jeangeneve à dit:
un peu de lecture ?
... 47A45EF50D
ou ça c'est pas mal ...
Lien invalide ... le?id=9552f
ou alors comment claquer du fric avec l'imagerie cérébrale ?
Lien invalide
ou alors ici ...
http://lecerveau.mcgill.ca/avance.php
Je trouve ces études intéressantes sur le plan scientifique, mais cela ne change rien le plan émotionnel.
Quand je lis le texte ci-dessous, je me demande si on s'adresse à une mécanique ou à une femme :
...
Les résultats confirment l'existence d'un réseau neuronal du désir sexuel. Mieux, les scientifiques connaissent désormais les aires cérébrales qui s'activent sous l'excitation. Autre révélation, les personnes souffrant d'un manque de désir sexuel ont à la fois une hyperactivation du réseau du désir et une hyper-activation d'autres parties du cerveau qui se situent en dehors de ce réseau. Intérêts pour les chercheurs, ces zones hyper-activées vont désormais les aider à cibler des thérapies. La pharmacologie et les thérapies sexologiques pourraient bénéficier de ces découvertes....
Pour moi qu'importe les zones activitées ou pas, le principal n'est pas là, mais simplement de comprendre en thérapie l'absence de désir, le plus classique la lassitude du couple, les disputes incessantes, la violence verbale, la dépression, etc...
Quand vous êtes amoureux, toutes les zones du cerveau s'activent de façon satisfaisante, et pour l'instant je n'ai jamais entendu d'absence de désir sexuel en étant amoureux...
Tout comme le lien sur :
Le cerveau: une capacité d’adaptation inouïe
OK, mais le principal c'est comment y parvient-on à ce changement, et là on en revient au rôle du thérapeute. Ce n'est pas le tout de pouvoir expliquer, il faut savoir comment procéder au changement cognitif...
Donc pour moi cela reste très scientifique et peu exploitable concrêtement en thérapie... mais peut être que cela répond à la demande de Lemaléduqué...