Nausée et hypnose

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laurenzo

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Bonjour à tous,

Je vais essayer de résumer ma situation rapidement. Ca fait environ 10 ans que je souffre de nausées, fatigue, oppressions... sans explication. Ces symptômes sont survenus à la suite d'une période de gros stress (je passais des concours), au moment où finalement la pression aurait dû redescendre.

Depuis tout ce temps j'ai fait:
- Une analyse pendant 2 ans à raison de 3 séances par semaine,
- Une thérapie EMDR pendant plus d'un an avec environ 1 séance tous les 10 jours.
- Plusieurs thérapies par l'hypnose (parfois 10 mois), essentiellement en hypnose ericksonnienne.

Force est de constater que je n'ai pas eu de résultat avec toutes ces thérapies, les symptômes sont toujours là et je commence un peu à me décourager. Le fait est que je n'ai pas vraiment d'explication 'évidente' pour tous ces symptômes donc pas évident d'avancer en thérapie.

Je lis assez souvent ce forum et je vois qu'il y a différentes écoles de thérapie qui y sont représentées. C'est la raison pour laquelle je tente ce message en espérant que quelqu'un aura une idée qui me permettra d'avancer.

Merci d'avance pour votre aide !
 
Ivan Schmitt

Ivan Schmitt

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Intemporelle à dit:
Yvan,

Nous n'allons pas polémiquer sur la notion du sens... :D , mais le bon sens n'est pas suffisant pour un individu dépressif, c'est mon humble avis, car connaissant suffisamment le sujet, je pense que le travail thérapeutique doit se faire en profondeur, non seulement sur les distorsions cognitives mais aussi sur les schémas erronés, enfin pour moi, c'est une évidence.


Et quand vous dites :Ce n'est pas la même approche que la votre, dans le sens ou je ne m'occuperais pas vraiment du traumatisme enfoui.

Et pourtant Laurenzo met bien en évidence la peur de ce petit garçon qui vit en lui, ne s'autorisant pas le droit à l'erreur, sentant déjà (à la maternelle) une responsabilité d'adulte qui ne lui incombe pas. Et à ce jour Laurenzo adulte a la capacité de revisiter son passé chose qu'il n'arrivait pas à faire avant, maintenant reste l'émotion associée qu'il doit ressentir dans ses tripes, et non une projection de cette émotion, quand il parle de son enfant intérieur à la 3ème personne, il ne doit pas prendre cette distance, il doit l'intégrer, ce processus est indispensable...

Vous savez les techniques Ericksonniennes (je parle des techniques et non de M. ERICKSON) ne m'apparaissent pas suffisantes mais complémentaires intégrées à d'autres approches.


Et quand vous dites :Je fais ce que beaucoup de thérapeutes négligent : je m'occupe de la dimension énergétique pour qu'il retrouve ses forces.

Et bien je ne vois pas en quoi il s'agit d'une dimension énergétique :shock: vous connaissez la psychologie de l'énergie ? ce que vous proposez à Laurenzo est effectivement du bon sens, une hygiène de vie, mais je ne vois pas de dimension énergétique.

Encore une fois Yvan, ne le prenez pas mal, car je souhaite partager les connaissances de chacun, mais certaines propositions m'apparaissent plus pertinentes... :D

Bon voilà, j'attends les commentaires de Laurenzo, ces écrits en disent long sur lui, comme tout un chacun d'ailleurs.

Bon dimanche à tous.

Eh bien vous avez raison de ne pas vouloir polémiquer, autant que je suis d'accord avec vous sur l'intérêt d'échanger et de partager des connaissances. Ce que nous appelions ici être du bon sens, c'est exactement ce que certaines personnes m'ont dit lorsque je comparais, dans ma conversation, une technique cognitivo comportementale à une technique psychanalytique. Je leur donnais un exemple : je croise mon patron, il ne me dit pas "bonjour". Lecture de pensée : "il m'en veut". Eh bien oui, c'est du bon sens que d'interpréter le problème de cette manière ! Mais c'est aussi ainsi qu'est née une excellente méthode de traitement, la méthode cognitive, des troubles anxieux et dépressifs. Ce n'est pas parce que c'est du bon sens, qu'il n'y a aucun fondement théorique derrière.

