les chiffres, par exemple à l'IHU Méditerranée Infection:
1% de positifs parmi les personnes nouvellement testées donc s'étant présentées pensant être atteintes ou envoyées par un médecin à comparer au maxi de 22%
au plus fort de la pandémie. Ce qui, en considérant la totalité de la population, revient à un pourcentage de positifs quasi nul.