U
unboadanslestomac
Membre
- messages
- 3
- Points
- 710
- Localisation
- Paris, France
Bonjour,
Je rencontre quelques difficultés dans mon processus thérapeutique.
Je suis suivie depuis l'année dernière par une thérapeute formée à l'EMDR, initialement pour ma phobie du vomi. Incapable de m'occuper de mes enfants quand ils sont malades, prise de crises de paniques régulières, ayant multiplié les conduites d'évitement, j'ai décidé de prendre le problème à bras le corps après de multiples tentatives infructueuses.
En démarrant cette thérapie, j'étais à des années lumières de penser qu' à la genèse de cette phobie, j'ai probablement subi enfant des agressions sexuelles par un membre de ma famille. Cette conviction m'est apparue par un "faisceau" d'indices : rêves, souvenirs, appréhension de ma phobie. Nous avons effectué plusieurs séances d'hypnose pour laquelle je suis a priori très réceptive, mais dès que nous nous sommes approchées du trauma, j'ai littéralement paniquée à l'image d'une chambre dans la maison de mes parents à tel point que ma thérapeute a dû interrompre la séance. Nous avons malgré tout taché de trouver d'autres voies pour avancer. Par ailleurs, après plusieurs mois d'enquête au sein de ma famille, j'ai découvert que je n'avais pas été la seule victime ( 30 ans plus tard !!!).
A priori, la boucle devrait être bouclée, mais la phobie est toujours présente !
De simples exercices de détente ou de méditation me sont aujourd'hui impossibles, à tel point, par exemple, que j'ai été prise de crampes abdominales lorsque nous avons retenté dernièrement une séance d'hypnose.
Donc en l'espèce, à l'inverse des cas de faux souvenirs, je n'ai pas de souvenir du tout et dès que j'essaie, c'est la cata.
Avez vous des conseils à me donner ?
Un grand grand merci par avance aux thérapeutes et patients de ce forum qui pourraient m'apporter quelques éclairages.
Je rencontre quelques difficultés dans mon processus thérapeutique.
Je suis suivie depuis l'année dernière par une thérapeute formée à l'EMDR, initialement pour ma phobie du vomi. Incapable de m'occuper de mes enfants quand ils sont malades, prise de crises de paniques régulières, ayant multiplié les conduites d'évitement, j'ai décidé de prendre le problème à bras le corps après de multiples tentatives infructueuses.
En démarrant cette thérapie, j'étais à des années lumières de penser qu' à la genèse de cette phobie, j'ai probablement subi enfant des agressions sexuelles par un membre de ma famille. Cette conviction m'est apparue par un "faisceau" d'indices : rêves, souvenirs, appréhension de ma phobie. Nous avons effectué plusieurs séances d'hypnose pour laquelle je suis a priori très réceptive, mais dès que nous nous sommes approchées du trauma, j'ai littéralement paniquée à l'image d'une chambre dans la maison de mes parents à tel point que ma thérapeute a dû interrompre la séance. Nous avons malgré tout taché de trouver d'autres voies pour avancer. Par ailleurs, après plusieurs mois d'enquête au sein de ma famille, j'ai découvert que je n'avais pas été la seule victime ( 30 ans plus tard !!!).
A priori, la boucle devrait être bouclée, mais la phobie est toujours présente !
De simples exercices de détente ou de méditation me sont aujourd'hui impossibles, à tel point, par exemple, que j'ai été prise de crampes abdominales lorsque nous avons retenté dernièrement une séance d'hypnose.
Donc en l'espèce, à l'inverse des cas de faux souvenirs, je n'ai pas de souvenir du tout et dès que j'essaie, c'est la cata.
Avez vous des conseils à me donner ?
Un grand grand merci par avance aux thérapeutes et patients de ce forum qui pourraient m'apporter quelques éclairages.