corfinas
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C’est l’histoire d’un soldat japonais, pendant la deuxième guerre mondiale, il est placé sur une des nombreuses îles du pacifique pour la défendre, il doit la défendre au péril de sa vie. Il commence alors un long et pénible isolement, relié à son commandement par signal radio, il tient son poste avec fidélité et dévotion.
Un jour son poste radio tombe en panne. Il continue alors à défendre l’île. Il vit de chasse, pêche et cueillette et entretient ses armes, on est en guerre.
Plus tard la guerre finit, il l’ignore et continue à défendre son île. Les années passent. Il tire sur les pécheurs et les touristes qui s’approchent de l’île.
Les autorités sont informées et se demandent comment aller lui dire que la guerre est finie sans se faire tirer dessus et puis en respectant sa dévotion incroyable pour sa partie.
Un vieux commandant a alors une idée, il sort de sa vielle malle son uniforme de guerre et fait affréter un vieux bateau militaire.
Quand il s’approche de l’île, le soldat reconnaît le navire et ne tire pas, mais se cache dans la forêt, apeuré par ses années d’isolement.
Le commandant débarque sur l’île et crie :
« C’est le commandant xao de l’armée japonaise qui vous parle, y a-t-il un soldat japonnais qui tient encore la défense de cette position ? Si oui donnez votre identité, grade et faites votre rapport de tour de garde ! »
Le soldat sort de sa cachette et réponds :
« A vos ordres commandant ! Soldat jatséko au rapport, île défendue, trois tentatives d’invasion ennemie repoussées, vivres épuisés, munitions et armes en mauvais état, besoin de ravitaillement. »
Le commandant réponds :
« Bien soldat jatséko, félicitations pour ce travail, vous avez bien défendu l’île pendant de nombreuses année, l’armée japonaise est fière de vous. Vous pouvez maintenant quitter votre poste et venir avec moi sur le bateau pour vous reposer. »
Le soldat réponds :
« A vos ordres commandant ! » et se relâche enfin.
Le commandant ajoute :
« La guerre est désormais finie, vous pouvez poser vos armes. Et pour vous remerciez de votre comportement exemplaire vous recevrez toute les médailles correspondant à une si longue tenue de poste. »
a+
inspiration: "transformation essentielle" de C. Andréas
Un jour son poste radio tombe en panne. Il continue alors à défendre l’île. Il vit de chasse, pêche et cueillette et entretient ses armes, on est en guerre.
Plus tard la guerre finit, il l’ignore et continue à défendre son île. Les années passent. Il tire sur les pécheurs et les touristes qui s’approchent de l’île.
Les autorités sont informées et se demandent comment aller lui dire que la guerre est finie sans se faire tirer dessus et puis en respectant sa dévotion incroyable pour sa partie.
Un vieux commandant a alors une idée, il sort de sa vielle malle son uniforme de guerre et fait affréter un vieux bateau militaire.
Quand il s’approche de l’île, le soldat reconnaît le navire et ne tire pas, mais se cache dans la forêt, apeuré par ses années d’isolement.
Le commandant débarque sur l’île et crie :
« C’est le commandant xao de l’armée japonaise qui vous parle, y a-t-il un soldat japonnais qui tient encore la défense de cette position ? Si oui donnez votre identité, grade et faites votre rapport de tour de garde ! »
Le soldat sort de sa cachette et réponds :
« A vos ordres commandant ! Soldat jatséko au rapport, île défendue, trois tentatives d’invasion ennemie repoussées, vivres épuisés, munitions et armes en mauvais état, besoin de ravitaillement. »
Le commandant réponds :
« Bien soldat jatséko, félicitations pour ce travail, vous avez bien défendu l’île pendant de nombreuses année, l’armée japonaise est fière de vous. Vous pouvez maintenant quitter votre poste et venir avec moi sur le bateau pour vous reposer. »
Le soldat réponds :
« A vos ordres commandant ! » et se relâche enfin.
Le commandant ajoute :
« La guerre est désormais finie, vous pouvez poser vos armes. Et pour vous remerciez de votre comportement exemplaire vous recevrez toute les médailles correspondant à une si longue tenue de poste. »
a+
inspiration: "transformation essentielle" de C. Andréas
