Académie de médecine : thérapies complémentaires et hypnose

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Rapport du 5 mars 2013 :

http://www.academie-medecine.fr/detailP ... Ligne=2439

8)
 
Paul Elie

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lacaune
pour moi c'est vrai et faux (ce que vous avez dit prudence)
- un bon thérapeute doit avoir des "bases solides", une formation complète...c'est sur.... mais aussi une ouverture d'esprit pour 'sortir de ces bases" et pouvoir s'adapter au cas client---même si cela veut dire, qu'il/elle doit mettre ces convictions de coté----temporairement---- ex:
une personne vient vous voir pour régresser dans le temps car elle croit que ces malheurs sont dues a une vie antérieure..... et que vous n'y croyiez pas!
moi je prends ce client... pas pour le(me) convaincre que cela n'existe pas!
mais pour l'aider, on verra ou ça nous menera, je prends le risque d'etre estomaqué si la personne sous regression commence a parler une langue etrangere et a une voix du sexe opposé....

-un bon thérapeute doit il avoir souffert ou souffrir pour comprendre la souffrance? encore ici rien n'est obligatoire! certains dirait que ça aide! d'autres penserai que c'est un handicap- ce qui est cetain-est que:la compassion et l'empathie est un plus( pour ne pas dire must!)---mais d'un autre coté, le thérapeute si il veut survivre dans le temps, doit éviter l'effet éponge et garder une certaine distance, pour avoir , garder un jugement, une appréciation qui ne soit pas tintée.... car de son jugement dépend....sa "prescription" son action

- un bon thérapeute doit avoir fait un "travail sur lui même".... encore ici tout n'est pas noir ou blanc....les thérapeutes/médecins sont aussi des malades "potentiel", et bien sur si vous êtes malade et ne vous soignez pas comment pouvez vous dire aux autres qu'il faut se soigner?
le travail sur soi même n'est pas un pré-requisite ,mais une obligation permanente et pas seulement avant d'exercer!
ceci dit pour exercer...faut il avoir une voix agréable, un physique charmant, un bagou ou une cravate bien nouée.... bien sur ça aide si le client, pense que cela va avoir une influence sur la thérapie( et en général ils sont formatés a cela) c'est donc a vous de voir!
cravate ou pas?
mais sérieusement, a l’extrême un monstre déformé,handicapé qui pue peut il être un bon thérapeute? ( oui c'est extreme)
ma réponse est oui, si il a l'habileté de mettre du parfum et d'utiliser son handicap, après le choc initial, comme un inducteur de confiance...

mon professeur disait,la thérapie est un métier de funambule, avant de savoir tenir l’équilibre,il faut bien sur de la préparation et un plus ou moins long apprentissage.... mais surtout vouloir marcher sur cette corde, et n'avoir pas peur du vide!

or la chance que nous avons en temps qu'hypnotherapeute est que nous pouvons choisir de n'etre que des guides,que nous ne guerissons pas, que nous ne soignons pas, que c'est le client qui guerit!
encore la danse sur la corde!
car en meme temps,si nous sommes efficaces, nous pouvons faire ce qui ressemble a un miracle....
noir ou blanc?
 
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surderien à dit:
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valikor à dit:
Hubert Chatelée à dit:
Sourcedevie à dit:
Mais la médecine et l'hypnotherapie se sont 2 métiers différents

Deux métiers différents, c'est peut être un peu exagéré.
Mesmer, Charcot, Bernheim, Erickson... Si je ne me trompe pas c'étaient bien des médecins!
Depuis toujours l'hypnose a fait partie de la médecine et elle a évoluée avec elle.

rappellez moi le temps consacré à l'enseignement de l'hypnose lors de la formation des généralistes? des psychiatres?
Je viens de m'apercevoir que j'ai répondu sans vous avoir lu.
Mais Valikor, justement qu'insinuez vous ?

Actuellement j'ai une psychiatre en séances, ce qui m'amène a dire que l'on soit médecin ou psychiatre un travail personnel doit être fait si l'on souhaite pratiquer avec toutes les approches de thérapies hypnotiques... et je confirme que ce sont des métiers complémentaires.

Qui apporte le plus à l'autre : la psychiatre ou l'hypno ???

:shock:

D'après vous ? C'est elle qui est dans mon cabinet pas moi dans le sien et surtout après consulté pendant 8 ans ses confrères...
 
A

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Hubert Chatelée à dit:
valikor à dit:
rappellez moi le temps consacré à l'enseignement de l'hypnose lors de la formation des généralistes? des psychiatres?
Quelle drôle de question. Difficile d'y répondre.
L'hypnose est abordée en psychiatrie bien sûr, mais aussi en neurologie, et presqu'à chaque fois qu'une cause psychosomatique est évoquée quelle que soit la matière, Un D.U. lui est même réservé...
Cela fait déjà beaucoup de temps.

Ayant fréquenté le milieu psy, je peux vous dire que l'hypnose est loin d'y être abordé aussi facilement que vous le laissez entendre...
 
