Ma foi Intemporelle vous rayonnez ce soir, je vous sens pleine de gloire, l'esprit triomphant. Légère comme une brise, portée par votre victoire. Ca a du style, ça gît sous vos mots, ou sur vos mots, comme une atmosphère de contentement, en quelque sorte.
Contentez vous !
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Lire vos message m'a fait sourire, je me suis dit qu'un instant j'avais été l'objet de votre plaisir... !
Félicitations, avec mon aide (bonne patte que je suis...) vous avez une nouvelle fois réussi à faire passer les plaies pour des couteaux! Effectivement, plus je suis à vif plus je suis susceptible, réactif, peut être agressif, et vous voyant arriver avec vos grands sabots j'ai préféré vous faire taire le temps de pouvoir parler.
Je me doutais bien que vous reviendriez à la charge, sous un pseudo ou un autre (quel entrain vous avez eu! Presque... de la précipitation...!) Je vous laisse vous remettre de cet affront. Fustigez moi, mets moi un coup de talon dans le tibia même si tu veux...!
Je n'ai juste pas pu résister à vous démettre une dernière fois...
Tout est relativement cohérent chez vous. Tout, sauf cette prétention à être fine psychologue
(et là, je me marre franchement)
Vous pratiquez une psychologie de couleuvre. Aucune hauteur dans le déroulé de votre démarche, un glissement lent et cyclique dans des sillons humides...!
Bon. C'est une manière de faire...
Vous m'avez aidé à comprendre une chose.
Il y a une morale à cette histoire, qui est le pendant des pieds dans la merde du philosophe ;
par dessus tout, il faut que se déploie l'étincelle du joyeux luron
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