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jeangeneve

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là bas,
reste a visualiser et réconcilier les parties "casées" avec le reste pour une cerise PNL sur le gâteau... :wink:
rares sont les vrais médecins qui parlent de vitamine D2 et de calcium ( mind mapping ou térapie stratègique)

quand la la pensée positive ???
ce serais "a bientôt" ?
un pur truc paradoxal qui ferais prêter attention ou l'on marche.
ou s'interdire de rêver avec la prescription d'un anti-hypnotique ?

c'est vrais le mais, le ne pas, ce serais interdit.
ce serais aussi un peu trop proche du réel donc dangereux.

pourtant le technique exposée par M. Finel ne semble pas être un emplâtre...
en ce début d'année j' espère que les métaphores ne se transforme pas en prédiction réalistante :roll:
 
valikor

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-Réalité- à dit:
Oui, cette causalité que vous établissez entre un plus grand apprentissage et ce que vous appelez « le négatif » demanderait à être clarifié. Sinon, comme je vous le disais, que nous soyons plus sensibles aux échecs qu’aux réussites relève, selon moi, d’une conception pessimiste et ne tient pas compte des différences interindividuelles. Une personne qui a une estime de soi haute et stable accueillera un succès ou un échec très différemment d’une personne à l’estime de soi basse.

c'est aussi cette façon d'accueillir les choses qui fait en sorte qu'elles soient ainsi...

je préciserais les choses de la façon suivante :
il y a un biais de construction : le négatif marque intrinsèquement plus. néanmoins, les différences interindividuelles peuvent avoir beaucoup plus d'impact et entraîne une grande intervariabilité de réaction...

certains peuvent complètement neutraliser ce biais et évacuer les échecs rapidement alors que d'autres, vont l'amplifier...

je persiste, mais j'explique davantage, je suis allé trop vite : certainement fois, le changement direct est impossible en raison de certains ressentis tels que "je suis prisonier de mes parents et mes parents consitutent un modèle que je dois suivre"
une personne avec cela en elle aura effectivement peu de possibilité de changer.
Dans ce cas, seule une thérapie qui commence par travailler à dimminuer ces ressentis là aura une chance réelle d'aider la personne à changer.

Hum ! Dans l’exemple que vous citez, ce que vous appelez « ressentis » sont en fait des choses très bien verbalisées. C’est pourquoi, de mon coté, je les aborderais plus comme des cognitions susceptible d’être remise en question que des émotions ou des ressentis (difficilement verbalisables) et susceptibles d’être atténués par une technique de relaxation, par exemple.
Mais peut-être sommes-nous dans une querelle de mots et ce que vous appelez « ressentis » ne revêt pas le même sens chez vous que chez moi.

dans une émotion, une sensation, une cognition, une impression, un élément mémoriel, il y aurait 2 parties : la partie information proprement dite d'une part et l'intensité avec laquelle elle est ressentie d'autre part.
c'est le ressenti qui donne l'importance de la partie informative... et qui permet ou pas (s'il est faible ou devenu absent) à cette partie informative de participer à la construction émotionnelle et potentiellement celle de l'identité.

oh, dès fois la perosnne vient mais elle se demande pourquoi car elle tellement peur de ne pas arriver à changer que cela en devient une prophétie autoréalisante...

Oui, La peur de pas être en capacité de changer, c’est assez courant. A choisir, il vaut mieux la vertu autoréalisatrice de l’optimisme.

certes mais ce n'est pas suffisant... A la différence de la peur, qui s'autoamplifie très facilement surtout chez les gens anxieux...
 
Leo Lavoie

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jeangeneve à dit:
bon,
si le concept d'état du moi c'est pas Freudien....

si vous le dites
quand a métaphone c'est fou ce que vous projetez comme croyances sur la stimulation alternative

Ben non ce n'est pas freudien , je le confirme. Le freudien c'est le moi, le surmoi et le ça. Mais comme on dit englais "potéto ou potato, tométo ou tomato" C'est à dire que c'est la même soupe avec d'autres petits ingrédients.