A

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Hubert Chatelée à dit:
Oratorioo à dit:
Hubert Chatelée à dit:
Depuis toujours l'hypnose a fait partie de la médecine et elle a évoluée avec elle.

Pourquoi alors la majorité des médecins l'ignorent?
Qu'est ce qui vous permet de supposer que les médecins ignorent l'hypnose?
Ce n'est pas parce que l'on est gériatre que l'on ignore la pédiatrie, cardiologue que l'on ignore la gastro-entérologie...
Certains médecins choisissent l'hypnose comme faisant partie de leurs outils thérapeutiques, d'autres lui préfère des outils différents, utiliser l'hypnose en thérapie est une option, pas une obligation.
Cela ne veut pas dire que l'on ignore ce qu'est l'hypnose, c'est un choix.
Pas d'accord du tout, je peux le vérifier quotidiennement avec mes patients, c'est aussi le motif de leur consultation...

Donc cela revient a dire que ce sont des métiers complémentaires et non convergent.
 
A

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Hubert Chatelée à dit:
Sourcedevie à dit:
Actuellement j'ai une psychiatre en séances, ce qui m'amène a dire que l'on soit médecin ou psychiatre un travail personnel doit être fait si l'on souhaite pratiquer avec toutes les approches de thérapies hypnotiques...
Je ne comprend pas très bien votre façon de généraliser à partir du cas particulier de votre patiente.
Que voulez vous dire par travail personnel?
Que pour être médecin il faut avoir été malade?
Que pour être sage femme il faut avoir accouché?
Ce sont là vos croyances mais seulement vos croyances.

Prudence a bien résumé ma pensée sur le travail personnel. J'apprécie d'ailleurs beaucoup son approche de l'hypnotherapie... :)

Je ne pars pas d'un cas personnel, cela se vérifie au quotidien.

L'hypnotherapie telle que je la pratique ne s'arrête pas juste a un état hypnotique. J'ai acquis toutes les approches thérapeutiques de la gestion de la douleur a la régression en âge, les TCC, et j'en passe...
 
Prudence

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Paul Elie à dit:
pour moi c'est vrai et faux (ce que vous avez dit prudence)
- un bon thérapeute doit avoir des "bases solides", une formation complète...c'est sur.... mais aussi une ouverture d'esprit pour 'sortir de ces bases" et pouvoir s'adapter au cas client---même si cela veut dire, qu'il/elle doit mettre ces convictions de coté----temporairement----
Je suis tout à fait d'accord avec vous sur l'importance de l'adaptabilité.

Paul Elie à dit:
ex:
une personne vient vous voir pour régresser dans le temps car elle croit que ces malheurs sont dues a une vie antérieure..... et que vous n'y croyiez pas!
moi je prends ce client... pas pour le(me) convaincre que cela n'existe pas!
mais pour l'aider, on verra ou ça nous menera, je prends le risque d'etre estomaqué si la personne sous regression commence a parler une langue etrangere et a une voix du sexe opposé....
Juste dans cet exemple je sais que, personnellement, je ne l'aurai pas fait: déjà parce que je ne suis pas à l'aise avec les régressions induites et que je ne crois pas aux vies antérieures. Je pense que je l'aurai annoncé ouvertement et peut être en proposant un compromis, ou autre chose, ou d'aller voir quelqu'un qui pratique ça.
Comme exemple je viens de voir quelqu'un qui venait pour des problèmes de stress, je l'ai écoutée puis je lui ai dit que j'avais une bonne et une mauvaise nouvelle: que la mauvaise c'était qu'on ne pouvait pas vivre sans aucun stress, que ça pouvait nous sauver la vie, et que la bonne c'était qu'on pouvait apprendre à vivre avec et à le diminuer. Elle a été soulagée, elle ne voulait pas l'enlever complétement. Ensuite je lui ai parlé des stress chroniques, aigus, vécu positivement, ou négativement etc. Au premier abord la demande n'est pas forcément celle qu'on pense. Derrière un souhait de se débarasser de son stress il y a parfois juste une diminution demandée, ou un deuil à faire etc.
Après ça pour en revenir à votre client, je pense qu'en tant que thérapeute on a tous nos limites et en cas de doute, je pense que je préférerai le dire honnêtement en proposant soit de tenter pendant un certain temps et de refaire le point, soit d'envoyer vers quelqu'un d'autre.

