soigner le manque de confiance

La confiance en soi est vaste, c'est la résultante du vécu dans son ensemble. Travailler là dessus reviendrait a mettre en évidence tout ce qui a conduit à cette résultante afin de pouvoir travailler dessus... Autant dire que ce n'est pas l'histoire d'une séance ni même deux ou trois...

dide70 à dit:

La confiance en soi est vaste, c'est la résultante du vécu dans son ensemble. Travailler là dessus reviendrait a mettre en évidence tout ce qui a conduit à cette résultante afin de pouvoir travailler dessus... Autant dire que ce n'est pas l'histoire d'une séance ni même deux ou trois...

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On est au coeur du problème .
Ça n'est pas l'histoire d'une séance , ni même deux ou trois d'hypnose , d'où un problème de coût , de temps...
Même problème avec le psy , pas l'histoire d'une séance , ni même deux ou trois, et de nouveau problème de coût et de temps.
Reste l'écriture. Un grand nombre d'écrivains parlent de l'effet bénéfique d'un roman autobiographique sur leur équilibre personnel, d'un effet thérapeutique.
Avec un ordinateur, un logiciel de traitement de texte tout le monde ou presque peut écrire, et retrouver l'effet thérapeutique perçu par les écrivains.
Ça ne coûte rien quand on a déjà cet ordinateur , on peut s'y mettre quand on veut, s'y mettre plusieurs heures un jour , ne plus s'y mettre pendant plusieurs semaines...

Reste à trouver l'énergie , le punch nécessaire pour cette écriture qui fait remonter ressurgir des souvenirs restés en arrière plan parfois pendant plusieurs décennies.

Pour écrire , il faut avoir en tête un ou une ou des destinataires quelqu'un à qui on a envie de faire partager son histoire sans crainte.
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C'est la limite à cette technique .

L'accompagne coûte cher et est parfois nécessaire mais pas que...Dès lors que l'on reconnait la problématique avec quelques outils en poche ajouté d'un peu de compréhension théorique, on peut travailler seul dessus, chaque jour peut en être l'occasion...
Comprendre que la perfection n'est pas de ce monde, comprendre que la plus part du temps, quelqu'un qui montre un sûr de lui avec une réponse à tout du tac au tac n'est pas plus efficace sinon moins qu'une personne plus posée qui prendra le temps de réfléchir et d'analyser. Pourtant, je sais que c'est toujours bien perçu dans le milieu professionnel et en société... Comprendre que celui-qui salit, juge, critique fait que de reporter ses propres blessures et problèmes sur l'autre. Inutile d'en ajouter plus, quand on a déjà ça en tête sa aide à être plus confiant...

La confiance en soi est vaste, c'est la résultante du vécu dans son ensemble. Travailler là dessus reviendrait a mettre en évidence tout ce qui a conduit à cette résultante afin de pouvoir travailler dessus... Autant dire que ce n'est pas l'histoire d'une séance ni même deux ou trois...
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Voilà qui poursuit les choses de manière longue et difficile…
Dans une sorte de psychanalyse sans fin.


Les thérapies brèves, les suggestions instantanées c’est tout le contraire.

La communication non violente, la communication consciente, c’est la voie de sortie rapide pour quitter l’inter-prétation et le pré-juger.


‘Mais quand le cerveau est programmé à l’inverse, il s’est pré-programmé à ne plus s’en sortir, quoiqu’on lui propose. Son confinement reste sa meilleure protection.

surderien à dit:

Les thérapies brèves, les suggestions instantanées c’est tout le contraire.

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Je serais ravis que l'on me démontre la possibilité de traitement instantané sur de ce problème...

surderien à dit:

Voilà qui poursuit les choses de manière longue et difficile…
Dans une sorte de psychanalyse sans fin.

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Les solutions traditionnelles reconnues sont effectivement souvent sans fin...

La cohérence cardiaque serait une approche intéressante pour ce manque de confiance
et pour voir encore plus loin la respiration consciente avec un thérapeute certifié,
pour atteindre l'origine du problème ou peut être de voir autre chose
Le mental est très fort pour garder ses schémas mentaux. Mais le corps est encore plus fort pour les résoudre (mémoires musculaire ou encore mémoires cellulaires).

Pas cher et très complet, je recommande

Bonjour,

J’ai pris en compte que le post était ancien, mais la question est intéressante et le manque de confiance revient souvent, il est intéressant que chacun puisse le développer et y apporter son expérience, pour ce cas-ci je parlerais d’Eric puisque c’est la personne qui pose la question.

Voici mon avis :

Eric décrit qu’il n’ose pas appréhender les gens dans la rue et qu’il quitte ses différents emplois, il indique aussi qu’il a des valeurs : travailleur, gentil, c’est une très bonne chose .

Malheureusement, chaque fois qu’il quitte un emploi, il renforce sa croyance de « ne pas être capable de le garder ». De cette manière, il auto entretient ses croyances !! C’est sans fin…..

Peut être commencer par lui demander ce que représente pour lui une « personne qui a confiance en elle « ??? et également lui faire préciser la signification de « l’indépendance » ?

Il semble se retrouver envahi dans tous les moments de sa vie par des émotions en faisant (peut être) des interprétations personnelles dans les situations.

Affronter ces situations lui est trop difficile (évitement) puis c’est l’engrenage ! Il perd confiance en lui car il ne sait pas que ce sont de ses émotions que découlent ses comportements.

Tous les domaines de sa vie devront être pris en compte pour comprendre pourquoi il agit ainsi.

Environnement / Evènements / Connaissances / Expériences / Imaginaires / Etc….

Il faudra également évaluer l’intensité de cette absence de confiance pour qu’il voit de manière concrète ses progrès, puis la réévaluer au fur et à mesure du travail, cette façon de procéder l’encouragera à continuer.

Travailler aussi sur les valeurs de l’interlocuteur est un point important, lui rappeler qui il est, il semble qu’il s’est perdu quelque part à un moment de sa vie à cause de ?????

Lorsqu’il aura pris conscience de sa valeur en tant qu’humain (valeur absolue) et de sa capacité à progresser il reprendra confiance.

Avancer petit pas après petit pas, chaque jour un petit défi, je dirais même qu’il faut noter ces petits défis quelque part et voir l’avancement car oui. Il peut compter sur son thérapeute mais il doit aussi être dans l’action.

Tout ce que j’ai écrit au-dessus n’est pas présenté comme des vérités absolues, cela reste uniquement des pistes. Etant donné que chaque personne est différente en fonction des réponses que nous obtiendrons nous orienterons notre séance et l’adapterons.

Nathalie