Lorsque vous dites que Laurenzo parle de lui lorsqu'il était enfant ; ou encore, lorsque vous me parlez de la thérapie des schémas : ces dimensions complètent ce qui se passe aujourd'hui, dans sa tête. Qu'il s'agisse du passé ou du présent de ce qu'il fait, à mon avis, le fonctionnement cérébrale est toujours vécu au présent. Parfois c'est la passé qui distord le présent ; parfois c'est présent lui-même.

Je crois que vous devriez dire que "ce que je propose vous semble moins essentiel" plutôt que de dire "pas pertinent". Mais malgré tout, si fais ces remarques c'est bien parce qu'elles me semblent, à moi, essentielles et tout à fait pertinentes, pour l'instant.

J'ai passé des années a apprendre à expliquer simplement les choses : c'est un peu mon héritage ericksonien. C'est peut-être pour cela que vous n'y voyez pas la dimension énergétique. Maintenant je peux aussi expliquer mieux, plus techniquement. D'ailleurs, ça intéressera peut-être également Laurenzo.
Les conseils que j'ai donné à Laurenzo, cible un problème particulier : celui de la dimension obsessionnelle de son problème. On peut parler d'obsession ; on peut aussi parler de surtension mentale. De stress psychique.
Lorsque la fatigue, l'épuisement (donc le manque d'énergie) s'impose trop fortement à la conscience, la synthèse mentale ne se fait plus. L'individu à alors des pensées obsédantes, et morcelées. Les pensées négatives se morcelle encore plus facilement parce qu'elles demande plus d'énergie. Cela signifie qu'une personne ne peut plus envisager un problème avec lucidité parce que ce problème va provoquer trop d'anxiété et pour ainsi dire, mentalement, "ça va partir dans tout les sens". Il ne peut plus "tranquillement" penser à son patron qui ne lui a pas dit bonjour, parce d'innombrables morceaux de toutes ses difficultés au travail vont refaire surface, provoquant autant d'anxiété que de nouveaux morcellement. Cela l'épuisera donc encore plus, rendant la synthèse mentale encore plus difficile et cela aggravera donc le problème en créant un cercle vicieux.
Une excellente stratégie pour contrer un tel cercle vicieux est de "se demander une conclusion" : cela "force" la création d'une synthèse mentale, qui elle-même diminuera la fatigue, qui elle-même favorisera de nouvelles synthèses plus positive etc.

Ce n'est qu'un exemple, intemporelle, destiné à vous montrer la dimension énergétique et a expliquer à Laurenzo, la raison pour laquelle je lui propose de faire cela plutôt qu'autre chose.

Je ne sais pas si mes explications modifieront votre point de vue, Intermporelle. En tout cas, personnellement, je ne suis en désaccord avec aucune approche, dès lors qu'elle ne vient pas renforcer le manque d'énergie. Si quelqu'un sur ce forum demandait par exemple à Laurenzo d'affronter tête baissée toutes ses difficultés, je pense que j'interviendrai pour expliquer en quoi le remède peut être pire que le mal.
 
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boris110784

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bonjour laurenzo,
je me demandais, parceque j'ai lu un peu le sujet, mais honnetement je n'ai pas eu la patience de lire toutes les pages,
je me demandais si tu avais vu un psychiatre ou un psychologue, si tu avais suivi un traitement médicamenteux(prescrit par ton médecin traitant ou par ton psychiatre), et globalement, par rapport à ton problème initial, sur ces dernières années, qu'est ce qui s'est amélioré et qu'est ce qui reste encore en suspens?
 
B

boris110784

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j'ai juste lu en première page que tu avais fait une analyse, pas mal de séances d'EMDR, bcp d'hypnothérapeutes, et sans grand succès.
je me demandais si avant ca tu avais essayé les méthodes "classiques"
 
Oratorioo

Oratorioo

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Vous répondiez à Yvan :

Intemporelle à dit:
Et bien je ne vois pas en quoi il s'agit d'une dimension énergétique :shock: vous connaissez la psychologie de l'énergie ? ce que vous proposez à Laurenzo est effectivement du bon sens, une hygiène de vie, mais je ne vois pas de dimension énergétique.



Proposer une bonne hygiène de vie est évidemment hautement "énergétique"!

L'exercice physique va agir considérablement au niveau énergétique.
On peut d'ailleurs rappelé que deux séances d'exercices physiques de 30 minutes par semaine auront après quelques semaines souvent des effets supérieurs aux anti-dépresseurs.