Paul Elie à dit:
-un bon thérapeute doit il avoir souffert ou souffrir pour comprendre la souffrance? encore ici rien n'est obligatoire! certains dirait que ça aide! d'autres penserai que c'est un handicap- ce qui est cetain-est que:la compassion et l'empathie est un plus( pour ne pas dire must!)---mais d'un autre coté, le thérapeute si il veut survivre dans le temps, doit éviter l'effet éponge et garder une certaine distance, pour avoir , garder un jugement, une appréciation qui ne soit pas tintée.... car de son jugement dépend....sa "prescription" son action
Je suis tout à fait d'accord avec vous sur le fait qu'un thérapeute n'ai pas forcément eut à souffrir, encore que je ne pense pas qu'il y ait d'être humain qui n'ait jamais souffert. Par contre, pour moi l’empathie et la compassion font partie de la thérapie en fonction du sens qu'on leur donne. Si on reprend l’étymologie de compatir (souffrir avec) alors non, mais si on le pense dans un sens souvent utilisé de prise en compte de la souffrance de l'autre. Empathie comprendre (au moins essayer) l'émotion de l'autre, oui; compassion souffrir avec, non.
Effectivement, pas d'éponge. Je ne l'ai pas encore lu mais il y a un livre qui semble intéressant "Souffrir à force d'aider, le burn-out dans la relation d'aide "

Paul Elie à dit:
- un bon thérapeute doit avoir fait un "travail sur lui même".... encore ici tout n'est pas noir ou blanc....les thérapeutes/médecins sont aussi des malades "potentiel", et bien sur si vous êtes malade et ne vous soignez pas comment pouvez vous dire aux autres qu'il faut se soigner?
Effectivement pas forcément tout noir ou tout blanc. Intéressant je le pense, si devrait être obligatoire...je ne sais pas. Je pense que je préférerai qu'un thérapeute qui n'en avait pas besoin ait perdu un peu de temps et d'argent avec ça plutôt qu'un thérapeute qui en avait besoin n'ait pas fait de travail personnel; mais encore faut-il qu'il soit vraiment réalisé, qu'il soit utile.

Paul Elie à dit:
le travail sur soi même n'est pas un pré-requisite ,mais une obligation permanente et pas seulement avant d'exercer!
Obligation morale? Oui, je pense aussi.

Paul Elie à dit:
or la chance que nous avons en temps qu'hypnotherapeute est que nous pouvons choisir de n'etre que des guides,que nous ne guerissons pas, que nous ne soignons pas, que c'est le client qui guerit!
Tout à fait d'accord.

Paul Elie à dit:
car en meme temps,si nous sommes efficaces, nous pouvons faire ce qui ressemble a un miracle....
noir ou blanc?
Je ne suis pas sûre d'avoir compris.
 
Paul Elie

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lacaune
car en même temps,si nous sommes efficaces, nous pouvons faire ce qui ressemble a un miracle....
noir ou blanc?
je voulais dire que les résultats dans l'esprit d'un client que vous aidez....peut paraitre, tout comme les remissions de lourdes.... comme miracles....tout comme l'aspirine peut être ressentie, a quelqu'un qui n'en a jamais pris....est ce a dire que c'est un miracle surement pas!
ceux qui se laisse "flatter", laisse faire sans démentir, pour garder une aura mystérieuse.... construise leur prison ou c'est sur il gagnerons des adeptes, deviendrons gurus....mais aussi fabriquent leur propre mythe ( mensonges) d’où ils ne peuvent sortir!

est ce a dire que le mystère n'est pas utile?
non je ne crois pas tout est question de "dosage"
de toute façon nous en savons si peu du fonctionnement de l'esprit par ex:
comme de celui du cerveau....
mais nous avons besoin de bases, mêmes si hypothétique, pour justifier nos actions( ne serais ce qu'a soi même?)
 
Prudence

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Paul Elie à dit:
car en même temps,si nous sommes efficaces, nous pouvons faire ce qui ressemble a un miracle....
noir ou blanc?
je voulais dire que les résultats dans l'esprit d'un client que vous aidez....peut paraitre, tout comme les remissions de lourdes.... comme miracles....tout comme l'aspirine peut être ressentie, a quelqu'un qui n'en a jamais pris....est ce a dire que c'est un miracle surement pas!
ceux qui se laisse "flatter", laisse faire sans démentir, pour garder une aura mystérieuse.... construise leur prison ou c'est sur il gagnerons des adeptes, deviendrons gurus....mais aussi fabriquent leur propre mythe ( mensonges) d’où ils ne peuvent sortir!
[align=justify]Aaaaah! Oui tout à fait. Je dis toujours que tout est à l'intérieur de l'autre, que c'est juste un tout petit coup de pouce pour l'aider à sortir. On n'implante pas toutes ces capacités, on aide juste l'autre à se rendre compte qu'il les possède.
Effectivement certains thérapeutes ne démystifient (et là on tombe parfois sur des gourous et des problèmes d'emprise) mais parfois même s'il veut démystifier c'est le client qui ne veut pas. Certains semblent effrayés par le pouvoir qu'ils ont sur eux même, sur leur vie et préfèrent penser que ce qui a réglé leur problème c'est "l'hypnose" ou la personne-thérapeute plutôt que ce soit eux même avec une aide.
 
surderien

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Mais la médecine et l'hypnotherapie se sont 2 métiers différents

Deux métiers différents, c'est peut être un peu exagéré.
Mesmer, Charcot, Bernheim, Erickson... Si je ne me trompe pas c'étaient bien des médecins!
Depuis toujours l'hypnose a fait partie de la médecine et elle a évoluée avec elle.

rappellez moi le temps consacré à l'enseignement de l'hypnose lors de la formation des généralistes? des psychiatres?
Je viens de m'apercevoir que j'ai répondu sans vous avoir lu.
Mais Valikor, justement qu'insinuez vous ?

