Bonjour,
Voilà une métaphore que j'ai construit sur le sujet "L'apprentissage et facile et motivant"
Elle curieusement fonctionnée sur quelqu'un qui avait des vertiges physiques.. Comment ??
La personne ne pouvait par marcher sur un pont, et puis curieusement après lui avoir livré cette métaphore, elle à fait une course à pieds quelques jours plus tard, dont le tracé emprunteé un pont ferrovière..
Elle m'a racontée qu' au moment ou elle arriver à ce pont, elle était en tête de course.. puis lorsque le pont c'est présenté, elle a ralentie sa cadence..et puis elle c'est faite doublée par deux autres concurents, puis finallement à repris son rythme de course, et sans ce poser la question elle a traversée ce pont.
Curieusement elle a finie sa course troisième, mais quand elle m'a racontée son histoire, j'ai étais agréablement surpris de son assurance..
Peut-être ou peut-être pas, que cette métaphore fonctionne aussi pour le vertige dans certain cas.. A vous de me le dire..
A vous lire..
Merci
C’est comme cette histoire, que l’on m’a raconté
… Il était une fois, dans une contrée inconnue et sauvage, une couvée de 3 jeunes oisillons qui étaient nés dans un magnifique arbre très haut et très fort… c’était un arbre fier et robuste avec de belle proportion qui trônait sur un sommet d’un piton rocailleux… au plus profond d’une forêt... Et tout au sommet de cet arbre on pouvait découvrir toute l’immensité de la foret qui s’offrait à perte de vu,
Tandis que les jours de grand beau temps, on pouvait apercevoir quelques fois, maintenant le reflet de la mer tout au loin... que de beau moment d’émotion…
Il y avait ce joli oisillon qui était le 2eme nait d’une couvée de 3 œufs... Il n’était pas le plus fort de sa fratrie, mais il était tout de même très vif et très beau..
Et comme chaque jour, lorsque l’aurore naissait, le soleil apparaissait avec ses doux rayons orangés, et irisés toute la forêt de multiples couleurs…
Et, le papa et la maman oiseau partait à la recherche de nourriture pour leurs petits. Ils allaient et venaient sans cesse, sans interruption.. 1 fois, 2 fois... 10... 100 fois ou peut être 50 fois... que sais-je, je ne sais pas... je ne sais plus... ??
Et comme toujours, et durant tout le jour... du matin au soir, du lever au coucher, avec attention et dévotion, inévitablement, infatigablement, inlassablement et prévisiblement ils revenaient au nid. Chacun a leurs tours, quelque fois ensemble, ou bien l’un après l’autre, l’un sans l’autre les deux ensembles. Par la droite ou la gauche… pour leurs apporter la becquer.
Notre petit ami, le cadet, le deuxième, l’entre deux, l’un d’autre eux... se démener tant bien que mal, entre sont grand frère, qui était très vigoureux et rapide, et son petit frères, qui lui par de sa plus petite taille bénéficier de beaucoup plus d’attention de ses deux parents …
Et pour saisir, sa ration de vermisseaux …il bataillé fièrement et durement avec son grand frère en étirant son petit cou le plus possible, afin d’accéder au bec de ses parents,
Tandis que son grand frère, qui le dépassait d’une tête n’avait aucun effort à faire pour saisir promptement chaque victuaille apporté par les parents, quant au plus petit, lui n’avait pas grand-chose à faire, car les parents attentionné, lui apporté beaucoup plus de soins afin qu’il grandisse, et puisse acquérir, autant de force que ses deux ainés...
Les jours … et les nuits s’écoulaient tranquillement….et nos trois petits amis grandissaient rapidement… et ils prenaient de plus en plus l’apparence de beaux et magnifiques oiseaux, tellement bien qu’il était devenu impossible, de différencier le 3eme du 1er ; le deuxième du troisième, l’ainé du cadet … le grand, du petit,
Ils avaient déjà, toutes leurs belles plumes de couleurs bariolées et multicolores, et ils faisaient des battements d’ailes, comme des exercices, ou des entrainements, qui laissaient présupposer, qu’ils seraient bientôt prêts, à découvrir le monde, et voler de leurs propres ailes..