Les états du moi c'est pas freudien mais le terme commence à me casser les c.........es
 
Leo Lavoie

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valikor à dit:
jeangeneve à dit:
arf, bon on est dans l'analytique, le freudien et tout le tremblement...
théorie en perte de vitesse (pour être gentils)
donc en EMDR pas de modification des SPI....
croyance ou réalité ?

il est temps de laisser les forum analytiques aux analystes

enfin j'ai crus que l'on était dans la thérapie brève ici :lol:

non sérieusement, c'est assez inquiétant de voir comment des formations induise des croyances.
un formatage ?
ou un fort pouvoir des analystes ?

on ne semble pas sortit de ces fameuses séances avec un maximum de décharges émotionnelles qui sont sensée guérir.

pour résoudre efficacement un problème, il faut comprendre pourquoi il y a un problème, qu'est ce qui constitue un problème ou pas et ce qu'il faudrait faire pour le résoudre....

un minimum d'analyse est donc nécessaire... mais analyser ne veut pas dire résoudre...
résoudre un problème comprend donc les étapes suivantes :
-analyse du problème;
-mise en place d'actions visant à résoudre;
-feedback sur les résultats, s'il n'est pas résolu, modélisation du problème et mise en place d'un raisonnement permettant d'autres actions visant à résoudre plus efficace...


petite métaphore illustratrice :

un homme arrive avec une jambe cassée, il souffre, voici diverses réactions (liste non limitative) caricaturales, j'insiste
-urgences : remise en place des os, radio, platre, ordonnance béquille, N° de sécurité sociale, au fait, vous êtes qui? médoc et laisser faire le temps;
-l'analyste : à quoi ou à qui vous fait penser votre jambe cassée?
-TCC : je vais vous aider à marcher avec des béquilles;
-Hypnothérapeute directif ou ericksonien n'ayant pas tout compris : Lève toi et marche;
-méthode coué : "je marche bien, je marche bien..."
-Hypnothérapeute ericksonien pur sucre : "nous allons vous aider à mobiliser vos ressources intérieures pour arriver à marcher"

idéal : Mr X, on va vous diminuer la douleur, puis remettre en place les os, plâtrer, vous faire une ordonnance pour des béquilles, vous aider à apprendre à vous en servir et on en profitera pour vérifier votre vue, faire un bilan complet pour comprendre pourquoi c'est arrivé et surtout faire en sorte que cela n'arrive plus. Ca vous va?

Tsst Tsst...faut pas mêler "analyse" avec "psychanalyse" c'est pas pareil.

l'analyse psychanalytique c'est pas que de l'analyse. L'analyse psychanalytique résoud par le phénomène de l'abréaction qui vient en psychanalyse. Donc Freudien n'est pas analytique mais psychanalytique et c'est pas pareil du tout.

Par contre l'analyse fait partie de la psychanalyse comme elle fera partie de la bonne séance thérapeutique d'à peu près n'importe quelle thérapie. Analyser et résoudre oui...

Mais il faudrait comprendre une fois pour toute que la psychanalyse de Freud avait pour but l'abréaction curative. L'abréaction spontanée et brutale ou celle qui se fait de façon amortie sur le temps. Et l'abréaction contient la plus grande part de la résolution du problème car elle fait passer la névrose de l'inconscient au conscient, lui enlevant sa puissance de surpression refoulée.
 
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Métaphore

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Leo Lavoie à dit:
Les états du moi c'est pas freudien mais le terme commence à me casser les c.........es

Normal... ne pas comprendre qqchose peut amener une certaine frustration... :roll:
 
Leo Lavoie

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Métaphore à dit:
Leo Lavoie à dit:
Les états du moi c'est pas freudien mais le terme commence à me casser les c.........es

Normal... ne pas comprendre qqchose peut amener une certaine frustration... :roll:

C'est qu'y a que vous qui utilisez ce terme là ici il me semble. Et ce n'est qu'une de multiples façons d'illustrer la dynamique psychologique. Vous, vous semblez croire que si on n'utilise pas ce terme là c'est que l'on ne sait pas de quoi l'on parle. Votre réputation d'obtuse n'est plus à faire voyons... :roll:
 
M

Métaphore

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Leo Lavoie à dit:
Et l'abréaction contient la plus grande part de la résolution du problème car elle fait passer la névrose de l'inconscient au conscient, lui enlevant sa puissance de surpression refoulée.