Actuellement j'ai une psychiatre en séances, ce qui m'amène a dire que l'on soit médecin ou psychiatre un travail personnel doit être fait si l'on souhaite pratiquer avec toutes les approches de thérapies hypnotiques... et je confirme que ce sont des métiers complémentaires.

Qui apporte le plus à l'autre : la psychiatre ou l'hypno ???

:shock:

D'après vous ? C'est elle qui est dans mon cabinet pas moi dans le sien et surtout après consulté pendant 8 ans ses confrères...

si c'était vpous qui étiez dans le sien et non l'inverse çà changerait comment ?

Qui en tirerait plus bénéfice finalement ?

L'une, l'autre ou les deux ?

"l'hypnose" ne serait elle pas tout aussi présente ?

je n'arrive pas à vous suivre sur le plan thérapeutique...
 
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Mais la médecine et l'hypnotherapie se sont 2 métiers différents

Deux métiers différents, c'est peut être un peu exagéré.
Mesmer, Charcot, Bernheim, Erickson... Si je ne me trompe pas c'étaient bien des médecins!
Depuis toujours l'hypnose a fait partie de la médecine et elle a évoluée avec elle.

rappellez moi le temps consacré à l'enseignement de l'hypnose lors de la formation des généralistes? des psychiatres?
Je viens de m'apercevoir que j'ai répondu sans vous avoir lu.
Mais Valikor, justement qu'insinuez vous ?

Actuellement j'ai une psychiatre en séances, ce qui m'amène a dire que l'on soit médecin ou psychiatre un travail personnel doit être fait si l'on souhaite pratiquer avec toutes les approches de thérapies hypnotiques... et je confirme que ce sont des métiers complémentaires.

Qui apporte le plus à l'autre : la psychiatre ou l'hypno ???

:shock:

D'après vous ? C'est elle qui est dans mon cabinet pas moi dans le sien et surtout après consulté pendant 8 ans ses confrères...

si c'était vpous qui étiez dans le sien et non l'inverse çà changerait comment ?

Qui en tirerait plus bénéfice finalement ?

L'une, l'autre ou les deux ?

"l'hypnose" ne serait elle pas tout aussi présente ?

je n'arrive pas à vous suivre sur le plan thérapeutique...
Si vous n'arrivez pas a me suivre c'est que vous prenez la situation a l'envers, pour l'instant c'est elle qui a besoin de moi et après 8 ans de thérapie analytique avec ses confrères, c'est loin d'être facile...

Le milieu psy je connais, je vous l'ai déjà dit, et l'hypnose n'en fait pas partie....
 
Brieuc du Garay

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Derrière un avatar, on peut s'y connaître dans plein de choses, et critiquer de manière pseudo-construite dans plein de domaines.

Je dis ça.. mais reste sûr de rien :D
 
surderien

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Depuis toujours l'hypnose a fait partie de la médecine et elle a évoluée avec elle.

rappellez moi le temps consacré à l'enseignement de l'hypnose lors de la formation des généralistes? des psychiatres?
Je viens de m'apercevoir que j'ai répondu sans vous avoir lu.
Mais Valikor, justement qu'insinuez vous ?

Actuellement j'ai une psychiatre en séances, ce qui m'amène a dire que l'on soit médecin ou psychiatre un travail personnel doit être fait si l'on souhaite pratiquer avec toutes les approches de thérapies hypnotiques... et je confirme que ce sont des métiers complémentaires.

Qui apporte le plus à l'autre : la psychiatre ou l'hypno ???

:shock:

D'après vous ? C'est elle qui est dans mon cabinet pas moi dans le sien et surtout après consulté pendant 8 ans ses confrères...

si c'était vpous qui étiez dans le sien et non l'inverse çà changerait comment ?

Qui en tirerait plus bénéfice finalement ?

L'une, l'autre ou les deux ?

"l'hypnose" ne serait elle pas tout aussi présente ?

je n'arrive pas à vous suivre sur le plan thérapeutique...
Si vous n'arrivez pas a me suivre c'est que vous prenez la situation a l'envers, pour l'instant c'est elle qui a besoin de moi et après 8 ans de thérapie analytique avec ses confrères, c'est loin d'être facile...

Le milieu psy je connais, je vous l'ai déjà dit, et l'hypnose n'en fait pas partie....

vous avez une formation de psychiatrie ?

et elle elle est psychiatre ou psychanalyste ?

çà ne me semble pas bien en phase cette situation.
 
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Deux métiers différents, c'est peut être un peu exagéré.
Mesmer, Charcot, Bernheim, Erickson... Si je ne me trompe pas c'étaient bien des médecins!
Depuis toujours l'hypnose a fait partie de la médecine et elle a évoluée avec elle.

rappellez moi le temps consacré à l'enseignement de l'hypnose lors de la formation des généralistes? des psychiatres?
Je viens de m'apercevoir que j'ai répondu sans vous avoir lu.
Mais Valikor, justement qu'insinuez vous ?

