Voici un extrait du lien de Surderien: (merci)
Maria développa une
méthode…
Si son coeur commençait à se plaindre de son absence ou des sottises qu’elle avait proférées quand ils étaient ensemble, elle se disait: «Ah !
C’est à cela que tu veux penser ? Très bien, à ta guise, moi je me consacre à des choses plus importantes. » Elle continuait à lire ou, si
elle était dans la rue, elle prêtait toute son attention à ce qui l’entourait:
les couleurs, les gens, les sons - surtout les sons, le bruit de ses pas, celui des voitures, le froissement des pages qu’elle tournait, les bribes
de conversations-, et la pensée négative finissait par disparaître. Si elle ressurgissait cinq minutes après, Maria répétait le processus jusqu’à ce
que ces souvenirs, tout à la fois acceptés et gentiment repoussés, s’éloignent pour une durée considérable.
Est ce que cette attitude ne se rapproche pas de ce qu'on pourrait appeler "refoulement"... ?
On se concentre simplement sur autre chose que les pensées négatives... n'est ce point pareil que de les éviter, puisque dès qu'elles surgissent on se concentre sur notre environnement et les perception qu'on en a... ?
Pendant une semaine, je suis parvenue à ne pas être envahie de pensées négatives, ou être en mode positif complet, en faisant un dessin à chaque fois qu'il y avait quelque chose qui apparaissait, et ça disparait...
Et on se sent mieux, mais dès qu'on le fait plus, ça réapparait... (necessité de discipline mentale pour l'acquisition de nouveaux comportements)