Non Valikor, je lis attentivement vos réponses, mais par écrit, il n'est pas toujours évident de se faire comprendre, la preuve, pour moi, entre ces 2 phrases, je ne comprends pas la même chose :
:arrow: 1) quand tout va bien dans la tête, le corps peut guérir assez rapidement de ses blessures en jour ou en semaines
:arrow: alors je vais reformuler :
2) l'argumentation sur la rapidité était pour donner une raison logique qui permet de comprendre que l'esprit d'une personne peut changer rapidement. Cette argumentation est de portée générale.
:arrow: En faisant cela, je suis sûr (si la personne n'est pas dissociée) de pouvoir l'aider à aller bien en peu de séance, même si elle est dépressive depuis 30 ans.
Oui mais justement qu'est ce qui vous permet de vous savoir si elle n'est pas dissociée ? car si vous reprenez les exemples des symptômes cités ci-dessus, il est fort probable que ces personnes soient dissociées, et c'est justement là qu'il peut y voir beaucoup de travail...
:arrow: La résistance la plus forte : croyance type "mon passé c'est mon identité, c'est moi, ca peut pas changer" là, cela reste long pour l'instant.
Je ne pense pas qu'un patient pense cela, s'il vient vous voir, c'est qu'il sait qu'il y a une solution mais il est coincé dans ses pensées; et c'est là encore une fois que le travail de réparation est important. Le patient ne formule pas cette phrase pour le plaisir, s'il vient vous voir c'est qu'il souffre, donc oui c'est une résistance et c'est bien pour ça que 4 séances ne seront pas suffisantes.
Je ne cherche pas à vous discréditer, je cherche à comprendre...