Actuellement j'ai une psychiatre en séances, ce qui m'amène a dire que l'on soit médecin ou psychiatre un travail personnel doit être fait si l'on souhaite pratiquer avec toutes les approches de thérapies hypnotiques... et je confirme que ce sont des métiers complémentaires.

Qui apporte le plus à l'autre : la psychiatre ou l'hypno ???

:shock:

D'après vous ? C'est elle qui est dans mon cabinet pas moi dans le sien et surtout après consulté pendant 8 ans ses confrères...

si c'était vpous qui étiez dans le sien et non l'inverse çà changerait comment ?

Qui en tirerait plus bénéfice finalement ?

L'une, l'autre ou les deux ?

"l'hypnose" ne serait elle pas tout aussi présente ?

je n'arrive pas à vous suivre sur le plan thérapeutique...
Si vous n'arrivez pas a me suivre c'est que vous prenez la situation a l'envers, pour l'instant c'est elle qui a besoin de moi et après 8 ans de thérapie analytique avec ses confrères, c'est loin d'être facile...

Le milieu psy je connais, je vous l'ai déjà dit, et l'hypnose n'en fait pas partie....

vous avez une formation de psychiatrie ?

et elle elle est psychiatre ou psychanalyste ?

çà ne me semble pas bien en phase cette situation.

Heu... vous faites exprès de ne pas comprendre où avez vous perdu le sens de la réflexion.
Ou rester en permanence en hypnose vous faire perdre le raisonnement ?...
 
surderien

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Deux métiers différents, c'est peut être un peu exagéré.
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Depuis toujours l'hypnose a fait partie de la médecine et elle a évoluée avec elle.

rappellez moi le temps consacré à l'enseignement de l'hypnose lors de la formation des généralistes? des psychiatres?
Je viens de m'apercevoir que j'ai répondu sans vous avoir lu.
Mais Valikor, justement qu'insinuez vous ?

Actuellement j'ai une psychiatre en séances, ce qui m'amène a dire que l'on soit médecin ou psychiatre un travail personnel doit être fait si l'on souhaite pratiquer avec toutes les approches de thérapies hypnotiques... et je confirme que ce sont des métiers complémentaires.

Qui apporte le plus à l'autre : la psychiatre ou l'hypno ???

:shock:

D'après vous ? C'est elle qui est dans mon cabinet pas moi dans le sien et surtout après consulté pendant 8 ans ses confrères...

si c'était vpous qui étiez dans le sien et non l'inverse çà changerait comment ?

Qui en tirerait plus bénéfice finalement ?

L'une, l'autre ou les deux ?

"l'hypnose" ne serait elle pas tout aussi présente ?

je n'arrive pas à vous suivre sur le plan thérapeutique...
Si vous n'arrivez pas a me suivre c'est que vous prenez la situation a l'envers, pour l'instant c'est elle qui a besoin de moi et après 8 ans de thérapie analytique avec ses confrères, c'est loin d'être facile...

Le milieu psy je connais, je vous l'ai déjà dit, et l'hypnose n'en fait pas partie....

vous avez une formation de psychiatrie ?

et elle elle est psychiatre ou psychanalyste ?

çà ne me semble pas bien en phase cette situation.

Heu... vous faites exprès de ne pas comprendre où avez vous perdu le sens de la réflexion.
Ou rester en permanence en hypnose vous faire perdre le raisonnement ?...

je pense qu vous êtes dans une situation de deux disciplines occupant le même terrain et confrontant leurs différences.

cela est en effet très constructif : c'était déjà le cas dans un certains nombre d'équipes de soin polydisciplinaires et ce mode de pratique tend à se développer et se généraliser pour le bien des patients

bref bon nombre de médecins font de la médecine intégrative de par leurs études et l'hypnose y est bien présente : çà s'appelle aussi la collégialité !

cette hypnose peut être plus ou moins présente, selon qu'on préfère ou non travailler en solo, au choix.

8)
 
castorix

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Bonsoir,

Hum, il me semble que nous en sommes au moment où (comme dirait Prudence) chacun pense à mesurer sa perche, quitte à annoncer une taille respectable, même s'il l'exagère... :wink:

D'ailleurs qui a ... l'illusion phallique, comme dit un ami psychanalyste ??


Paul Elie à dit:
vous avez la mémoire courte...il n'y as pas si longtemps que cela nous étions considéré comme des charlatans et sorciers!

Oui, de qui parle Paul-Elie en fait ??
De lui ?
des thérapeutes employant l'hypnose, "en général" ??

Je ne pense pas qu'il existe un groupe cohérent d'individus (au-delà d'un tout petit groupe de pairs) que l'on puisse considérer comme comparables...

On consulte (tant pis pour le choix de ce mot) toujours un Thérapeute, on ne consulte pas « l'hypnose » comme si c'était une grande dame... prévisible et bien connue de tous... :?

Alors une fois de plus, comparer la dimension de sa respectabilité à celle (supposée) de son école de pensée, est au moins fantaisiste, sinon inconvenant...

