jeangeneve
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alors voilà une bonne prose, j'avais peur de vous révéler cette tranche de vie.
j'avais peur de refaire surgir une étiquette qu'un psy;. m'a posé vers l'age de 7 ans.
Depuis quelques temps j'ai lâché du lest très probablement suite a quelques consultation EMDR,
et puis récemment je m'aide avec un petit fichier MP3 pour le "nettoyage" du passé de M. Finel
que je continue a utiliser avant l'étape suivante concernant l'avenir.
durant mon enfance, j'était pas un ange, caractériel et je ne supportait pas la contrariété, j'était une vraie peste.
mes parents on demandé de l'aide est on strictement strictement suivis les conseils des psy, des prof, des éducateurs, et, des spécialistes de ce qui ressemble a votre DASS.
et ce durant des années et même bien après ma majorité.
ca a commencé très tôt et j'ai été interné avant ma scolarité, dans dans cette institution, rien e spécial c'était un peu comme dans les films sur les maisons de redressements sauf que j'était tout petit , reste le souvenir de lavage de la bouche au savon a chaque gros mots.
( mais j'ai semble il perdu depuis peu perdu cette sensation kinesthésique désagréable en ayant travaillé avec le petit fichier "nettoyage du passé" )
à ma scolarité on ma mis dans une autre institution, ou au début ca été un vrais bonheur, avec une équipe éducative géniale, avec des idées pédagogiques superbes !
camps artistiques ou toutes références au temps était interdites, on était la plus part du temps nu, on fessait do body painting,
lâchage en ville pour trouver les ingrédient pour le repas du soir qui devais être vietnamien ...
éducation sexuelle, ou encore des expéditions pour dépanner le père Noël, qui avais crevé à pétaouchnok, bref pas une semaine sans un truc déconnant.
puis deux ans plus tard, à la rentrée le choc, presque tout le monde a été remplacé par des éducateur du milieux pénitentiaire .
j'ai appris par la suite que les éducateurs sortit de la classe 68 serais dorénavant exclu, j'ai compris bien plus tard ce que cela voulais dire.
ensuite cela a peu a peu sombré dans un petit enfer, une éducatrice retrouvée dernièrement grâce au web ma confié avoir démissionné car il s'agissais de me "casser".
mais ca fonctionnais pas trop, alors j'ai du voir un psy fait pleins de test et j'ai u droit au Rorschach ensuite j'y est u droit chaque année.
on m'a donné des médicaments et durant une période il a été décidé que je ne verrais plus mes parents, je pouvais leur téléphoner mais uniquement avec la présence d'un éducateur.
la suite a été de pire en pire, un jour j'ai accompagné un "éducateur" à la pharmacie, le pharmacien a demandé si c'était pour moi et a refusé la prescription.
ca a fait un beau foutoir, j'ai compris que personne savais, ce que c'était.
peu après on a arrêté de me donner ce "médicament"
je refusais de voir ce psy, je fuguais presque a chaque rdv.
ensuite j'ai été peu a peu exclu personne ne m'ouvrais les portes, me parlais, je n'existait pas .
pour dormir je devais escalader la façade de l'immeuble sur 3 étages pour trouver un lit !
après un bras cassé mes parents on repris un peu la main.
je fut placé dans une institution catholique, ou tout fonctionnais sur la peur la distance
l'absence absolue d'affection, ce qui plus grand n'excluais pas la pédophilie dans en quelque sorte la tradition catholique .
des pros de la pédagogie noire.
