yapafoto
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Bonjour je suis anesthésiste, j'ai une formation des bases d'hypnoses Ericksonienne et de pnl, 1 stage pratique et surtout beaucoup de lectures!
J'essaye de pratiquer cet art le plus quotidiennement possible .
Je suis néanmoins confronté à plusieurs difficultés techniques.
Tout d'abord outre mon manque d’expérience (pour l’instant ;-), mon apprentissage faite par des psychothérapeutes ,qui est certes sérieuse de qualité, est plutôt faite pour un usage en cabinet de psychothérapie .
Ma pratique quotidienne s'effectuant principalement aux bloc opératoire avant une induction médicamenteuse ou en obstétrique avant la pose d'une péridurale, rarement en consultation ou mon objectif est l'évaluation du patients et çà prises en charge périopératoire.
Contextuellement, il m'est (pour l'instant peut être ) difficile de parlé d'hypnose à mes patients ,mon objectif premier est la prise en charge anesthésique et non de proposer de l'hypnose au bloc opératoire .
Le facteur temps et l'organisation d'un bloc s'y prête difficilement .
L'hypnosédation... Je pense en faire tout les jours !
Néanmoins hypnotiques et morphiniques aidant...Certes...Je gagne toujours a la fin ! Mais comment faires vraiment la différence entre les 2 types d'inductions
Par Contre l'hypnose dites conversationnelle associées ou non à des techniques d'induction rapide me parait s'y prêté beaucoup plus !
Il reste que j'ai du mal a faire la différence entre les techniques "classique" d'induction Ericksonienne (milton modèle saupoudrage synchronisation utilisation des prédicats du vakog etc…) et l’hypnose conversationnelle ?
J'ai lu qu'il fallait être rapide et s'adapter aux creux ultradien ! Comment le reconnaît t'on ?
Et qu’est ce qu’une technique d’induction rapide ? ce que j’en est vue , ressemble à de l’hypnose NE et me semble plutôt « agressive » ou du moins incisives et plus adaptée à un spectacle avec des patient préparer a ce type d’entrée en transe qu’a des patients en stress préopératoire ou algique!
Néanmoins si je pouvait les adaptés cette pratique d’interruption de patterns pour une prise en charge d’une douleur aigue en complément d’une analgésie locorégionnal ou intraveineuse incomplète
J'e n'est malheureusement pas "encore" ces pratiques et je cherche des référence ou/ et un enseignement ainsi qu'un échange sur ces pratiques.
Merci par avances
J'essaye de pratiquer cet art le plus quotidiennement possible .
Je suis néanmoins confronté à plusieurs difficultés techniques.
Tout d'abord outre mon manque d’expérience (pour l’instant ;-), mon apprentissage faite par des psychothérapeutes ,qui est certes sérieuse de qualité, est plutôt faite pour un usage en cabinet de psychothérapie .
Ma pratique quotidienne s'effectuant principalement aux bloc opératoire avant une induction médicamenteuse ou en obstétrique avant la pose d'une péridurale, rarement en consultation ou mon objectif est l'évaluation du patients et çà prises en charge périopératoire.
Contextuellement, il m'est (pour l'instant peut être ) difficile de parlé d'hypnose à mes patients ,mon objectif premier est la prise en charge anesthésique et non de proposer de l'hypnose au bloc opératoire .
Le facteur temps et l'organisation d'un bloc s'y prête difficilement .
L'hypnosédation... Je pense en faire tout les jours !
Néanmoins hypnotiques et morphiniques aidant...Certes...Je gagne toujours a la fin ! Mais comment faires vraiment la différence entre les 2 types d'inductions
Par Contre l'hypnose dites conversationnelle associées ou non à des techniques d'induction rapide me parait s'y prêté beaucoup plus !
Il reste que j'ai du mal a faire la différence entre les techniques "classique" d'induction Ericksonienne (milton modèle saupoudrage synchronisation utilisation des prédicats du vakog etc…) et l’hypnose conversationnelle ?
J'ai lu qu'il fallait être rapide et s'adapter aux creux ultradien ! Comment le reconnaît t'on ?
Et qu’est ce qu’une technique d’induction rapide ? ce que j’en est vue , ressemble à de l’hypnose NE et me semble plutôt « agressive » ou du moins incisives et plus adaptée à un spectacle avec des patient préparer a ce type d’entrée en transe qu’a des patients en stress préopératoire ou algique!
Néanmoins si je pouvait les adaptés cette pratique d’interruption de patterns pour une prise en charge d’une douleur aigue en complément d’une analgésie locorégionnal ou intraveineuse incomplète
J'e n'est malheureusement pas "encore" ces pratiques et je cherche des référence ou/ et un enseignement ainsi qu'un échange sur ces pratiques.
Merci par avances