Couchetard22
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Joug.
Dans notre culture occidentale, le joug est perçu et compris comme une contrainte matérielle ou morale. Cà pèse sur notre cou et nos épaules...
Dans d’autres cultures, le joug est considéré sous l’angle de sa fonctionnalité qui est de ré-unir les forces. Ainsi, on retrouve le “joug” dans la racine du mot “yoga”.
Dans l’inconscient collectif Judéo-Chrétien, avoir été éjecté du paradis a des conséquences que l’on peut constater, aussi bien au plan personnel, notre être est plus ou moins morcelé, que dans la société que nous contribuons tous et toutes (et réciproquement...) à créer, valider et maintenir.
Jusque dans notre façon de percevoir le monde, d’organiser notre être (concept qui me semble assez flou, ce qui a des conséquences...), nous “fonctionnons” en mode séquentiel, un pied après l’autre, exemple que certains reconnaîtront, lorsqu’on lit, on entend plus rien du monde qui nous entoure. Et c’est la même chose pour chacun de nos sens, nous fermons les yeux pour mieux déguster ou entendre, etc...
Si nous morcelons notre perception, il n’y a rien d’étonnant à ce que notre représentation du monde le soit également, d’où notre “sentiment” de séparation qui peut aller jusqu’au sentiment de solitude le plus exacerbé.
Est-ce que la question “ qui sommes-nous en essence”, comme on dit à l’OPEP, apporte des éléments de réponses, une piste? Mon expérience ma amené à comprendre que cette approche était trop directe, abrupte, sans doute parce que nous réagissons le plus souvent dans la logique du “pourquoi” alors que le “comment” est bien souvent plus efficace.
Donc, qu’est-ce qui fait de nous des miroirs plus ou moins brisés? Je vous le demande! Voulez-vous jouer avec moi au trappeur/traqueur afin de retrouver et suivre la piste qui nous conduira peut-être vers cette unité qualifiée d’harmonieuse?
Dans notre culture occidentale, le joug est perçu et compris comme une contrainte matérielle ou morale. Cà pèse sur notre cou et nos épaules...
Dans d’autres cultures, le joug est considéré sous l’angle de sa fonctionnalité qui est de ré-unir les forces. Ainsi, on retrouve le “joug” dans la racine du mot “yoga”.
Dans l’inconscient collectif Judéo-Chrétien, avoir été éjecté du paradis a des conséquences que l’on peut constater, aussi bien au plan personnel, notre être est plus ou moins morcelé, que dans la société que nous contribuons tous et toutes (et réciproquement...) à créer, valider et maintenir.
Jusque dans notre façon de percevoir le monde, d’organiser notre être (concept qui me semble assez flou, ce qui a des conséquences...), nous “fonctionnons” en mode séquentiel, un pied après l’autre, exemple que certains reconnaîtront, lorsqu’on lit, on entend plus rien du monde qui nous entoure. Et c’est la même chose pour chacun de nos sens, nous fermons les yeux pour mieux déguster ou entendre, etc...
Si nous morcelons notre perception, il n’y a rien d’étonnant à ce que notre représentation du monde le soit également, d’où notre “sentiment” de séparation qui peut aller jusqu’au sentiment de solitude le plus exacerbé.
Est-ce que la question “ qui sommes-nous en essence”, comme on dit à l’OPEP, apporte des éléments de réponses, une piste? Mon expérience ma amené à comprendre que cette approche était trop directe, abrupte, sans doute parce que nous réagissons le plus souvent dans la logique du “pourquoi” alors que le “comment” est bien souvent plus efficace.
Donc, qu’est-ce qui fait de nous des miroirs plus ou moins brisés? Je vous le demande! Voulez-vous jouer avec moi au trappeur/traqueur afin de retrouver et suivre la piste qui nous conduira peut-être vers cette unité qualifiée d’harmonieuse?