corfinas
Membre
- messages
- 1 105
- Points
- 5 110
- Localisation
- Lyon
Hello,
Je voulais vous faire part d'une de mes réflexions de ce début de semaine.
Les esprits chagrins trouveront que je défonce une porte ouverte mais le ressenti de l'expérience est suffisamment intense pour que je prenne ce risque.
Mercredi dernier, j'étais fatigué, à plat, vidé ... et en fait ça durai depuis plusieurs semaines/mois, pas de vacances, trop d'activités, coucher trop tard, lever trop tôt, etc ... et du coup je me trainais le moral en berne, je me disais qu'il fallait que je retourne consulter, que ma vie partait en vrille etc ...
Et en ce we de l'ascension prolongé avec le pont pour ma part, j'ai fais un truc sensé: je me suis reposé.
C'est à dire que j'ai dormi 44heures en 4 nuits.
Et du coup lundi j'ai trouvé le monde complétement différent !
Le moral est remonté, naturellement !
Pendant mon we, j'ai également regardé koh-lanta (la version française de survivor), eux, ils sont vraiment, vraiment fatigués, ils pleurent en voyant des croissants, s'énervent ou s'effrayent pour des trucs délires, bref ils sont défoncés, on dirait qu'ils ont bu.
Je me suis également rappelé avoir lu qu'il y a une cinquantaine d'année l'alcool était considéré comme une circonstance atténuante dans les accidents de la route.
Donc ma réflexion de ce début de semaine est que, dans une certaine mesure la fatigue peut être considéré comme une drogue.
Et ainsi cela ouvre des portes de traitement de la fatigue chronique par exemple.
Les points communs avec une drogue ?
- changement de perception de la réalité (voir koh-lanta)
- fuite des responsabilités (je peux pas, je suis crevé) et possible sentiment de sécurité qui en découle
Pour bien saisir le dernier point, je vous remets une citation :
Notre peur la plus profonde
n'est pas que nous ne soyons pas à la hauteur,
notre peur la plus profonde
est que nous sommes puissants au-delà de toutes limites.
C'est notre propre lumière
et non notre obscurité qui effraye le plus.
Que pensez vous de tout ça ?
a+
Je voulais vous faire part d'une de mes réflexions de ce début de semaine.
Les esprits chagrins trouveront que je défonce une porte ouverte mais le ressenti de l'expérience est suffisamment intense pour que je prenne ce risque.
Mercredi dernier, j'étais fatigué, à plat, vidé ... et en fait ça durai depuis plusieurs semaines/mois, pas de vacances, trop d'activités, coucher trop tard, lever trop tôt, etc ... et du coup je me trainais le moral en berne, je me disais qu'il fallait que je retourne consulter, que ma vie partait en vrille etc ...
Et en ce we de l'ascension prolongé avec le pont pour ma part, j'ai fais un truc sensé: je me suis reposé.
C'est à dire que j'ai dormi 44heures en 4 nuits.
Et du coup lundi j'ai trouvé le monde complétement différent !
Le moral est remonté, naturellement !
Pendant mon we, j'ai également regardé koh-lanta (la version française de survivor), eux, ils sont vraiment, vraiment fatigués, ils pleurent en voyant des croissants, s'énervent ou s'effrayent pour des trucs délires, bref ils sont défoncés, on dirait qu'ils ont bu.
Je me suis également rappelé avoir lu qu'il y a une cinquantaine d'année l'alcool était considéré comme une circonstance atténuante dans les accidents de la route.
Donc ma réflexion de ce début de semaine est que, dans une certaine mesure la fatigue peut être considéré comme une drogue.
Et ainsi cela ouvre des portes de traitement de la fatigue chronique par exemple.
Les points communs avec une drogue ?
- changement de perception de la réalité (voir koh-lanta)
- fuite des responsabilités (je peux pas, je suis crevé) et possible sentiment de sécurité qui en découle
Pour bien saisir le dernier point, je vous remets une citation :
Notre peur la plus profonde
n'est pas que nous ne soyons pas à la hauteur,
notre peur la plus profonde
est que nous sommes puissants au-delà de toutes limites.
C'est notre propre lumière
et non notre obscurité qui effraye le plus.
Que pensez vous de tout ça ?
a+