Mandrille ,
1/ Précisément,
- Contrairement à ce cher Corfinas qui, au lieu de "
nourrir la discussion" et de l'étayer à partir
d'arguments, ne cesse soit de "me poser des questions sur mon existence" , soit d'en supposer les réponses, soit de s'autoriser à "me... juger", tant il est... compétent et savant.
- Ou... toi qui nous parles de ta vie privée, de ta vie avec son épouse, de ton JE, de ton égo, de ton... moi-moi-moi, tu auras remarqué que je ne parle que du "
CLIENT ".
Qui est donc le plus "objectif" (sic) , ici ?
2/ Tu as le fameux culot d'écrire ci-dessus : " Qui a parlé de n'avoir
QUE des doutes ?"
Alors que depuis le début de tes interventions, sur ce thread, tu ne cesses d'écrire (textuellement) "
JE DOUTE DE TOUT " ou encore "
Je ne crois pas avoir de certitudes sur quoi que ce soit."
Puis-je te poser une question : Quelle définition donnes-tu de... l'instabilité ?
Tu oses ajouter : " Il me semble que l'on parlait
AUSSI des doutes".
Je suis donc contraint de te rappeler que mon intervention envers tes dires fut due au fait que tu t'enfermais sans cesse dans cette affirmation ( que j'ai qualifiée de "délirante" ) que tu pouvais EXISTER en... DOUTANT de TOUT.
Or, voici, maintenant que tu nous racontes que : "tu n'as
pas QUE des doutes...".
A quel moment nous livres-tu vraiment le fond de ta pensée ?
Auparavant ou... en ce moment ?
Je te rappelle , aussi, que dans le même "délire", tu nous racontais "
Avoir de grandes difficultés à définir ce qui est SAIN "...
J'ose espérer que, là-aussi, tu as pris le temps de réfléchir un peu...
D'autant que tu ajoutes encore, de façon que je qualifierais (avec ton autorisation) : d'inconséquente : "
On peut "avoir" des valeurs sans en être "certain.". (A quel moment plaisantes-tu ? A quel moment es-tu sérieux dans ton pathos ?
)
Je souhaite donc que tu aies rétabli un peu ta valétudinarité psychologique, retrouvant ainsi, un peu de ton ataraxie
3/ Et, précédemment tu me signifiais (au moyen d'un point d'interrogation) : ne pas bien comprendre que : " le terme "positif" , que j'utilisais, qualifiait une certitude lorsqu'elle ... tente de concilier (au mieux) le moi et le nous. ".
Pourtant l'explication en est relativement simple.
L'existence est TOUJOURS conflictuelle.
Pourquoi ?
Très simplement parce que les "égos" s'opposent et s'affrontent partout, toujours et même éternellement.
Comprends-tu mieux ?
En synthèse, contrairement à toi, il me semble bien que, (même s'il faut toujours les "relativiser"), les "convictions", les "valeurs" (évidemment......... "saines"
) et les "certitudes" sont INDISPENSABLES à l'action.
Leur absence engendrant l'inhibition, l'instabilité, le DOUTE PERMANENT et la... paralysie.
Amicalement.