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Marion Prieur
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Bonjour,
Questionnée par une discussion sur l'hypnose et l'effet placébo dans une autre partie de forum, je me suis plongée dans ce thème. J'ai notamment posé la question à trois professionnels avec qui je suis en contacts réguliers par e-mails et qui partagent volontiers avec moi un peu de leur connaissances et de leur expérience. Une réponse très riche et très complète a notamment retenu mon attention. J'aimerais vous la reformuler ici. Je ne peux pas vous la citer en entier car ça serait très très long, un vrai article, et beaucoup d'éléments me semblent trop techniques et trop précis pour un tel forum. Mais je vais vous en donner quelques points qui m'ont semblé intéressants. Je formule tout ça à ma façon, et comme je l'ai compris, donc, soyez indulgents.
L'effet placébo comme efficacité d'un simulacre.
L'effet Placebo se rapporte à l'efficacité de la croyance par opposition à l'efficacité d'un principe actif (chimique ou non).
Si, pour obtenir une amélioration de la condition à travers le système nerveux, on utilise une technique possédant réellement quelque chose qui agit, que la personne y "croit" ou non, alors on a un effet réel.
Par exemple, si j'utilise une molécule "M" pour provoquer un effet "E" chez quelqu'un, j'utilise un effet chimique réel.
Si j'utilise un faux médicament "P" accompagné de la suggestion forte qu'il s'agit de la molécule M (ressemblance du packaging, indications du médecin, etc...), je peux activer, dans un certain pourcentage qui dépend de l'action désirée, une réponse à la suggestion de la part du système nerveux qui réagira soit pour compenser par une production naturelle ce qui n'est pas fournit, soit en réagissant comme si la molécule avait était fournie 'en fonction du mode de fonctionnement du principe).
Distinguer l'hypnose elle-même de la suggestion.
C'est sûrement là qu'on peut distinguer l'hypnose de la suggestion.
L'hypnose peut fonctionner comme une grande suggestion, et ells peut être induite également par des suggestions. Mais il faut bien distinguer les deux.
L'hypnose peut être provoquée de plusieurs façons. Notons par exemple, la survenue naturelle et spontanée de l'état hypnotique, ou encore l'usage de médicaments hypnotiques, l'anesthésie chimique, etc...
Il est bien connu depuis pas mal de temps déjà que l'hypnose est un état qui s'auto-induit assez facilement en réponse à des suggestions verbales ou non verbales.
Ces suggestions peuvent être organisées de telle sorte que le sujet "croie" qu'on lui administre une autre technique, dont il "sait" l'efficacité à induire l'hypnose. On utilise alors les croyances et attentes de base du sujet comme levier d'une réaction autonome de développement d'une transe hypnotique. On peut, par exemple, simuler un acte rituel, simuler un médicament hypnotique, narcotique, ou une drogue quelconque, simuler une technique énergétique ou incantatoire, etc...
Dans ces cas, on peut dire que l'état d'hypnose (et ses phénomènes) est induit PAR EFFET PLACEBO.
Une fausse méthode d'induction est prise pour une vraie, et la personne y répond de façon adéquate en développant l'état désiré : l'hypnose.
Il semble que dans beaucoup d'inductions, notamment classiques, on ait un mélange d'action réelle (fixation de l'attention, ennui, etc...) et de réponses aux attentes et croyances (pendule, formulations types, regard fascinant, imposition des mains, etc...). Ce qui permet de pensé que l'effet placébo intervient en parti dans l'induction d'états hypnotiques dans beaucoup d'inductions même réellement efficaces. Cet effet placébo pourrait expliquer en partie un certain nombre de cas de "bons sujets" qui développent très rapidement et sans expérience dans ce domaine des états d'hypnose réels et les phénomènes hypnotiques de la transe profonde.
Si les suggestions sont formulées de façon didactiques ou d'une autre façon encore, mais qui ne vise pas à simuler un autre principe actif pour s'appuyer sur les attentes et croyances du sujet, peut-on parler d'effet placébo ? ou simplement de l'effet d'une réponse positive aux suggestions.