Et jusqu’à ce qu’un beau jour, les parents partirent au levé du jour, comme d’habitude, et notre trois amis qui était presque devenu des adultes beaux et forts, guettèrent toute la journée le retour de leurs parents… A la tombée de la nuit, après des heures, des minutes, des secondes, des lustres d’attente, à leurs grands soulagements, les parents arrivèrent enfin,
Et à cause de cela, nos trois petits qui n’avaient rien avalé de la journée étaient affamés...mais tellement rassurés... Cependant les parents leurs avait tout de même ramené à chacun une magnifique petite chenille pour les sustenter...
Et à cause de cela, nos trois petits, s’endormir ce soir là, le ventre à peine, un plus plein que le fond d’un verre… d’eau claire...
Et à cause de cela, la nuit fut longue, froide, et elle fut rythmée par les gargouillis, et par les grognements d’estomacs de nos trois amis, et ils eurent vraiment beaucoup de mal a trouver un sommeil profond et réparateur….
Nos trois petits comprirent que quelque chose se passait... mais n’en comprenez pas vraiment le sens … pourquoi... tant d’absence... pourquoi nous laissent- ils tout seul…
Enfin le jour se leva, une douce lumière commença par envelopper l’horizon, le ciel s’éclaira, les étoiles s’éteignirent tout doucement, les unes après les autres, peut être la plus grosse en premier, ou peut être pas, et la lune partit se coucher derrières les montagnes...
Le soleil puissant et généreux, vint caresser notre arbre ou habitaient nos trois petit amis et les enveloppa d’une douce chaleur … réconfortante, rassurante, et énergisante…
Ce matin là... les parents … passèrent un long moment à épouiller leurs petits, lissant leurs plumes, nettoyant les canules, …...et nos trois amis en firent de même... comme ci que un grand jour était arrivait
Et puis... les deux parents, se perchèrent sur le bord du nid... et commencèrent a battre des ailes... doucement... tranquillement, et puis de plus en plus vite… de plus en plus fort... faisant s’envoler du nid... des brindilles … nos trois beaux oiseaux comprirent que par ces mouvements d’ailes, les parents les inviter à les imiter..
Il eut un grand frisson dans l’air qui traversa nos 3 petits amis... et ils étaient devenu très grand d’ailleurs... car malgré leurs interrogations et leurs questionnements, ils se mirent à imiter tant bien que mal leurs parents... Cela dura de longue minutes...des heures peut être ou peut être pas... et sans se rendre compte... nos amis commencèrent petit à petit à décoller du nid... par petit rebond tout d’abord... mais rapidement ils purent constater qu’ils pouvaient rester en suspends quelques minutes au dessus de leur nid...
Cette expérience était exaltante et stimulante... une nouvelle sensation de liberté, une victoire, …
Jusqu’à ce que finalement, ils comprirent que le moment de découvrir le monde était arrivé...
Alors que la maman oiseaux s’élança d’un mouvement gracieux hors du nid, le papa oiseaux invita ses enfants, d’un petit coup de bec affectueux à quitter le nid... et nos trois compères, tour a tour, se laissèrent guider en toute sécurité à la découverte de cette nouvelle expérience...
Ils prirent leurs envoles, timidement au départ, maladroitement peut être ou peut être pas, et rapidement se mirent à virevolter, tourniqueter, planer derrière leur parents qui maintenant leurs montrait le chemin à suivre qui était maintenant tout tracé devant eux.
Et depuis ce jours... nos trois amis sont de très beaux et fiers oiseaux, libres et courageux qui ont choisi de vivre leurs propres expérience de la vie dans la forêt... peut être tout près ou peut être un peu plus loin de leurs parents dans des arbres voisins…peut être, car je ne sais pas... ou je ne sais plus... et il parait même qu’ils ont fondé leurs propres famille et …