laurenzo à dit:
valikor à dit:
non j'ai affirmé que ce type de personne pouvait aussi présenter avant d'autres symptômes tels que manque de confiance en soi, surpoids,
Non vous avez affirmé que ce type de personne présenterait de manière certaine d'autres symptômes avant le déni (souvenez vous, vous étiez prêt à le parier...). Encore une fois sur quoi repose cette affirmation?
oui et je le maintins, mais ce que vous ne comprenez visiblement pas, c'est que des personnes différentes avec des problématiques différentes peuvent présenter des symptômes très similaires....il est donc impossible à partir d'un simple manque de confiance en soi de prévoir quoique ce soit des réactions de la personne. par contre vous pouvez dire, la personne a un vécu qui la dérange. C'est tout.
il y a une hiérarchie au niveau des symptômes.
plus vous accumulez, plus vos symptômes sont graves et importants et avec des répercussions fortes.
c'est comme une descente infernale... en escaliers... de plus en plus glissants... plus vous descendez, plus c'est facile de descendre en glissant et plus cela se verra que vous allez mal.
le déni c'est un truc qu'on peut faire quand on est déjà assez bas dans l'escalier... avant, au niveau des premières marches, je ne pense pas que cela soit possible.
laurenzo à dit:
valikor à dit:
pour moi un ensemble de mauvais souvenirs devient un réel problème qu'à partir du moment ou la personne commence à ressentir une atteinte, un symptôme se développant généralement plus tard que l'atteinte ressentie vis à vis de son bien être et/ou de sa confiance en soi.
Donc si à 6 ans une personne a été humiliée et que ça a affecté sa confiance, que le schéma s'est reproduit à 9 ans, qu'elle a eu quelques réflexions vexantes au collège mais qu'au lycée elle était globalement appréciée et se considérait bien dans sa peau, pour vous elle n'a aucun problème.
non à 6 ans, la question de confiance en soi n'a pratiquement pas de sens...
plus tard, elle dira je me sens pas mal, mais en public ca va pas.
elle ne peut pas se sentir bien dans sa peau et dire tout va bien en ayant vécu tout cela.
Et si un jour elle commence à faire de grosses crises d'angoisse après qu'un petit ami lui ait fait une remarque désobligeante, vous considèrerez donc que c'est ce déclencheur qui marque le début de son mal être.
encore une fois non, elle n'aura pas suffisamment accumulé pour faire des angoisses. Elle fera des montées de stress. nuance.
il aurait fallu l'équivalent cumulé de 6 souvenirs à 10 pour faire des angoisses (environ, basé sur observations, dépendant de la personnalité de la personne et de sa capacité à s'angoisser).
Pourtant en thérapie elle vous dire que l'évènement à ses 6 ans est ressenti à 8/10 en terme de douleur, celui à ses 9 ans à 7/10, que sa période collège est à 8/10 mais qu'elle avait mis ça dans un coin de sa tête au lycée, qu'elle ne voulait pas y penser.
Elle allait si bien que ça avant que son petit ami lui lance une critique qui a réveillé ses nombreuses douleurs du passé? Avant de faire des crises d'angoisse elle était une personne parfaitement stable et bien dans sa peau?
elle aurait commencé à avoir un blocage ds certaines situations, dés le premier évènement au niveau social.
des problèmes scolaires au collège
et aurait commencé à dire "ca va bof" et non pas "ca va bien".
le regard et jugement d'autrui aurait été douloureux.