L'alimentation est également énergétique.
Mangez uniquement des aliments cuits et vous verrez que votre santé va décliner rapidement (physiquement et psychologiquement), et pourtant ils apportent la même chose que leurs homologues crus.
L'aliment cuit ne "nourrit" pas de la même façon notre système énergétique (tout dépendra fortement des modes de cuisson)
Une carence en omega 3 peut à elle seule favoriser une dépression (entre autres)

Bref, on pourrait presque dire que tout est énergie...
 
Ivan Schmitt

Ivan Schmitt

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oratorioo à dit:
Vous répondiez à Yvan :

Intemporelle à dit:
Et bien je ne vois pas en quoi il s'agit d'une dimension énergétique :shock: vous connaissez la psychologie de l'énergie ? ce que vous proposez à Laurenzo est effectivement du bon sens, une hygiène de vie, mais je ne vois pas de dimension énergétique.



Proposer une bonne hygiène de vie est évidemment hautement "énergétique"!

L'exercice physique va agir considérablement au niveau énergétique.
On peut d'ailleurs rappelé que deux séances d'exercices physiques de 30 minutes par semaine auront après quelques semaines souvent des effets supérieurs aux anti-dépresseurs.

L'alimentation est également énergétique.
Mangez uniquement des aliments cuits et vous verrez que votre santé va décliner rapidement (physiquement et psychologiquement), et pourtant ils apportent la même chose que leurs homologues crus.
L'aliment cuit ne "nourrit" pas de la même façon notre système énergétique (tout dépendra fortement des modes de cuisson)
Une carence en omega 3 peut à elle seule favoriser une dépression (entre autres)

Bref, on pourrait presque dire que tout est énergie...
C'est tout à fait dans ce sens que je l'entendais. Je donnais encore l'exemple suivant à une personne dans un e-mail que j'étais en train d'écrire :
Si un individu manque d’énergie (il n’en peut plus, il est épuisé, fatigué) et qu’il tente de s’autosuggérer l’idée qu’il va résoudre tel ou tel problème, la suggestion mettra beaucoup plus de temps à se cristalliser (et a avoir de l’impact) parce que l’énergie qu’elle demande n’est pas suffisamment disponible. Parfois la suggestion sera même carrément inefficace
 
I

Intemporelle

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Ivan (avec un i) :wink:

Votre exemple de la lecture de pensée, c'est ce qu'on appelle "l'inférence arbitraire" dans les distorsions cognitives ; il en existe bien d'autres, comme la "pensée dichotomique", ou l'abstraction sélective" pour ne citer que celles-ci.

La thérapie cognito-comportementale est bien évidemment importante mais pour moi elle doit être intégrée à toutes les autres ainsi qu'avec l'aspect psychanalytique, enfin je veux dire avoir quelques notions de psychopathologies.

Bref, pour résumer, si vous pensez que votre pratique de bon sens peut être une technique suffisante pour la dépression, permettez moi d'en douter, et vu le parcours thérapeutique de Laurenzo, je maintiens ce que j'ai dit précédémment.

Faire appel à son enfant intérieur, qu'il lui donne la place qu'il n'a jamais pu prendre enfant, pour des raisons X, lui dire que maintenant qu'il est adulte il peut le faire grandir intérieur, ce processus d'intégration est pour moi essentielle, en passant par les émotions ressenties dans le corps et non projetées par le mental.

Cette rencontre avec l'enfant intérieur est une 1ère étape et peut être suffisante, mais il est aussi possible qu'une autre partie du Moi refuse cette intégration, mais là je vais encore parler de la thérapie du Etats du Moi...

Mais si Laurenzo trouve son compte dans vos explications, j'en serais ravie pour lui.

A lui de nous le dire...
 
Ivan Schmitt

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Intemporelle à dit:
Ivan (avec un i) :wink:

Votre exemple de la lecture de pensée, c'est ce qu'on appelle "l'inférence arbitraire" dans les distorsions cognitives ; il en existe bien d'autres, comme la "pensée dichotomique", ou l'abstraction sélective" pour ne citer que celles-ci.

La thérapie cognito-comportementale est bien évidemment importante mais pour moi elle doit être intégrée à toutes les autres ainsi qu'avec l'aspect psychanalytique, enfin je veux dire avoir quelques notions de psychopathologies.

Bref, pour résumer, si vous pensez que votre pratique de bon sens peut être une technique suffisante pour la dépression, permettez moi d'en douter, et vu le parcours thérapeutique de Laurenzo, je maintiens ce que j'ai dit précédémment.