D'autant qu'il suffit de lire quelques sujets ayant donné lieu à des passes "musclées" entre les posteurs de ce site, pour se convaincre qu'ils ne se ciomprennent pas toujours les uns les autres (si même certains se comprennent tout seuls :wink: ?)

Oui c'est juste pour rire, je me comprends dans cette phrase ! 8)
 
castorix

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l'Académie de Médecine a dit le 5 mars dernier à dit:
3. Hypnose
Description
Introduite en médecine par Charcot pour étudier l’hystérie, développée par Bernheim, c’est avant tout une technique de psychothérapie qui a montré son efficacité dans certaines pathologies, notamment l'état de stress post-traumatique. Elle est de plus en plus largement utilisée comme thérapie complémentaire.
L’hypnose est un état d’attention focalisée et "d’absorption interne" avec suspension partielle de l’éveil, assez comparable à l’absorption dans certaines pensées lors d’actions de type automatique comme la conduite automobile.
Cet état est considéré comme doté de vertus réparatrices et susceptible de faciliter secondairement, spontanément ou par suggestion, une meilleure homéostasie et un meilleur aménagement des relations de l’organisme avec son milieu.
Le point d’appui de l’hypnose, comme de la relaxation, est la suggestion qui permet d’induire grâce à des exercices à la fois corporels et psychiques une sorte de déconnexion mentale et physique, aboutissant à un isolement relatif de l’organisme par rapport à son milieu. Cette clôture partielle des interactions, alors réduites à celles qui unissent
le thérapeute et le patient, est censée établir une sorte d’état physiologique cohérent, qu’on a pu comparer au sommeil (le sommeil lucide) mais qui en diffère, contrairement à une croyance répandue.
En pratique, l’état hypnotique est induit par fixation du regard sur un point lumineux ou fixation auditive par écoute d’un son continu, en même temps qu’est remémoré un souvenir agréable.
L’entrée dans l’expérience hypnotique, perçue par le malade conscient, peut être signalée par un signal convenu ; les suggestions deviennent alors possibles.
L’hypnose s’accompagne de manifestations cliniques et neurophysiologiques qui en garantissent l’authenticité et légitiment d’une certaine façon son utilisation thérapeutique ou les tentatives qui en sont faites. La profondeur de l’hypnose augmentant, des mouvements oculaires erratiques entrecoupés de saccades apparaissent, différents de ceux du sommeil paradoxal. Un monitoring électro-encéphalographique peut alors montrer l’apparition de rythme alpha plus net lorsque les yeux sont fermés par rapport au rythme Béta yeux ouverts. Les recherches en imagerie, par exemple en PETscan, montrent qu’en état d’hypnose le revécu d’une expérience autobiographique active des aires corticales sensorielles et motrices différentes de celles que produit l’évocation de la mémoire épisodique par un sujet non hypnotisé [51]. On a décrit aussi une activation accrue du cortex pariétal (opercule) dont on sait qu’il est impliqué dans les mécanismes d’attribution à soi ou à autrui des mouvements perçus, avec une dissociation entre la perception des mouvements volontaires et celle des mouvements involontaires lors d’une suggestion hypnotique [52]. On sait d’autre part que les patients porteurs de lésions pariétales présentent une altération de leur perception consciente des mouvements et actions volontaires [53] et que ces anomalies sont observables après induction hypnotique chez les sujets sans lésion pariétale, qui deviennent incapables de faire part de leur intention de mouvement ou d’action.
L’hypnose et la relaxation sont aujourd’hui des outils couramment utilisés par le psychothérapeute et par certains médecins et soignants. Leurs multiples indications en médecine en font de plus en plus un élément précieux de ce qu’on est convenu d’appeler les ThC, sachant qu’il s’agit avant tout de techniques psychothérapiques et psychocorporelles.

Pour un début, je trouve que c'est une présentation assez éclairée... non ?!

Qui peut dire qu'il aurait su faire mieux ? :)
 
Paul Elie

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en plein dans l'actualité castorix...
a partir de quand l'omission de parties de la vérité devient mensonge?
ce qui est interressant (pourrai on dire révélateur?) est la façon dont vous détournez la discussion ,apportez des arguments et justifications pour ne pas reconnaitre les "erreurs passées de la corporation médicale"....

avec un discours pseudo scientifique, qui essai d'en mettre plein la vue, a grand coup d' électroencéphalogramme et autres scanner.... qui malgré vos efforts.... fondamentalement.... n'as pas encore expliqué le fonctionnement de l'esprit!
mais uniquement constaté que le cerveau, pense par lui meme :D , dans sa plasticité et parvient a déjouer et remettre en questions toutes les "theories medicales" quand il ne les contredit pas!
vous avez en fait la mémoire courte, je le repete ,car aujourd'hui comme hier, vous mettez encore sur la table des arguments massue, qui si admissibles comme amusement de corps de garde, dans un cercle d'internes d'hopital, ne convient pas dans une discussion que vous voulez sérieuse?