Oui dans un certain sens, mais pas toujours suffisant... dans une abréaction, l'émotion liée à l'évènement douloureux est expulsée, mais la croyance négative peut être toujours présente si on n'y apporte pas une croyance positive acceptable par l'inconscient.

Bon je ne parlerais pas des états du moi (*), car je sais l'effet que ça vous fait, mais c'est bien dommage, car c'est justement le problème principal dans les thérapies brèves qui échouent où on n'aborde pas ces états du Moi problématique qui n'est pas uniquement la partie "enfant".



PS: (*)appeler ça les différentes parties du Moi...


Non il n'y a pas que moi qui connaît, je peux vous rechercher une discussion sur le forum, c'est vous qui est un peu bouché...
 
M

Métaphore

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katia (zoulouk)

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Vous vous êtes casse la jambe, Monsieur , eh bien , vous pouvez en profitez pour vous faire dorloter ou pour faire des mega séances télé, ou tout ce que vous accordez pas en étant sur vos deux pieds. Mais bientôt vous serez a nouveau sur vos 2 pieds, valide pour un bon sprint, alors savourez ce moment...
Mais avant de rentrer pour regarder la télé plus tranquille, on va vous faire une radio, aviser alors de la suite, vous plâtrer vraisemblablement. Ensuite on vous prescrira que vous puissiez au moins aller au frigo...

Êtes vous ok ?

On peut commencer par la partie médicale aussi.. Enfin et surtout soulager mécaniquement la douleur de la fracture ( froid, attele gonflable etc...)
 
Leo Lavoie

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Métaphore à dit:
Voici Léo de quoi je parle, à moins que ça vous casse les c....

Les états du moi de surface
et
Les états du moi sous-jacents


https://www.transe-hypnose.com/sujet/therapie-et-therapie-un-petit-cours-integratif.3101/


Lisez les interventions de Rémy.E et de Corfinas dans le 2ème lien, ils ont l'air de connaître aussi, sauf que eux ne connaissent pas le terme "états du Moi" les "parties" du Moi.

https://www.transe-hypnose.com/sujet/la-dissociation.2795/page-2

Ben oui, je les ai lues ces explications. C'est la même soussoupe que je vous dis... Les deux catégories sont le conscient et l'inconscient.

L'inconscient comprend l'inné et l'acquis. L'acquis serait pour certains, le subconscient (et j'en suis).

Mais le subconscient acquis c'est précisément ça l'enfant intérieur. Enfin c'est là ou il se trouve... Mais il n'y en a pas qu'un, il y en a plusieurs en fait. Même si l'on le mentionne au singulier.

Donc j'en reviens au moi adulte et au moi enfant.

Mais y'a aussi, si l'on veut (et moi je veux) le grand moi ou le grand soi. Le soi spirituel (le surconscient) qui peut transender les deux autres catégories "d'états du moi".

À vous lire vous semblez dire "pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?"
 
M

Métaphore

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Et bien vous n'avez toujours rien compris... que voulez vous, même si d'autres que "moi" mettent noir sur blanc ce qui se passe dans cette représentation d'états du moi, vous ne comprenez pas; ben effectivement restez avec ce que vous comprenez... :?


PS : Et le concernant le soi spirituel, ben il faudrait déjà savoir faire des rêves éveillés, ou au moins de l'AH...
 
Leo Lavoie

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Métaphore à dit:
Et bien vous n'avez toujours rien compris... que voulez vous, même si d'autres que "moi" mettent noir sur blanc ce qui se passe dans cette représentation d'états du moi, vous ne comprenez pas; ben effectivement restez avec ce que vous comprenez... :?


PS : Et le concernant le soi spirituel, ben il faudrait déjà savoir faire des rêves éveillés, ou au moins de l'AH...

Eh bien j'invite tous ceux ici qui pensent que je n'ai pas compris et qui auraient compris vos "états du moi" à m'aider à comprendre ce que je n'ai pas compris. Quand à vous...Obtuse, obtuse, obtuse...Vous ne vous tarissez pas.
 