Une simulation d'hypnose comme "placébo de l'hypnose"
Vient une autre question :
L'hypnose est un état réel, identifiable, et différent qualitativement de l'état d'éveil. Il s'accompagne, en outre, de tout un ensemble de phénomènes hypnotiques de bases qu'il rend accessible plus ou moins facilement comme, pour les plus basiques, l'hallucination (visuelle, auditive, kinesthésique / positive ou négative), la réponse idéo-motrice renforcée, l'amnésie, l'hypermnésie, la régression en âge, la dépersonnification, la dissociation, la désorientation, la catalepsie, l'écriture automatique, la suggestion post-hypnotique, la ré-induction de la transe, le somnambulisme, etc...
Cet état identifiable, ainsi que l'utilisation de certains phénomènes hypnotiques permettent d'obtenir certains effets sur l'amélioration de la santé mentale ou physique d'un sujet, par des effets ciblés sur le système nerveux central et sur l'inconscient au sens psychique.
L'hypnose est donc un principe actif qui obtient des effets. Du moins un état réel qui permet cette activation.
Or, il semble possible de "simuler" l'hypnose et d'en obtenir statistiquement assez souvent une partie des effets souhaités.
Ainsi, un sujet "simulateur" peut se persuader lui-même d'avoir vécu une transe hypnotique (pour des raisons diverses), d'avoir même développé certains phénomènes (exemple lévitation de main simulée etc...) et développer sincèrement l'amélioration thérapeutique qu'il était venu cherché.
On peut alors dire que la fausse hypnose qu'il croit avoir vécu alors que son psychisme par effet de résistance n'a pas réellement développé une transe concrète mais une simulation, constitue un EFFET PLACEBO des principes actifs de l'hypnose.
Possibilités et dérives du placébo de l'hypnose.
On peut dire la même chose dans les cas d'incompétence du thérapeute à induire une transe hypnotique. Certains thérapeutes semblent ne pas toujours reconnaître qu'ils ont échoué à induire une transe hypnotique et tenir un discours qui vise à faire croire au sujet que les signes de relaxation ou de désintérêt naturel par rapport au flux de parole, ou certains réflexes neurologique naturels, constitueraient les signes indubitables d'une transe. Forts de leur autorité, ces thérapeutes obtiennent sur ces échecs techniques une efficacité thérapeutique qui ressemble à celle de l'hypnothérapie et qui relève du placébo.
D'autres thérapeutes reconnaissent leur échec à induire une transe sur tel ou tel sujet, et "jouent le jeu" jusqu'au bout, afin de tenter la chance avec l'effet placébo, mettant en priorité l'intérêt thérapeutique sur leur petite victoire d'hypnotiseur.
Dans certains cas, l'obstination du thérapeute face à un sujet qui a reconnu lui-même l'échec, et donc, non disposé à accepter le placébo confine plutôt à la mauvaise foi et à un dérèglement de l'égo.
Il semble que certains praticiens basent leur pratique, volontairement ou non, sur le hasard de l'induction naturelle de la transe, et sur l'effet placébo. Ils ne soumettent jamais leurs sujets à des tests ou à des phénomènes hypnotiques qui nécessitent une transe hypnotique réelle (quelle que soit sa profondeur) et comptent sur la bienveillance des sujets à leur égard et sur les croyances et attentes très diminuées quant à l'hypnose (justement par les explications et démystifications de ce genre d'hypnotiseurs qui ramènent l'hypnose à une simple relaxation).
Il semble également que l'usage d'une simulation de l'hypnose soit très présente en hypnose de spectacle comme en hypnose moderne ou "ericksonienne". En hypnose classique, qui nécessitait des protocoles souvent longs, répétitifs et rigides (tels que pouvaient les utiliser Hull, Erickson, Chertock et tant d'autres), on acceptait l'idée d'échec de l'induction et on y répondait soit en persévérant, soit en essayant d'autres techniques, soit en abandonnant la tentative. Ainsi quand on obtenait le développement de la transe désirée, et de l'effet désiré, on les obtenait concrètement, réellement, et de façon vérifiable et de bonne qualité. La faction d'hypnotiseurs ericksoniens proches de la pratique d'Erickson semble encore avoir cette exigence, tandis que les hypnoses "douces" (même parmi les ericksoniens) semblent s'en éloigner en faveur de fausses transes et du placébo, et l'hypnose de spectacle, en recherche de voies rapides, s'en éloigne parfois aussi en faveur de la mauvaise foi, selon la compétence de l'hypnotiseur et la facilité du sujet (un choix pertinent du sujet et des tests préliminaires permettent toutefois d'éviter une trop grande simulation).