à l'adolescence il y a u une forte pression et des prédictions et des certitudes assenée !
tu seras délinquant, instable, drogué et prostitué, ca n'arrêtait pas .
on me fit visiter une ferme prison, j'ai passé un week-end dans un institution qui s'occupe des fins de peines (patronage)
pourtant je ne fessais pas de conneries, ne volais pas, rien
moi j'attendais que une chose à l'époque être grand, majeur.
on me placa dans un centre de formation ou j'ai pas trop u le choix.
et puis vers 17 ans un éducateur me fit encore une fois passer des tests.
j'ai u droit au Rorschach mais là j'ai catégoriquement refusé.
là surprise, il me confia que d'après lui tout ce qui était mentionné dans mon dossier était faux.
je n'était pas schizophrène et encore moins pyromane, tout cela c'était des conneries .
tout c'est bien passé sauf a mon départ sans suivis ou un pys m' a encore prédit que je serais en prison dans 3 mois.
par la suite, je me suis aperçu que mon patron savais tout de mon enfance,
ensuite mon médecin a u la visite incessante d'inspecteurs de la DASS, qui on suggéré au médecin que j'était alcoolique, psychotique, schizophrène sauf que là j'avais 24 ans .
c'était trops.
j'ai trouvé un travail ailleurs, déménagé très loin, dans une grande ville .
j'ai u la paix durant 6 mois, ensuite j'ai reçu des test par courrier, des test projectif, en quelque sorte des rédactions, ensuite cela a été des questionnaires, sur mes condamnations mes années de prisons, mon employeur, ma consommation de drogues...
on me demandais ce que je devenais, m'invitait a des "rencontres"
ma mère était régulièrement sollicitée pour avoir de mes nouvelles .
puis cela s'est un peu espacé j'en reçois plus que tous les 2 ou 3 ans, de toute façon j'ai 47 ans et dès le jour de ma majorité, je ne répond plus.
grâce au web j'ai appris, que le test de Rorschach était un peu contesté et qui produisais 40% de faux positif pour la schizophrénie et que on m'a fait absorber une dose adulte de trilafon® durant 2 ans alors que j'avais 9 ans .
alors, les psys, le conseils au parents, les institutions, je serais un peu méfiant.
on vous répondras que cela a bien changé et en effet ces institutions son belle, propre et impressionnent les parents pour le reste cela n'a pas évolué.
encore un conseil ne laisser jamais un psy ou qui ce soit d'autre poser une étiquette sur vos enfants.
j'avais peur de refaire surgir une étiquette qu'un psy;. m'a posé vers l'age de 7 ans.
Depuis quelques temps j'ai lâché du lest très probablement suite a quelques consultation EMDR,
et puis récemment je m'aide avec un petit fichier MP3 pour le "nettoyage" du passé de M. Finel
que je continue a utiliser avant l'étape suivante concernant l'avenir.
durant mon enfance, j'était pas un ange, caractériel et je ne supportait pas la contrariété, j'était une vraie peste.
mes parents on demandé de l'aide est on strictement strictement suivis les conseils des psy, des prof, des éducateurs, et, des spécialistes de ce qui ressemble a votre DASS.
et ce durant des années et même bien après ma majorité.
ca a commencé très tôt et j'ai été interné avant ma scolarité, dans dans cette institution, rien e spécial c'était un peu comme dans les films sur les maisons de redressements sauf que j'était tout petit , reste le souvenir de lavage de la bouche au savon a chaque gros mots.
( mais j'ai semble il perdu depuis peu perdu cette sensation kinesthésique désagréable en ayant travaillé avec le petit fichier "nettoyage du passé" )
à ma scolarité on ma mis dans une autre institution, ou au début ca été un vrais bonheur, avec une équipe éducative géniale, avec des idées pédagogiques superbes !
camps artistiques ou toutes références au temps était interdites, on était la plus part du temps nu, on fessait do body painting,
lâchage en ville pour trouver les ingrédient pour le repas du soir qui devais être vietnamien ...