Faire appel à son enfant intérieur, qu'il lui donne la place qu'il n'a jamais pu prendre enfant, pour des raisons X, lui dire que maintenant qu'il est adulte il peut le faire grandir intérieur, ce processus d'intégration est pour moi essentielle, en passant par les émotions ressenties dans le corps et non projetées par le mental.

Cette rencontre avec l'enfant intérieur est une 1ère étape et peut être suffisante, mais il est aussi possible qu'une autre partie du Moi refuse cette intégration, mais là je vais encore parler de la thérapie du Etats du Moi...

Mais si Laurenzo trouve son compte dans vos explications, j'en serais ravie pour lui.

A lui de nous le dire...
Intemporelle,

Si la thérapie cognitivo comportementale peut, à vos yeux être intégrée a tout le reste, je ne vois vraiment pas le problème qui se pose à vous. Toutefois, je n'utilise pas seulement les distorsions cognitives, même si, seulement avec elles, on pourrait probablement traiter une bonne partie du problème de Laurenzo.

J'ai bien conscience du parcours thérapeutique de Laurenzo et j'affirme effectivement que les stratégies que je propose fonctionnent, particulièrement pour la dépression.

Naturellement, elles ne se limites pas à ce que vous en avez vu. Parfois, ne le prenez pas mal Intemporelle, vous jugez un peu vite. Vous ne savez même pas vraiment ou je veux en venir, ce que je veux faire et pourquoi je le fais, et déjà vous en parler comme si vous pouviez conclure sur sujet.

J'apprécie en général vos remarques... mais...
 
I

Intemporelle

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Ivan.67 à dit:
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Votre exemple de la lecture de pensée, c'est ce qu'on appelle "l'inférence arbitraire" dans les distorsions cognitives ; il en existe bien d'autres, comme la "pensée dichotomique", ou l'abstraction sélective" pour ne citer que celles-ci.

La thérapie cognito-comportementale est bien évidemment importante mais pour moi elle doit être intégrée à toutes les autres ainsi qu'avec l'aspect psychanalytique, enfin je veux dire avoir quelques notions de psychopathologies.

Bref, pour résumer, si vous pensez que votre pratique de bon sens peut être une technique suffisante pour la dépression, permettez moi d'en douter, et vu le parcours thérapeutique de Laurenzo, je maintiens ce que j'ai dit précédémment.

Faire appel à son enfant intérieur, qu'il lui donne la place qu'il n'a jamais pu prendre enfant, pour des raisons X, lui dire que maintenant qu'il est adulte il peut le faire grandir intérieur, ce processus d'intégration est pour moi essentielle, en passant par les émotions ressenties dans le corps et non projetées par le mental.

Cette rencontre avec l'enfant intérieur est une 1ère étape et peut être suffisante, mais il est aussi possible qu'une autre partie du Moi refuse cette intégration, mais là je vais encore parler de la thérapie du Etats du Moi...

Mais si Laurenzo trouve son compte dans vos explications, j'en serais ravie pour lui.

A lui de nous le dire...
Intemporelle,

Si la thérapie cognitivo comportementale peut, à vos yeux être intégrée a tout le reste, je ne vois vraiment pas le problème qui se pose à vous.
Mais je n'ai aucun problème ... :roll:

Toutefois, je n'utilise pas seulement les distorsions cognitives, même si, seulement avec elles, on pourrait probablement traiter une bonne partie du problème de Laurenzo.
Je n'en suis pas si sûre... c'est justement pour ça que je trouve que cette thérapie à elle seule à ses limites.

J'ai bien conscience du parcours thérapeutique de Laurenzo et j'affirme effectivement que les stratégies que je propose fonctionnent, particulièrement pour la dépression.
Perso, pour moi, cette stratégie n'est pas suffisante, vous avez votre opinion, j'ai également la mienne. :D

Naturellement, elles ne se limites pas à ce que vous en avez vu. Parfois, ne le prenez pas mal Intemporelle, vous jugez un peu vite.
Je ne juge pas, je dialogue avec vous et nos expériences, je ne fais que lire vos propositions et j'y rajoute mes commentaires, en quoi cela vous froisse ?

Vous ne savez même pas vraiment ou je veux en venir, ce que je veux faire et pourquoi je le fais, et déjà vous en parler comme si vous pouviez conclure sur sujet.
Et bien je redis ce que je viens de dire juste au dessus, je ne conclue rien, je ne fais qu'apporter mes doutes sur ce que vous avancez et mes propres convictions travaillant beaucoup sur le sujet.

