Anonymous1976
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Bonjour,
je suis sur ce site non pas comme praticien, mais comme victime.
A lire les "spécialistes", il ne serait pas possible d'hypnotiser quelqu'un contre son gré.
Il se trouve que c'est possible, cela m'est arrivé.
Alors que je voyais un "thérapeute" suite à des problèmes au travail - titre de psychologue clinicien -
il m'a un jour proposé de faire de la relaxation.
Il a induit un état où on se sent "déconnecté",
il me faisait faire des mouvements des yeux en me demandant d'évoquer un souvenir, puis un autre, puis un autre...
Il n'avais pas l'air trop intéressé par les bons souvenirs que je lui dévoilais initialiment,
et il est venu déterrer le passé, le "lourd", le "sale".
Ce n'était pas du tout de la relaxation, mais un mix d'Hypnose et d'EMDR déviants.
Dans ce cas, je dois ajouter que je l'avais préalablement informé que l'Hypnose ne m'intéressait absolument pas.
Je l'avais aussi informé dès le début des séances que j'avais un passé traumatique très chargé avant ça.
Cette séance ultra-intrusive, je l'ai vécue comme un viol.
Ca bousillé ma santé physique et mentale en une petite demi-heure de temps, "induction comprise".
J'ai éprouvé les pires douleurs physiques qu'on puisse imaginer ce jour-là.
Au ventre notamment, car ce n'est pas "à la tête" que j'ai pris ce coup-là, je l'ai ressenti dans mon ventre.
Cette violence n'a pas manqué de faire écho à tous les traumatismes que j'avais surmontés,
ça a créé des troubles inconnus, et fait re-apparaître des troubles que je pensais définitivement appartenir au passé -soignés sans aucune rechute depuis plus de 15 ans.
Quand je l'ai revu pour lui demander des explications, il a été évasif et a menti.
J'ai mis plus de trois ans avant de savoir qu'on avait utilisé de l'Hypnose et de l'EMDR contre mon gré.
L'EMDR, j'ignorais même que ça existait.
Les troubles que cette séance a provoqués ont fait de moi un quasi-handicapé aujourd'hui.
La proximité entre l'état de relaxation et l'état d'hypnose est telle (autour de 9Hz, cf ondes alpha-theta)
qu'on ne peut strictement rien faire si l'on n'est pas familier de ces états au préalable.
Ma question est relative au Codé Pénal :
Sachant que de toute les précautions d'usage ...
(1) bénéfice thérapeutique escompté (2) consentement (3) briefing (4) prise en compte du vécu du patient
(5) FUSIBLES (6) douceur dans l'approche (7) débriefing et (8) verouillage du bénéfice thérapeutique
il n'en a respecté aucune
quels sont d'après vous les infractions/délits/crimes qui ont été commis ?
Quels sont les motifs de plainte qui vous viennent spontanément à l'esprit ?
Merci de vos retours,
V
je suis sur ce site non pas comme praticien, mais comme victime.
A lire les "spécialistes", il ne serait pas possible d'hypnotiser quelqu'un contre son gré.
Il se trouve que c'est possible, cela m'est arrivé.
Alors que je voyais un "thérapeute" suite à des problèmes au travail - titre de psychologue clinicien -
il m'a un jour proposé de faire de la relaxation.
Il a induit un état où on se sent "déconnecté",
il me faisait faire des mouvements des yeux en me demandant d'évoquer un souvenir, puis un autre, puis un autre...
Il n'avais pas l'air trop intéressé par les bons souvenirs que je lui dévoilais initialiment,
et il est venu déterrer le passé, le "lourd", le "sale".
Ce n'était pas du tout de la relaxation, mais un mix d'Hypnose et d'EMDR déviants.
Dans ce cas, je dois ajouter que je l'avais préalablement informé que l'Hypnose ne m'intéressait absolument pas.
Je l'avais aussi informé dès le début des séances que j'avais un passé traumatique très chargé avant ça.
Cette séance ultra-intrusive, je l'ai vécue comme un viol.
Ca bousillé ma santé physique et mentale en une petite demi-heure de temps, "induction comprise".
J'ai éprouvé les pires douleurs physiques qu'on puisse imaginer ce jour-là.
Au ventre notamment, car ce n'est pas "à la tête" que j'ai pris ce coup-là, je l'ai ressenti dans mon ventre.
Cette violence n'a pas manqué de faire écho à tous les traumatismes que j'avais surmontés,
ça a créé des troubles inconnus, et fait re-apparaître des troubles que je pensais définitivement appartenir au passé -soignés sans aucune rechute depuis plus de 15 ans.
Quand je l'ai revu pour lui demander des explications, il a été évasif et a menti.
J'ai mis plus de trois ans avant de savoir qu'on avait utilisé de l'Hypnose et de l'EMDR contre mon gré.
L'EMDR, j'ignorais même que ça existait.
Les troubles que cette séance a provoqués ont fait de moi un quasi-handicapé aujourd'hui.
La proximité entre l'état de relaxation et l'état d'hypnose est telle (autour de 9Hz, cf ondes alpha-theta)
qu'on ne peut strictement rien faire si l'on n'est pas familier de ces états au préalable.
Ma question est relative au Codé Pénal :
Sachant que de toute les précautions d'usage ...
(1) bénéfice thérapeutique escompté (2) consentement (3) briefing (4) prise en compte du vécu du patient
(5) FUSIBLES (6) douceur dans l'approche (7) débriefing et (8) verouillage du bénéfice thérapeutique
il n'en a respecté aucune
quels sont d'après vous les infractions/délits/crimes qui ont été commis ?
Quels sont les motifs de plainte qui vous viennent spontanément à l'esprit ?
Merci de vos retours,
V