c'est bien vous qui parlez de phallus, pour imager, ces "compétitions" d'arguments entre les différentes écoles de pensée....
sachez monsieur que nous n'avons pas les mêmes unités de mesure...
il faut que cela soit bien clair!

votre système métrique ( le notre inévitablement!) n'est pas, et c'est ma conviction, tout a fait adéquat , ni dans vos plaisanteries ni dans vos tentatives "scientifiques" une unité valable pour la reconnaissance des avancées thérapeutiques que l'hypnose a apportée en ce qui concerne le soin a la personne....

pour faire une autre comparaison, a mon sens plus,ou plutôt moins misogyne,phalocratique.... je dirai:
que a l'image de l'ecroulement des valeurs" capitalistes", financieres, politiques , qui nous sont imposées depuis des "lustres".... basées sur l'exploitation et le rendement.....
la verité qui nous dit que le bonheur n'est pas dans l'avoir ,mais bien dans l'etre.... si petite soit elle dans l'esprit de notre societé....
finira par triompher!
c'est inevitable.....
oui en effet l’hypnothérapie, petite et discrète, face a l’énorme machine ,industrie pharmaco-medicale.....petit a petit.....ébranle tout un système établit de croyances....
david et goliath, ça vous dit quelque chose?

puisque vous semblez être friand de métaphore ou, comparaisons, je vous oppose la mienne... :D

j'admet que cet argument n'est pas a votre niveau,mais un chemin divergent, mais n'est il pas acceptable pour autant?
surtout quand il semble etre verifié....par l'actualité de notre crise existancielle,sociale ,financiere,politique....ou tout est établit sur le mensonge et l'argent.....

c'est la , a mon avis que ce place le véritable débat... que l’hypnothérapie soulève des profondeurs " spirituelles?"
 
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mindy

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Que l'hypnothérapie soulève des valeurs spirituelles? Qu'entendez-vous par là? L'hypnose serait la solution à la crise?
 
Paul Elie

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mindy à dit:
Que l'hypnothérapie soulève des valeurs spirituelles? Qu'entendez-vous par là? L'hypnose serait la solution à la crise?
oui et non :D
si on croit que l'hypnose est un outil qui nous permet de communiquer donc de comprendre ....les valeurs ,les émotions et leurs effets qu'elles ont sur notre comportement.... donc une évaluation plus "objective" ou sans la construction "logique et rationnelle"( personnelle donc pas universelle!) mais bien une évaluation spirituelle....
ou le respect de l'autre devient un paramètre incontournable ( pour se préserver soi -même!)

le modele therapeutique avec l'hypnose.....peut guerir!
alors si la societé a essayé historiquement presque tout les modeles sans succés ( capitalisme,comunisme, facisme etc)

pourquoi ne pas essayé le modèle hypnose qui est appelé ....utopie ecologico-anarchiste? ou les valeurs du pouvoir, de la proprieté, de l'argent et du mensonge n'existerai plus?

nous sommes le dos au mur...a tous points de vue....
ecologique,social,etc ou la destruction prend le pas dans tous progrés....
or l'hypnose propose a mon avis.... un autre alternative
non violente....
le positif!
or comme je l'ai expliqué le positif demande plus de travail que le negatif..... as t'on vraiement le choix?
 
Paul Elie

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le réalisme est toujours par définition une notion personnelle et subjective qui prend racine grâce a votre expérience....
a un point de vue "collectif" comme thérapeutique.... si vous recherchez une solution réaliste, donc dans votre passé.....
par rapport a une expérience vécue,réelle
vos chances de répéter les mêmes erreurs vont augmenter!
vous ne guérirez pas le mensonge par plus de mensonges ou la pollution en additionnant les déchets ( nucléaires ou autres) mais en faisant un effort conscient
pour les supprimer ou les diminuer,recycler...
 
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Hubert Chatelée

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castorix à dit:
l'Académie de Médecine a dit le 5 mars dernier à dit:
L’hypnose et la relaxation sont aujourd’hui des outils couramment utilisés par le psychothérapeute et par certains médecins et soignants. Leurs multiples indications en médecine en font de plus en plus un élément précieux de ce qu’on est convenu d’appeler les ThC, sachant qu’il s’agit avant tout de techniques psychothérapiques

Pour un début, je trouve que c'est une présentation assez éclairée... non ?!

Qui peut dire qu'il aurait su faire mieux ? :)

Personnellement je pense qu'assimiler l'hypnose à la relaxation ne peut pas être qualifié de "Présentation éclairée"...
 
castorix

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Bonsoir Hubert,

Hubert Chatelée à dit:
Personnellement je pense qu'assimiler l'hypnose à la relaxation ne peut pas être qualifié de "Présentation éclairée"...

Afin que les choses soient claires, je commence par dire que je ne me sens le défenseur de personne - et singulièrement, pas de l'Académie de médecine, dont j'ai combattu certaines positions (un exemple : un certain rapport daté d'un certain 1er avril, à charge contre les éoliennes).

Mais non en effet, je ne trouve pas qu'un certain rapprochement entre relaxation et hypnothérapie soit dénué de sens.