J'apprécie en général vos remarques... mais...
Mais quoi ? ...

Moi je suis ravie de partager nos divergences, c'est ce qui fait avancer... :D


Bon je vais laisser la place à Laurenzo, car c'est son post au final
 
Ivan Schmitt

Ivan Schmitt

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Votre exemple de la lecture de pensée, c'est ce qu'on appelle "l'inférence arbitraire" dans les distorsions cognitives ; il en existe bien d'autres, comme la "pensée dichotomique", ou l'abstraction sélective" pour ne citer que celles-ci.

La thérapie cognito-comportementale est bien évidemment importante mais pour moi elle doit être intégrée à toutes les autres ainsi qu'avec l'aspect psychanalytique, enfin je veux dire avoir quelques notions de psychopathologies.

Bref, pour résumer, si vous pensez que votre pratique de bon sens peut être une technique suffisante pour la dépression, permettez moi d'en douter, et vu le parcours thérapeutique de Laurenzo, je maintiens ce que j'ai dit précédémment.

Faire appel à son enfant intérieur, qu'il lui donne la place qu'il n'a jamais pu prendre enfant, pour des raisons X, lui dire que maintenant qu'il est adulte il peut le faire grandir intérieur, ce processus d'intégration est pour moi essentielle, en passant par les émotions ressenties dans le corps et non projetées par le mental.

Cette rencontre avec l'enfant intérieur est une 1ère étape et peut être suffisante, mais il est aussi possible qu'une autre partie du Moi refuse cette intégration, mais là je vais encore parler de la thérapie du Etats du Moi...

Mais si Laurenzo trouve son compte dans vos explications, j'en serais ravie pour lui.

A lui de nous le dire...
Intemporelle,

Si la thérapie cognitivo comportementale peut, à vos yeux être intégrée a tout le reste, je ne vois vraiment pas le problème qui se pose à vous.
Mais je n'ai aucun problème ... :roll:

Toutefois, je n'utilise pas seulement les distorsions cognitives, même si, seulement avec elles, on pourrait probablement traiter une bonne partie du problème de Laurenzo.
Je n'en suis pas si sûre... c'est justement pour ça que je trouve que cette thérapie à elle seule à ses limites.

J'ai bien conscience du parcours thérapeutique de Laurenzo et j'affirme effectivement que les stratégies que je propose fonctionnent, particulièrement pour la dépression.
Perso, pour moi, cette stratégie n'est pas suffisante, vous avez votre opinion, j'ai également la mienne. :D

Naturellement, elles ne se limites pas à ce que vous en avez vu. Parfois, ne le prenez pas mal Intemporelle, vous jugez un peu vite.
Je ne juge pas, je dialogue avec vous et nos expériences, je ne fais que lire vos propositions et j'y rajoute mes commentaires, en quoi cela vous froisse ?

Vous ne savez même pas vraiment ou je veux en venir, ce que je veux faire et pourquoi je le fais, et déjà vous en parler comme si vous pouviez conclure sur sujet.
Et bien je redis ce que je viens de dire juste au dessus, je ne conclue rien, je ne fais qu'apporter mes doutes sur ce que vous avancez et mes propres convictions travaillant beaucoup sur le sujet.

J'apprécie en général vos remarques... mais...
Mais quoi ? ...

Moi je suis ravie de partager nos divergences, c'est ce qui fait avancer... :D


Bon je vais laisser la place à Laurenzo, car c'est son post au final

Que ce ne soit peut-être pas immédiatement suffisant, ça je vous le laisse... Je ne crois pas, qu'une dépression, notamment lorsqu'elle est profonde (ou plutôt déployée sur beaucoup de sphères de la vie) puisse se traiter avec une stratégie unique, un peu comme si l'on avalait un antidépresseur et puis ça va mieux.

Je suis également ravie de partager nos divergences... et nos complémentarités.
 
I

Intemporelle

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Ivan.67 à dit:
Intemporelle à dit:
Ivan.67 à dit:
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Ivan (avec un i) :wink:

Votre exemple de la lecture de pensée, c'est ce qu'on appelle "l'inférence arbitraire" dans les distorsions cognitives ; il en existe bien d'autres, comme la "pensée dichotomique", ou l'abstraction sélective" pour ne citer que celles-ci.

La thérapie cognito-comportementale est bien évidemment importante mais pour moi elle doit être intégrée à toutes les autres ainsi qu'avec l'aspect psychanalytique, enfin je veux dire avoir quelques notions de psychopathologies.