Je me permets d'ajouter un petit commentaire de ma part : L'inverse de cette simulation est à noter dans une tendance nouvelle tendant à induire des transes hypnotiques réelles et leurs effets tout en prétendant qu'il n'y a pas survenue de transe hypnotique (jouant sur l'incompétence des observateurs ou du sujet à reconnaître les signes objectifs de la transe). Sur quel effet joue cette démarche si ce n'est la mystification à des fins commerciales...
Je ne sais pas si vous trouvez dans ces éléments des pistes de compréhension, mais pour moi, ce fut assez éclairant bien que je ne sois pas en mesure de vérifier par moi-même ces explications.
Quant aux considérations sur la pratique des thérapeutes, je ne pourrai pas me prononcer, connaissant moi-même assez mal ce milieu. Mais du coup, je me pose beaucoup de question sur la façon de choisir un praticien et sur la validation de la profession.
En tout cas voilà. Je ne pouvais pas garder ces éléments pour moi
(je prie instamment et de tout mon coeur les personnes désireuses de contribuer à cette discussion de n'y apporter que des éléments ou des questionnements constructifs, en français correct, intellectuellement honnêtes, sans insinuations (en toute clarté), sans diffamations, et sans dérapages sur des considérations personnelles. Et en cas d'affirmations techniques, des éléments pour étayer sont les bienvenus. C'est un forum public et sans cadrage, je ne peux donc que faire appel à votre bon sens et à votre maturité intellectuelle)
Questionnée par une discussion sur l'hypnose et l'effet placébo dans une autre partie de forum, je me suis plongée dans ce thème. J'ai notamment posé la question à trois professionnels avec qui je suis en contacts réguliers par e-mails et qui partagent volontiers avec moi un peu de leur connaissances et de leur expérience. Une réponse très riche et très complète a notamment retenu mon attention. J'aimerais vous la reformuler ici. Je ne peux pas vous la citer en entier car ça serait très très long, un vrai article, et beaucoup d'éléments me semblent trop techniques et trop précis pour un tel forum. Mais je vais vous en donner quelques points qui m'ont semblé intéressants. Je formule tout ça à ma façon, et comme je l'ai compris, donc, soyez indulgents.
L'effet placébo comme efficacité d'un simulacre.
L'effet Placebo se rapporte à l'efficacité de la croyance par opposition à l'efficacité d'un principe actif (chimique ou non).
Si, pour obtenir une amélioration de la condition à travers le système nerveux, on utilise une technique possédant réellement quelque chose qui agit, que la personne y "croit" ou non, alors on a un effet réel.
Par exemple, si j'utilise une molécule "M" pour provoquer un effet "E" chez quelqu'un, j'utilise un effet chimique réel.
Si j'utilise un faux médicament "P" accompagné de la suggestion forte qu'il s'agit de la molécule M (ressemblance du packaging, indications du médecin, etc...), je peux activer, dans un certain pourcentage qui dépend de l'action désirée, une réponse à la suggestion de la part du système nerveux qui réagira soit pour compenser par une production naturelle ce qui n'est pas fournit, soit en réagissant comme si la molécule avait était fournie 'en fonction du mode de fonctionnement du principe).
Distinguer l'hypnose elle-même de la suggestion.
C'est sûrement là qu'on peut distinguer l'hypnose de la suggestion.
L'hypnose peut fonctionner comme une grande suggestion, et ells peut être induite également par des suggestions. Mais il faut bien distinguer les deux.
