En fait, je voulais exprimer par là que quand on est figé, dans l'inaction, pour se remettre en mouvement si on se dirige vers quelque chose d'énorme on a beaucoup plus de risques de se décourager, de se dégoûter, de se fatiguer et de laisser tomber sur le long terme. Alors que les petits pas, les petites choses vont nous aider à aller vers du long terme. Je me rends compte qu'en voulant schématiser en utilisant les mêmes termes simples de manière répétée, ce n'était finalement pas si clair.
Exemple concret:
Désir de base: Se remettre au sport.
Cas 1:
Décision de: "Je vais faire une heure tous les jours"
Conséquence 1: J2 ou J3 des courbatures apparaissent, douleur, fatigue, épuisement.
Conséquence 2: Le sport est associé à la douleur/épuisement.
Conséquence finale: Abandon du sport.
Schéma: Grande action petit désir (à vouloir en faire trop la personne s'est dégoûtée) et finalement non-action
Cas 2:
Décision de: "Je vais juste faire 2 minutes 2 fois par semaine"
Conséquence 1: Le fait de bouger un peu est agréable, pas de conséquence négative, pas de pression, tout en douceur.
Conséquence 2: Le sport est associé à de la liberté, du mouvement dans le confort.
Conséquence finale: Augmentation progressive et dans le plaisir de la quantité d'activité physique
Schéma: petite action grand désir (en choisissant d'avancer doucement, la personne a eu les plaisirs associés à la liberté, à la douceur, et à une avancée progressive).
En fait ce que je voulais dire c'est que la progressivité est maîtresse de l'avancée, un pas après l'autre etc.
Donc oui pour la réciproque, tout en n'oubliant pas que ce n'est qu'une généralisation et que ce n'est pas valable systématiquement pour tout et tous.