Leo Lavoie

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Métaphore à dit:
PS : Et le concernant le soi spirituel, ben il faudrait déjà savoir faire des rêves éveillés, ou au moins de l'AH...

C'est ridicule ce que vous dites là et encore une fois vous faites du sectarisme de termes.

Ressentir l'intention de la création dans la nature nous mets en contact avec le soi spirituel. Et y'a tellement d'autres façons. La prière en est une pour beaucoup....

Vous, vous en nommez 2 et en dehors de cela, point de salut... C'est cela être obtus.
 
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Leo Lavoie à dit:
Métaphore à dit:
Et bien vous n'avez toujours rien compris... que voulez vous, même si d'autres que "moi" mettent noir sur blanc ce qui se passe dans cette représentation d'états du moi, vous ne comprenez pas; ben effectivement restez avec ce que vous comprenez... :?


PS : Et le concernant le soi spirituel, ben il faudrait déjà savoir faire des rêves éveillés, ou au moins de l'AH...

Eh bien j'invite tous ceux ici qui pensent que je n'ai pas compris et qui auraient compris vos "états du moi" à m'aider à comprendre ce que je n'ai pas compris. Quand à vous...Obtuse, obtuse, obtuse...Vous ne vous tarissez pas.

Ben je vous retourne le compliment... :roll:

En attendant qu'on vous explique... Corfinas et REMY savent de quoi je parle...
 
M

Métaphore

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Leo Lavoie à dit:
Métaphore à dit:
PS : Et le concernant le soi spirituel, ben il faudrait déjà savoir faire des rêves éveillés, ou au moins de l'AH...

C'est ridicule ce que vous dites là et encore une fois vous faites du sectarisme de termes.

Ressentir l'intention de la création dans la nature nous mets en contact avec le soi spirituel. Et y'a tellement d'autres façons. La prière en est une pour beaucoup....

Vous, vous en nommez 2 et en dehors de cela, point de salut... C'est cela être obtus.

Et vous vous en êtes où à ce niveau là spirituellement parlant ? hum... :roll: :idea:

Vous jugez un peu trop rapidement, pas fameux pour un thérapeute...

Et si vous suiviez un peu plus ce forum, vous vous rendriez compte que tout cela j'en ai déjà parlé que ce soit de la foi ou d'autres choses...
 
M

Métaphore

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Leo Lavoie à dit:
Mais le subconscient acquis c'est précisément ça l'enfant intérieur. Enfin c'est là ou il se trouve... Mais il n'y en a pas qu'un, il y en a plusieurs en fait. Même si l'on le mentionne au singulier.

Donc j'en reviens au moi adulte et au moi enfant.

Je viens de relire votre message et j'ai occulté ce passage... donc vous êtes d'accord qu'il peut exister plusieurs "parties" problématiques, ben alors comme faites vous pour réconcilier ces parties (ou états du Moi) ? vous devez bien les nommer à un moment donné dans une séance d'hypnose ?
 
jeangeneve

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là bas,
merci Leo pour vos explications,
je ne sui pas sur d' avoir tout compris il me semble que si on consulte un analyste ou un psychanalyste, c'est pareil
ici on préfaère dire analyste, car il y a pa psy
alors que c'est bien de la psychanalyse .
votre interprétation d'analyse me fait plutôt penser a ce que l'on appelle ici un entretien clinique ...

ha oui je précise je demande pas forcément un avis de Métaphore.
 
corfinas

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valikor à dit:
valikor à dit:
on apprend plus de ses échecs que de ses réussites. on est donc plus marqué par le négatif...
-Réalité- à dit:
Je ne partage pas cette vision des choses qui, à mon sens, qui relève du pessimisme.

références bibliographiques par google scholar, première page de résultats.

http://scholar.google.com/scholar?hl=en ... itive+ones

spécialement les 2 publis suivantes :
"Asymmetrical Effects of Positive and Negative Events:
The Mobilization-Minimization Hypothesis"
S.E. Taylor in Psychological Bulletin 1991,Vol.110, No.l,67-85
http://taylorlab.psych.ucla.edu/1991_As ... thesis.pdf

et

"Bad is stronger than good"
Roy F. Baumeister, Ellen Bratslavsky, Kathleen D. Vohs

Review of General Psychology 2001. Vol. 5. No. 4. 323-370
http://www.wisebrain.org/papers/NegSalienceinMem.pdf


Pour moi, rester près de l'observation neutre est primordial et permet de faire la différence avec les interprétations, les théories, les croyances et surtout le biais de l'observateur... qui fait souvent partie de l'expérience.