Le fait de les citer dans la même phrase a le mérite d'aider à se rappeler que là où l'hypnose thérapeutique est la plus surprenante (et pour moi la plus utile), c'est dans sa dimension de soin psychocorporel.

Et cela n'est pas compréhensible pour bien des thérapeutes qui restent à distance du corps, qui ne pensent le soin en hypnose qu'à travers le langage.

Au-delà de ça, bien sûr que si en hypnose on se contentait de favoriser la relaxation, on se priverait sans doute de bien des possibilités qu'elle offre.

Mais je tiens ici à redire ce que j'ai souvent soutenu (quitte à ne pas faire l'unanimité :wink: ) :

- il est possible d'être thérapeutique (par un style de communication, une démarche guidée par les principes de l'empathie selon Carl Rogers, une alliance forte, une définition co-construite des objectifs, un soin mis à apporter une dimension de recadrage vécu dans l'émotionnel et non pas seulement sur un mode de restructuratiion cognitive à la Beck) sans que soit mentionnée l'hypnose

- il est possible aussi de faire des bêtises (ou pire, des conneries) qui ne profitent pas au devenir du patient, en employant pourtant des techniques (au sens strict) d'hypnose (du genre induction, suggestions, etc.)

Pour résumer : je me sens à l'aise pour défendre la voie de l'hypnose thérapeutique comme pouvant être à la fois sérieuse et employée au bénéfice du patient (sous-entendu : avec un résultat encore optimisé par rapport à ce que l'on réussissait jusque là sans hypnose), mais cela ne me fera pas dire que l'étiquette "ici on travaille avec l'hypnose" soit pour autant une garantie de mieux-value.

Je ne dis rien de plus.
Alors quand on avance vers une certaine reconnaissance de voies thérapeutiques considérées dans les décennies précédentes comme suspectes, je ne fais pas la fine bouche, je trouve qu'il y a un pas.
Un pas dans la bonne direction.
Et je me propose de participer à favoriser une meilleure reconnaissance encore des thérapies solutionnistes et ericksoniennes, en travaillant sur le terrain, par l'accumulation d'expériences qui font la différence, et non pas en jetant l'anathème sur les voisins...

(même si cela m'a parfois tenté, sur ce même forum ! :oops: )
 
castorix

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Bonsoir Paul-Elie,

Je crains que vous n'ayez, simplement, pas bien suivi l'affaire...

Paul Elie à dit:
en plein dans l'actualité castorix...
a partir de quand l'omission de parties de la vérité devient mensonge?
ce qui est interressant (pourrai on dire révélateur?) est la façon dont vous détournez la discussion ,apportez des arguments et justifications pour ne pas reconnaitre les "erreurs passées de la corporation médicale"....

avec un discours pseudo scientifique, qui essai d'en mettre plein la vue, a grand coup d' électroencéphalogramme et autres scanner.... qui malgré vos efforts.... fondamentalement.... n'as pas encore expliqué le fonctionnement de l'esprit!

Eh bien, la citation n'est pas de moi, elle est de l'Académie sus-citée, j'ai simplement copié-collé un extrait de l'article vers lequel Suederien avait proposé un lien.

Vous voilà bien prompt à enfourcher votre rossinante et à hurler : "sus aux moulins ! "
C'est ce que l'on pourrait considérer, vous concernant, comme une hyperfocalisation des préoccupations...
Vous réagissez et me faites penser (me faites penser un peu) à des personnes qui ont traversé des souffrances (respectables) et en ont gardé un souvenir confus, dont les brumes mal dissipées ne leur laissent exhaler qu'une rancoeur mal digérée aux parfums amers : les sempiternels reproches contre ce monde médical exécrable (à vos yeux), commis dans la corruption souillant de honte les consciences de professionnels vendus aux consortiums pharmaceutiques...

Je ne serai pas votre Sancho Pança - mais il est l'heure de vous réveiller, de vous essuyer le menton.
Ce n'est pas de cela dont il était question.
Je ne soulignais pas, ni ne cautionnais, je ne sais quelles "erreurs passées de la corporation diabolique".
Et quand on poste en citant l'un de vos messages, on n'est pas toujours un suppôt de Belzébuth, pseudopode tentaculaire d'un noir complot... :roll:
 
Paul Elie

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ne vous en prenez qu'a vous même vous provoquez et n'assumez pas la responsabilité de vos provocations....
d'abord vous qualifiez nos discussions de compétition a celui qui a la plus grosse , puis présentez une déclaration que vous dites éclairée....

et n’espérez pas que nous allions répondre?
puis me dites que je suis un simple d'esprit qui n'as pas suivi, ou lire vos lignes peut être!

allons bon!
ceci dit je n'ai rien contre vous ni contre les médecins....
mais contre l'ordre qui mène une guerre perdue d'avance contre les thérapeutes alternatifs....et le manque d’éthique ou de déontologie que l'on veut faire croire exister chez les hypnothérapeute
est tout a fait comparable en % a ce que l'on découvre chez vous!
 
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