Quelques idées qui me sont venues en lisant (en diagonale donc si j'ai loupé qq chose ...)
- deux autres causes, qui n'en sont qu'une, et peuvent avoir ce genre de conséquence. Atteinte nerveuse (Sclerose en plaque ou similaire) ou hernie discale (beaucoup plus fréquente!). Pour avoir vécu les deux je peux vous assurer que les deux ont cette conséquence, et que pendant longtemps on a confondu les 2 chez moi. Aujourd'hui j'arrive à différencier les deux plus facilement. Cela expliquerait l'infiltration! J'ai une hernie L5-S1 (classique) avec compression d'un nerf. Les conséquences sont diverses mais en ciblant sur le sujet : douleurs à l'éjaculation de type brûlure ou tension électrique, hypersensibilité au niveau du périnée qui augmente au moment de l'éjaculation et entraine une douleur lancinante et irradiante qui va jusqu'à l'anus et dure quelques minutes après l'acte. Pour la SEP : idem.
- traiter un peu comme une phobie peut certainement aider. Car il y a certainement un sentiment appréhension qui vient aggraver.
- Perso je traite ma hernie avec de l'harpagophytum et auto-hypnose lors des crises (visualisation du rétablissement, j'ai les irm qui aident à visualiser)
- La SEP (confirmée) a été "traité" par un psychothérapeute coach et psychogénéalogiste. J'ajoute (de moins en moins) prise d'huile d'onagre 4 ou 5 fois dans l'année. Depuis 8 ans plus aucun signe clinique, mon neuro ne sait quoi répondre et dit "impossible! Surtout ne changez rien!". Donc je continue.
D'après tes derniers posts il semble avoir de bonnes raisons d'avoir des douleurs. Ce qui me conforte dans l'idée de traiter l'appréhension.
Pour l'orgasme masculin tout a été dit mais voici quelques pistes : c'est une tension générale un désir qui monte pendant l'acte une envie irrépressible, comme une envie de chocolat, de manger du sucre...
puis ca se transforme en une sensation qui part du périnée, par vague, dans la verge, mais qui irradie tout le corps "d'une douce tension généralisée" ou contraction(mais ce terme est négatif). L'éjaculation est très mécanique, une sorte de "propulsion" qui soulage, d'évacuation suivie d'une détente, dépression, soulagement.
Voilà la sémantique qui me vient.
Il est évident que ces termes ne vont pas dans le sens d'une détente. Et je pense qu'il faut éviter de lui suggérer trop de détente à ce moment là sous peine de casser l'orgasme. (contrairement à une femme peut être... je me trompe?)
Voilà mon avis de vieux débris