C
Carrère
Membre
- messages
- 22
- Points
- 1 690
Bonjour à tous,
Je ne sais comment attaquer ce post. Pour résumer, j'ai pris un Rdv pour une séance de thérapie brève sous hypnose, sous un vague prétexte de corps résistant à de nombreuses années de diététiques. Le vrai motif était de jouer le cobaye pour deux copines qui avaient peur tout en désirant tester l'hypnose pour des phobies, pour l'une et un arrêt de tabac pour l'autre. :wink:
Toujours est-il qu'arrivée au cabinet ( un domicile en fait), l'hypnothérapeute m'ouvre la porte et là je me dit : " Bon ok, t'es foutue !" :shock:
Concrètement, comme si on était frappé par la foudre, une bouffée de chaleur, les jambes qui tremblent, des papillons dans le ventre et une irrépressible envie de sourire !
La séance se passe pendant laquelle je n'avais qu'une préoccupation, c'était de m'empêcher de lui arracher sa chemise et de tout verrouiller pour qu'il ne se rende compte de rien (ce que j'ai très bien réussi d'ailleurs !).
Le problème c'est que le renoncement augmenté d'une hypnose m'a déclenché une vieille crise de la quarantaine où j'ai vu défiler tous mes renoncements passés avec des symptomes sympa comme la mélancolie, l'insomnie, la perte d'appétit... :?
Je vais en traînant les pieds à la seconde séance en espérant retrouver au moins le sommeil à l'issue, mais comme je l'avais prévu, je repars fracassée de l'avoir revu et d'avoir passé une heure à renoncer à lui.
Depuis, il s'est enquit de savoir si j'allais mieux. Il n'a rien vu, rien compris et je ne sais pas si je dois au moins l'informer de la cause réelle de mon état malgré l'hypnose.
Que me conseillez-vous ?
Je ne sais comment attaquer ce post. Pour résumer, j'ai pris un Rdv pour une séance de thérapie brève sous hypnose, sous un vague prétexte de corps résistant à de nombreuses années de diététiques. Le vrai motif était de jouer le cobaye pour deux copines qui avaient peur tout en désirant tester l'hypnose pour des phobies, pour l'une et un arrêt de tabac pour l'autre. :wink:
Toujours est-il qu'arrivée au cabinet ( un domicile en fait), l'hypnothérapeute m'ouvre la porte et là je me dit : " Bon ok, t'es foutue !" :shock:
Concrètement, comme si on était frappé par la foudre, une bouffée de chaleur, les jambes qui tremblent, des papillons dans le ventre et une irrépressible envie de sourire !
La séance se passe pendant laquelle je n'avais qu'une préoccupation, c'était de m'empêcher de lui arracher sa chemise et de tout verrouiller pour qu'il ne se rende compte de rien (ce que j'ai très bien réussi d'ailleurs !).
Le problème c'est que le renoncement augmenté d'une hypnose m'a déclenché une vieille crise de la quarantaine où j'ai vu défiler tous mes renoncements passés avec des symptomes sympa comme la mélancolie, l'insomnie, la perte d'appétit... :?
Je vais en traînant les pieds à la seconde séance en espérant retrouver au moins le sommeil à l'issue, mais comme je l'avais prévu, je repars fracassée de l'avoir revu et d'avoir passé une heure à renoncer à lui.
Depuis, il s'est enquit de savoir si j'allais mieux. Il n'a rien vu, rien compris et je ne sais pas si je dois au moins l'informer de la cause réelle de mon état malgré l'hypnose.
Que me conseillez-vous ?