HYPNOMED
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Un afférent émotionnel déclenche un orage vasomoteur : une décharge de substances chimiques dans le cerveau et dans le sang qui aboutissent d’une part à rougeur et dilatation, et qui d’autres part bloquent les possibilités « normales » intellectuelles du cerveau qui ne peut pas prendre le contrôle sur l’ émotionnel. Voilà ce qu'on peut décrire chez Boul
Un tout autre parallèle dans le craving de l’addict : l’afférent « absence de whisky » le manque, déclenche tremblement, hypertension, transpiration et rougeur.
Et idem chez ce même addict, la vision d’une bouteille de whisky qu’on lui interdirait de boire ( le fait de lui interdire de boire en disant que c’est toxique pour lui) déclenche les mêmes effets
Et commencer à boire la bouteille de whisky déclencherait aussi des phénomènes émotionnels du même type, qui l’amèneraient à boire toute la bouteille et plus. Qu’il boive ou qu’il ne boive pas, il est piégé dans une boucle émotionnelle qui le coupe d'une analyse intellectuelle de contrôle
Cela pour dire que quand le mode émotionnel est activé, le mode analytique n'arrive plus à reprendre le contrôle
Et pire, que le piège émotionnel continue alors : en croyant quitter l’émotionnel…
et pouvoir parler en public sans stress et sans rougir, on consomme alors …
de l’alcool = et le piège en boucle continue…
Inversement lorsque le mode analytique intellectuel est activé, les afférences émotionnelles sont bloquées
L’intolérance est totale à l’alcool par la prohibition formelle
L’impassibilité de celui qui reste de marbre quand un but est marqué au foot
Ce qui expliquerait l’inaccessibilité à l’hypnose, tant chez l’hyper-intellectuel activé que chez l’hyper-émotionnel activé,
sans une incongruence dissociative préalable qui, par une sidération du système « emballé »accède à la régulation des deux :
Cerveau gauche / cerveau droit
Néocortex intellectuel / Striatum sous cortical émotionnel
A suivre…
Un tout autre parallèle dans le craving de l’addict : l’afférent « absence de whisky » le manque, déclenche tremblement, hypertension, transpiration et rougeur.
Et idem chez ce même addict, la vision d’une bouteille de whisky qu’on lui interdirait de boire ( le fait de lui interdire de boire en disant que c’est toxique pour lui) déclenche les mêmes effets
Et commencer à boire la bouteille de whisky déclencherait aussi des phénomènes émotionnels du même type, qui l’amèneraient à boire toute la bouteille et plus. Qu’il boive ou qu’il ne boive pas, il est piégé dans une boucle émotionnelle qui le coupe d'une analyse intellectuelle de contrôle
Cela pour dire que quand le mode émotionnel est activé, le mode analytique n'arrive plus à reprendre le contrôle
Et pire, que le piège émotionnel continue alors : en croyant quitter l’émotionnel…
et pouvoir parler en public sans stress et sans rougir, on consomme alors …
de l’alcool = et le piège en boucle continue…
Inversement lorsque le mode analytique intellectuel est activé, les afférences émotionnelles sont bloquées
L’intolérance est totale à l’alcool par la prohibition formelle
L’impassibilité de celui qui reste de marbre quand un but est marqué au foot
Ce qui expliquerait l’inaccessibilité à l’hypnose, tant chez l’hyper-intellectuel activé que chez l’hyper-émotionnel activé,
sans une incongruence dissociative préalable qui, par une sidération du système « emballé »accède à la régulation des deux :
Cerveau gauche / cerveau droit
Néocortex intellectuel / Striatum sous cortical émotionnel
A suivre…