éducation sexuelle, ou encore des expéditions pour dépanner le père Noël, qui avais crevé à pétaouchnok, bref pas une semaine sans un truc déconnant.
puis deux ans plus tard, à la rentrée le choc, presque tout le monde a été remplacé par des éducateur du milieux pénitentiaire .
j'ai appris par la suite que les éducateurs sortit de la classe 68 serais dorénavant exclu, j'ai compris bien plus tard ce que cela voulais dire.
ensuite cela a peu a peu sombré dans un petit enfer, une éducatrice retrouvée dernièrement grâce au web ma confié avoir démissionné car il s'agissais de me "casser".
mais ca fonctionnais pas trop, alors j'ai du voir un psy fait pleins de test et j'ai u droit au Rorschach ensuite j'y est u droit chaque année.
on m'a donné des médicaments et durant une période il a été décidé que je ne verrais plus mes parents, je pouvais leur téléphoner mais uniquement avec la présence d'un éducateur.
la suite a été de pire en pire, un jour j'ai accompagné un "éducateur" à la pharmacie, le pharmacien a demandé si c'était pour moi et a refusé la prescription.
ca a fait un beau foutoir, j'ai compris que personne savais, ce que c'était.
peu après on a arrêté de me donner ce "médicament"
je refusais de voir ce psy, je fuguais presque a chaque rdv.
ensuite j'ai été peu a peu exclu personne ne m'ouvrais les portes, me parlais, je n'existait pas .
pour dormir je devais escalader la façade de l'immeuble sur 3 étages pour trouver un lit !
après un bras cassé mes parents on repris un peu la main.
je fut placé dans une institution catholique, ou tout fonctionnais sur la peur la distance
l'absence absolue d'affection, ce qui plus grand n'excluais pas la pédophilie dans en quelque sorte la tradition catholique .
des pros de la pédagogie noire.
à l'adolescence il y a u une forte pression et des prédictions et des certitudes assenée !
tu seras délinquant, instable, drogué et prostitué, ca n'arrêtait pas .
on me fit visiter une ferme prison, j'ai passé un week-end dans un institution qui s'occupe des fins de peines (patronage)
pourtant je ne fessais pas de conneries, ne volais pas, rien
moi j'attendais que une chose à l'époque être grand, majeur.
on me placa dans un centre de formation ou j'ai pas trop u le choix.
et puis vers 17 ans un éducateur me fit encore une fois passer des tests.
j'ai u droit au Rorschach mais là j'ai catégoriquement refusé.
là surprise, il me confia que d'après lui tout ce qui était mentionné dans mon dossier était faux.
je n'était pas schizophrène et encore moins pyromane, tout cela c'était des conneries .
tout c'est bien passé sauf a mon départ sans suivis ou un pys m' a encore prédit que je serais en prison dans 3 mois.
par la suite, je me suis aperçu que mon patron savais tout de mon enfance,
ensuite mon médecin a u la visite incessante d'inspecteurs de la DASS, qui on suggéré au médecin que j'était alcoolique, psychotique, schizophrène sauf que là j'avais 24 ans .
c'était trops.
j'ai trouvé un travail ailleurs, déménagé très loin, dans une grande ville .
j'ai u la paix durant 6 mois, ensuite j'ai reçu des test par courrier, des test projectif, en quelque sorte des rédactions, ensuite cela a été des questionnaires, sur mes condamnations mes années de prisons, mon employeur, ma consommation de drogues...
on me demandais ce que je devenais, m'invitait a des "rencontres"
ma mère était régulièrement sollicitée pour avoir de mes nouvelles .
puis cela s'est un peu espacé j'en reçois plus que tous les 2 ou 3 ans, de toute façon j'ai 47 ans et dès le jour de ma majorité, je ne répond plus.
grâce au web j'ai appris, que le test de Rorschach était un peu contesté et qui produisais 40% de faux positif pour la schizophrénie et que on m'a fait absorber une dose adulte de trilafon® durant 2 ans alors que j'avais 9 ans .
alors, les psys, le conseils au parents, les institutions, je serais un peu méfiant.
on vous répondras que cela a bien changé et en effet ces institutions son belle, propre et impressionnent les parents pour le reste cela n'a pas évolué.
encore un conseil ne laisser jamais un psy ou qui ce soit d'autre poser une étiquette sur vos enfants.