J'ai lu en diagonale mais je pense avoir compris: c'est la survie, comme une seconde suffit pour mourir et qu'il faut plus longtemps pour vivre, le positif et le négatif n'ont pas le même "poids", comme entendre "à table" ou "au feu", comme construire et détruire.
Merci Valikor, je trouve ça pragmatique et ça me ramène sur terre.
 
Leo Lavoie

Leo Lavoie

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Métaphore à dit:
Leo Lavoie à dit:
Mais le subconscient acquis c'est précisément ça l'enfant intérieur. Enfin c'est là ou il se trouve... Mais il n'y en a pas qu'un, il y en a plusieurs en fait. Même si l'on le mentionne au singulier.

Donc j'en reviens au moi adulte et au moi enfant.

Je viens de relire votre message et j'ai occulté ce passage... donc vous êtes d'accord qu'il peut exister plusieurs "parties" problématiques, ben alors comme faites vous pour réconcilier ces parties (ou états du Moi) ? vous devez bien les nommer à un moment donné dans une séance d'hypnose ?

Ben oui il y a plusieurs parties problématiques, il peut y en avoir beaucoup mais surtout aux phases de développement de l'enfance. Mais dans l'enfance on est toujours dans une phase ou l'autre de développement. En hypnose abréactive et régressive, j'atteins l'âge en question à partir du ressenti et là je le traite là en recadrant.

Je réconcilie en invitant la partie enfant à s'intégrer à la partie adulte. Ce que je nomme c'est le nom de la personne et son âge. Ou le nom de la personne avec le mot "adulte". P.E. Jules 5 ans qui s'adresse à Jules adulte. Mais il peut y avoir Jules qui est en fixation à la phase d'affirmation de soi et les Jules qui est en fixation à sa phase orale. Deux enfants intérieurs; Deux Jules enfants; deux états du moi si l'on veut...

Mais le terme "moi" ou "ego" en psy freudienne est le conscient.

Le terme "moi" ou "ego" pour Choprah est le "petit moi"... Pas pareil... Et pour vous dans votre formation le terme "moi" est l'ensemble de la personne semble t'il...

Voyez? Faut pas faire du sectarisme, faut comprendre le fond des choses et faire communion avec une variété de terme selon les formations différentes...
 
M

Métaphore

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Oui et bien effectivement on ne parle pas de la même chose, où on ne se comprend pas... tant pis je laisse tomber...
 
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-Réalité-

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valikor

Merci pour l’article de Baumeister que je ne connaissais pas. À première vue, vous aviez raison au sujet des affects négatifs. Mais comme je ne suis pas fortiche en anglais, il me faudra un peu de temps pour le lire sérieusement.

je suis tout à fait d'accord sur les effets de la rumination, du ressassement...
moins sur pourquoi cela ne se résoud pas.

s'il n'y as pas de résolution, c'est que la personne reste dans la contemplation, la plainte intérieure, le pourquoi... bref, elle contemple le problème ou chercher à l'analyser.
sa façon de procéder de donne pas lieu à de la résolution car il faudrait qu'elle veuille prendre de la distance avec ce qui la préoccupe, ou qui lui fait mal ou qu'elle veuille se rassurer....