L'hypnose peut être provoquée de plusieurs façons. Notons par exemple, la survenue naturelle et spontanée de l'état hypnotique, ou encore l'usage de médicaments hypnotiques, l'anesthésie chimique, etc...
Il est bien connu depuis pas mal de temps déjà que l'hypnose est un état qui s'auto-induit assez facilement en réponse à des suggestions verbales ou non verbales.
Ces suggestions peuvent être organisées de telle sorte que le sujet "croie" qu'on lui administre une autre technique, dont il "sait" l'efficacité à induire l'hypnose. On utilise alors les croyances et attentes de base du sujet comme levier d'une réaction autonome de développement d'une transe hypnotique. On peut, par exemple, simuler un acte rituel, simuler un médicament hypnotique, narcotique, ou une drogue quelconque, simuler une technique énergétique ou incantatoire, etc...
Dans ces cas, on peut dire que l'état d'hypnose (et ses phénomènes) est induit PAR EFFET PLACEBO.
Une fausse méthode d'induction est prise pour une vraie, et la personne y répond de façon adéquate en développant l'état désiré : l'hypnose.
Il semble que dans beaucoup d'inductions, notamment classiques, on ait un mélange d'action réelle (fixation de l'attention, ennui, etc...) et de réponses aux attentes et croyances (pendule, formulations types, regard fascinant, imposition des mains, etc...). Ce qui permet de pensé que l'effet placébo intervient en parti dans l'induction d'états hypnotiques dans beaucoup d'inductions même réellement efficaces. Cet effet placébo pourrait expliquer en partie un certain nombre de cas de "bons sujets" qui développent très rapidement et sans expérience dans ce domaine des états d'hypnose réels et les phénomènes hypnotiques de la transe profonde.
Si les suggestions sont formulées de façon didactiques ou d'une autre façon encore, mais qui ne vise pas à simuler un autre principe actif pour s'appuyer sur les attentes et croyances du sujet, peut-on parler d'effet placébo ? ou simplement de l'effet d'une réponse positive aux suggestions.
Une simulation d'hypnose comme "placébo de l'hypnose"
Vient une autre question :
L'hypnose est un état réel, identifiable, et différent qualitativement de l'état d'éveil. Il s'accompagne, en outre, de tout un ensemble de phénomènes hypnotiques de bases qu'il rend accessible plus ou moins facilement comme, pour les plus basiques, l'hallucination (visuelle, auditive, kinesthésique / positive ou négative), la réponse idéo-motrice renforcée, l'amnésie, l'hypermnésie, la régression en âge, la dépersonnification, la dissociation, la désorientation, la catalepsie, l'écriture automatique, la suggestion post-hypnotique, la ré-induction de la transe, le somnambulisme, etc...
Cet état identifiable, ainsi que l'utilisation de certains phénomènes hypnotiques permettent d'obtenir certains effets sur l'amélioration de la santé mentale ou physique d'un sujet, par des effets ciblés sur le système nerveux central et sur l'inconscient au sens psychique.
L'hypnose est donc un principe actif qui obtient des effets. Du moins un état réel qui permet cette activation.
Or, il semble possible de "simuler" l'hypnose et d'en obtenir statistiquement assez souvent une partie des effets souhaités.
Ainsi, un sujet "simulateur" peut se persuader lui-même d'avoir vécu une transe hypnotique (pour des raisons diverses), d'avoir même développé certains phénomènes (exemple lévitation de main simulée etc...) et développer sincèrement l'amélioration thérapeutique qu'il était venu cherché.
On peut alors dire que la fausse hypnose qu'il croit avoir vécu alors que son psychisme par effet de résistance n'a pas réellement développé une transe concrète mais une simulation, constitue un EFFET PLACEBO des principes actifs de l'hypnose.
Possibilités et dérives du placébo de l'hypnose.