A mon sens il faudrait qu'elle se dise (exemple par rapport à un échec): "Bon, c'est fait, c'est fait... tout ce qui est arrivé, cela ne doit plus avoir de l'importance, je m'en débarrasse, je mets tout cela à la poubelle....la prochaine fois je ferais différemment. Comment, je pourrais faire différemment qui pourrait mieux marcher


Oui, mais il y a des « échecs » ou des actes dont on se remet très difficilement et/ou qui ne sont pas réparables notamment lorsque la personne a trahi ses valeurs ou qu’elle à « céder sur son désir » (Lacan). Si vous aspirez à quelque chose et que vous n’avez pas le courage ou que vous ne faites pas les efforts que cela requiert, vous toucherez à votre estime personnelle et cela suscitera parfois des regrets terriblement douloureux. Bien entendu, au fil du temps, vous pourrez toujours vous trouvez des excuses ou vous consoler en vous disant que la vie que vous menez n’est pas si mal. Mais le bonheur là-dedans…

c'est aussi cette façon d'accueillir les choses qui fait en sorte qu'elles soient ainsi...

je préciserais les choses de la façon suivante :
il y a un biais de construction : le négatif marque intrinsèquement plus. néanmoins, les différences interindividuelles peuvent avoir beaucoup plus d'impact et entraîne une grande intervariabilité de réaction...

certains peuvent complètement neutraliser ce biais et évacuer les échecs rapidement alors que d'autres, vont l'amplifier...

Tout à fait.

dans une émotion, une sensation, une cognition, une impression, un élément mémoriel, il y aurait 2 parties : la partie information proprement dite d'une part et l'intensité avec laquelle elle est ressentie d'autre part.
c'est le ressenti qui donne l'importance de la partie informative... et qui permet ou pas (s'il est faible ou devenu absent) à cette partie informative de participer à la construction émotionnelle et potentiellement celle de l'identité.

Je ne peux être d’accord avec votre conception car vous avez des personnes qui ont des constellations de pensées problématiques comme les personnes dépendantes qui se disent nulles, incapables, qui ont une très mauvaise image d’elles-mêmes, or ces pensées n’ont pas de charge émotionnelle particulière car elles sont convaincues d’être ainsi et résignées. Et dans leur cas, c’est bien plus lorsqu’elles commenceront à agir, à développer leurs capacités, à s’autonomiser qu’une émotion pourra survenir : la joie.


certes mais ce n'est pas suffisant... A la différence de la peur, qui s'autoamplifie très facilement surtout chez les gens anxieux...

Oui, c’est pour cela que l’on procède par des taches ou des expositions de difficulté ou d’intensité progressive pour ce genre de personne.
 
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Métaphore

Invité
Leo Lavoie à dit:
Voyez? Faut pas faire du sectarisme, faut comprendre le fond des choses et faire communion avec une variété de terme selon les formations différentes...

C'est vrai que vous, vous faites vraiment l'effort de comprendre la variété des termes ... :? je vous joins des liens très explicites, et vous me répondez ce commentaire, franchement c'est à mourir de rire...
 
valikor

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dans une émotion, une sensation, une cognition, une impression, un élément mémoriel, il y aurait 2 parties : la partie information proprement dite d'une part et l'intensité avec laquelle elle est ressentie d'autre part.
c'est le ressenti qui donne l'importance de la partie informative... et qui permet ou pas (s'il est faible ou devenu absent) à cette partie informative de participer à la construction émotionnelle et potentiellement celle de l'identité.

Je ne peux être d’accord avec votre conception car vous avez des personnes qui ont des constellations de pensées problématiques comme les personnes dépendantes qui se disent nulles, incapables, qui ont une très mauvaise image d’elles-mêmes, or ces pensées n’ont pas de charge émotionnelle particulière car elles sont convaincues d’être ainsi et résignées. Et dans leur cas, c’est bien plus lorsqu’elles commenceront à agir, à développer leurs capacités, à s’autonomiser qu’une émotion pourra survenir : la joie.

à mon tour de ne pas être d'accord : vous dites qu'il n'y a pas de charge émotionnelle mais en êtes vous réellement sûr? tout dépend de la question que vous posez à la personne...
Exemple : "A quel point ressentez-vous ou croyez-vous que vous êtes nul(le)?"

si cela dépasse 3-4, vous avez donc votre charge émotionnelle...
 
surderien

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valikor à dit:
dans une émotion, une sensation, une cognition, une impression, un élément mémoriel, il y aurait 2 parties :

la partie information proprement dite d'une part

et l'intensité avec laquelle elle est ressentie d'autre part.

c'est le ressenti qui donne l'importance de la partie informative...

et qui permet ou pas (s'il est faible ou devenu absent) à cette partie informative de participer à la construction émotionnelle et potentiellement celle de l'identité.


Explorer le "contenu" émotionnel, ce comment sa construction s'opère et la crée, me parait vraiment fondamental pour apporter un mode opératoire complémentaire dans ce mapping émotionnel...

Commencer par une question inductive comme :

"Comment c'est quand tu es bien ?"

permet souvent de faire entrer dans ce mode exploratif ...une exploration qui est ainsi trés agréable à vivre en thérapie...

8)
 
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-Réalité-

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valikor

à mon tour de ne pas être d'accord : vous dites qu'il n'y a pas de charge émotionnelle mais en êtes vous réellement sûr? tout dépend de la question que vous posez à la personne...
Exemple : "A quel point ressentez-vous ou croyez-vous que vous êtes nul(le)?"

si cela dépasse 3-4, vous avez donc votre charge émotionnelle...


En préambule, je ferai la remarque que « croyance » et « ressenti » que vous semblez confondre sont en réalité deux choses distinctes et qu’un ressenti ne s’accompagne pas forcément d’une croyance et inversement. Une croyance procède d’un constat ou d’un jugement que fait la personne et peut s’appuyer sur des faits avérés. Cette croyance peut donc lui paraitre tout ce qu’il y a de plus objectif et par voie de conséquence revêtir une certaine neutralité émotionnelle.
Mais admettons, pour suivre votre hypothèse, que ce constat de « nullité » s’accompagne d’une certaine tristesse chez la personne. Vous supprimez la tristesse pour lui implanter la joie d’être nulle ?
C'est vous dire que le changement au niveau des ressentis tel que vous en faites état m’apparait fort limité voire même susceptible de conduire à une impasse. Et dans le cas qui nous intéresse, si vous n’amenez pas le sujet à ouvrir sa perspective et à changer ses représentations (travail sur les cognitions), il ne peut y avoir de vrai changement.
 
valikor

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à mon tour de ne pas être d'accord : vous dites qu'il n'y a pas de charge émotionnelle mais en êtes vous réellement sûr? tout dépend de la question que vous posez à la personne...
Exemple : "A quel point ressentez-vous ou croyez-vous que vous êtes nul(le)?"

si cela dépasse 3-4, vous avez donc votre charge émotionnelle...


En préambule, je ferai la remarque que « croyance » et « ressenti » que vous semblez confondre sont en réalité deux choses distinctes et qu’un ressenti ne s’accompagne pas forcément d’une croyance et inversement. Une croyance procède d’un constat ou d’un jugement que fait la personne et peut s’appuyer sur des faits avérés. Cette croyance peut donc lui paraitre tout ce qu’il y a de plus objectif et par voie de conséquence revêtir une certaine neutralité émotionnelle.
Mais admettons, pour suivre votre hypothèse, que ce constat de « nullité » s’accompagne d’une certaine tristesse chez la personne. Vous supprimez la tristesse pour lui implanter la joie d’être nulle ?
C'est vous dire que le changement au niveau des ressentis tel que vous en faites état m’apparait fort limité voire même susceptible de conduire à une impasse. Et dans le cas qui nous intéresse, si vous n’amenez pas le sujet à ouvrir sa perspective et à changer ses représentations (travail sur les cognitions), il ne peut y avoir de vrai changement.

une croyance contient forcément un ressenti en plus de la partie "information", sinon, c'est un savoir ("information").

ensuite pour neutraliser cela, faudra procéder à la neutralisation des échecs et des dévalorisations... sur toute sa vie, en commençant par ses parents... une fois cela achevé, elle vous dira qu'elle n'est pas nulle.
une croyance est une conséquence élaborée à partir d'éléments du vécu, faut donc travailler le vécu....
 
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-Réalité-

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valikor

une croyance contient forcément un ressenti en plus de la partie "information", sinon, c'est un savoir ("information").