On peut dire la même chose dans les cas d'incompétence du thérapeute à induire une transe hypnotique. Certains thérapeutes semblent ne pas toujours reconnaître qu'ils ont échoué à induire une transe hypnotique et tenir un discours qui vise à faire croire au sujet que les signes de relaxation ou de désintérêt naturel par rapport au flux de parole, ou certains réflexes neurologique naturels, constitueraient les signes indubitables d'une transe. Forts de leur autorité, ces thérapeutes obtiennent sur ces échecs techniques une efficacité thérapeutique qui ressemble à celle de l'hypnothérapie et qui relève du placébo.
D'autres thérapeutes reconnaissent leur échec à induire une transe sur tel ou tel sujet, et "jouent le jeu" jusqu'au bout, afin de tenter la chance avec l'effet placébo, mettant en priorité l'intérêt thérapeutique sur leur petite victoire d'hypnotiseur.
Dans certains cas, l'obstination du thérapeute face à un sujet qui a reconnu lui-même l'échec, et donc, non disposé à accepter le placébo confine plutôt à la mauvaise foi et à un dérèglement de l'égo.
Il semble que certains praticiens basent leur pratique, volontairement ou non, sur le hasard de l'induction naturelle de la transe, et sur l'effet placébo. Ils ne soumettent jamais leurs sujets à des tests ou à des phénomènes hypnotiques qui nécessitent une transe hypnotique réelle (quelle que soit sa profondeur) et comptent sur la bienveillance des sujets à leur égard et sur les croyances et attentes très diminuées quant à l'hypnose (justement par les explications et démystifications de ce genre d'hypnotiseurs qui ramènent l'hypnose à une simple relaxation).
Il semble également que l'usage d'une simulation de l'hypnose soit très présente en hypnose de spectacle comme en hypnose moderne ou "ericksonienne". En hypnose classique, qui nécessitait des protocoles souvent longs, répétitifs et rigides (tels que pouvaient les utiliser Hull, Erickson, Chertock et tant d'autres), on acceptait l'idée d'échec de l'induction et on y répondait soit en persévérant, soit en essayant d'autres techniques, soit en abandonnant la tentative. Ainsi quand on obtenait le développement de la transe désirée, et de l'effet désiré, on les obtenait concrètement, réellement, et de façon vérifiable et de bonne qualité. La faction d'hypnotiseurs ericksoniens proches de la pratique d'Erickson semble encore avoir cette exigence, tandis que les hypnoses "douces" (même parmi les ericksoniens) semblent s'en éloigner en faveur de fausses transes et du placébo, et l'hypnose de spectacle, en recherche de voies rapides, s'en éloigne parfois aussi en faveur de la mauvaise foi, selon la compétence de l'hypnotiseur et la facilité du sujet (un choix pertinent du sujet et des tests préliminaires permettent toutefois d'éviter une trop grande simulation).
Je me permets d'ajouter un petit commentaire de ma part : L'inverse de cette simulation est à noter dans une tendance nouvelle tendant à induire des transes hypnotiques réelles et leurs effets tout en prétendant qu'il n'y a pas survenue de transe hypnotique (jouant sur l'incompétence des observateurs ou du sujet à reconnaître les signes objectifs de la transe). Sur quel effet joue cette démarche si ce n'est la mystification à des fins commerciales...
Je ne sais pas si vous trouvez dans ces éléments des pistes de compréhension, mais pour moi, ce fut assez éclairant bien que je ne sois pas en mesure de vérifier par moi-même ces explications.
Quant aux considérations sur la pratique des thérapeutes, je ne pourrai pas me prononcer, connaissant moi-même assez mal ce milieu. Mais du coup, je me pose beaucoup de question sur la façon de choisir un praticien et sur la validation de la profession.
En tout cas voilà. Je ne pouvais pas garder ces éléments pour moi
(je prie instamment et de tout mon coeur les personnes désireuses de contribuer à cette discussion de n'y apporter que des éléments ou des questionnements constructifs, en français correct, intellectuellement honnêtes, sans insinuations (en toute clarté), sans diffamations, et sans dérapages sur des considérations personnelles. Et en cas d'affirmations techniques, des éléments pour étayer sont les bienvenus. C'est un forum public et sans cadrage, je ne peux donc que faire appel à votre bon sens et à votre maturité intellectuelle)