Décidément, vous y tenez à vos ressentis…
Alors je vous réponds : non, pas « forcément ». Car la croyance que la personne a d’elle-même peut s’appuyer sur un savoir tout à fait correct qu’elle à d’elle-même mais qui est limité. Pour le dire autrement, il s’agit d’une simple erreur de vue ou d’un manque d’information. Et si vous élargissez son point de vue, cela change tout. Vous saisissez ?


ensuite pour neutraliser cela, faudra procéder à la neutralisation des échecs et des dévalorisations... sur toute sa vie, en commençant par ses parents... une fois cela achevé, elle vous dira qu'elle n'est pas nulle.
une croyance est une conséquence élaborée à partir d'éléments du vécu, faut donc travailler le vécu....

Je veux bien admettre qu’une habitude de penser ou un comportement problématique puisse éventuellement provenir de la sphère d’influence parentale mais elle n’est pas le seul facteur envisageable (la culture, un professeur, une rencontre, une relation amoureuse , un événement...).
Par ailleurs, vous n’êtes pas sans savoir qu’il existe des adultes psychologiquement sains qui ont grandi dans des familles perturbées et à l’inverse des adultes névrosés qui ont grandi dans des familles saines. Ceci pour vous dire que la construction, les comportements, la façon de penser relèvent avant tout d’une décision et de la responsabilité de la personne. Aussi plutôt que d’ailler fouiller le passé à la recherche d’une cause hypothétique à l’extérieur du sujet, ce qui me semble une perte de temps et aurait plutôt tendance à déresponsabilisé la personne, celle-ci peut décider ici et maintenant de remettre en cause un choix de fonctionnement ou une stratégie qui avait peut-être une certaine pertinence à une époque et décider d’en apprendre une autre plus adaptée.
 
valikor

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valikor

une croyance contient forcément un ressenti en plus de la partie "information", sinon, c'est un savoir ("information").

Décidément, vous y tenez à vos ressentis…
Alors je vous réponds : non, pas « forcément ». Car la croyance que la personne a d’elle-même peut s’appuyer sur un savoir tout à fait correct qu’elle à d’elle-même mais qui est limité. Pour le dire autrement, il s’agit d’une simple erreur de vue ou d’un manque d’information. Et si vous élargissez son point de vue, cela change tout. Vous saisissez ?

tout dépend de l'intensité du ressenti : à faible intensité, la croyance aura peu d'impact...
et ok, tout à fait d'accord pour le reste.

ensuite pour neutraliser cela, faudra procéder à la neutralisation des échecs et des dévalorisations... sur toute sa vie, en commençant par ses parents... une fois cela achevé, elle vous dira qu'elle n'est pas nulle.
une croyance est une conséquence élaborée à partir d'éléments du vécu, faut donc travailler le vécu....

Je veux bien admettre qu’une habitude de penser ou un comportement problématique puisse éventuellement provenir de la sphère d’influence parentale mais elle n’est pas le seul facteur envisageable (la culture, un professeur, une rencontre, une relation amoureuse , un événement...).
Par ailleurs, vous n’êtes pas sans savoir qu’il existe des adultes psychologiquement sains qui ont grandi dans des familles perturbées et à l’inverse des adultes névrosés qui ont grandi dans des familles saines. Ceci pour vous dire que la construction, les comportements, la façon de penser relèvent avant tout d’une décision et de la responsabilité de la personne. Aussi plutôt que d’ailler fouiller le passé à la recherche d’une cause hypothétique à l’extérieur du sujet, ce qui me semble une perte de temps et aurait plutôt tendance à déresponsabilisé la personne, celle-ci peut décider ici et maintenant de remettre en cause un choix de fonctionnement ou une stratégie qui avait peut-être une certaine pertinence à une époque et décider d’en apprendre une autre plus adaptée.

tout à fait juste pour les parents, mais c'est souvent les premiers d'une liste...
pour le reste :
oui je pensais comme cela avant.... jusqu'à ce que je remette en question cette façon de penser et j'essaie autrement... et que je l'aperçoive que les personnes allaient plus vite mieux...

mon impression est que vous me semblez être plus proche de l'interprétation et des croyances que de l'observation...
plus éloigné donc d'une démarche scientifique type essais, résultats, retour d'expérience, affinage de la théorie....
 
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