Bref, pour résumer, si vous pensez que votre pratique de bon sens peut être une technique suffisante pour la dépression, permettez moi d'en douter, et vu le parcours thérapeutique de Laurenzo, je maintiens ce que j'ai dit précédémment.

Faire appel à son enfant intérieur, qu'il lui donne la place qu'il n'a jamais pu prendre enfant, pour des raisons X, lui dire que maintenant qu'il est adulte il peut le faire grandir intérieur, ce processus d'intégration est pour moi essentielle, en passant par les émotions ressenties dans le corps et non projetées par le mental.

Cette rencontre avec l'enfant intérieur est une 1ère étape et peut être suffisante, mais il est aussi possible qu'une autre partie du Moi refuse cette intégration, mais là je vais encore parler de la thérapie du Etats du Moi...

Mais si Laurenzo trouve son compte dans vos explications, j'en serais ravie pour lui.

A lui de nous le dire...
Intemporelle,

Si la thérapie cognitivo comportementale peut, à vos yeux être intégrée a tout le reste, je ne vois vraiment pas le problème qui se pose à vous.
Mais je n'ai aucun problème ... :roll:

Toutefois, je n'utilise pas seulement les distorsions cognitives, même si, seulement avec elles, on pourrait probablement traiter une bonne partie du problème de Laurenzo.
Je n'en suis pas si sûre... c'est justement pour ça que je trouve que cette thérapie à elle seule à ses limites.

J'ai bien conscience du parcours thérapeutique de Laurenzo et j'affirme effectivement que les stratégies que je propose fonctionnent, particulièrement pour la dépression.
Perso, pour moi, cette stratégie n'est pas suffisante, vous avez votre opinion, j'ai également la mienne. :D

Naturellement, elles ne se limites pas à ce que vous en avez vu. Parfois, ne le prenez pas mal Intemporelle, vous jugez un peu vite.
Je ne juge pas, je dialogue avec vous et nos expériences, je ne fais que lire vos propositions et j'y rajoute mes commentaires, en quoi cela vous froisse ?

Vous ne savez même pas vraiment ou je veux en venir, ce que je veux faire et pourquoi je le fais, et déjà vous en parler comme si vous pouviez conclure sur sujet.
Et bien je redis ce que je viens de dire juste au dessus, je ne conclue rien, je ne fais qu'apporter mes doutes sur ce que vous avancez et mes propres convictions travaillant beaucoup sur le sujet.

J'apprécie en général vos remarques... mais...
Mais quoi ? ...

Moi je suis ravie de partager nos divergences, c'est ce qui fait avancer... :D


Bon je vais laisser la place à Laurenzo, car c'est son post au final

Que ce ne soit peut-être pas immédiatement suffisant, ça je vous le laisse... Je ne crois pas, qu'une dépression, notamment lorsqu'elle est profonde (ou plutôt déployée sur beaucoup de sphères de la vie) puisse se traiter avec une stratégie unique, un peu comme si l'on avalait un antidépresseur et puis ça va mieux.

Je suis bien d'accord, mais moi je voulais simplement appuyer sur le fait qu'un simple bon sens est donc loin d'être suffisant.

Toutefois un antidépresseur est parfois nécessaire afin que l'individu retrouve un peu de stabilité émotionnelle, car la dépression entraîne un ensemble de symptôme parfois invivables. Donc les AD feront leur effets chimiques mais ne traitera pas le conflit intérieur de l'individu.


Je suis également ravie de partager nos divergences... et nos complémentarités.

Tout à fait !
 
L

laurenzo

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Bonsoir,

Je n'ai pas encore appliqué vos nouveaux conseils et répondrai donc à vos différents messages dans quelques jours lorsque ce sera fait.

Je vois vos approches comme complémentaires et elles vont dans le sens qui me convient:

1) Me reconnecter aux émotions, aux souvenirs, utiliser mes ressentis pour en finir avec ces angoisses. Cela peut aussi passer par des techniques comme l'EFT et l'EMDR (merci ici à Intemporelle et à Valikor pour leurs conseils)

2) Apprendre à avoir une attitude plus saine envers mes pensées, si certaines provoquent de la souffrance ou des blocages, autant s'en passer dans la mesure du possible (merci à Ivan et à Katia ici).

3) Pourquoi pas piocher dans certains concepts pour modifier ma philosophie de vie, toutes les approches sont intéressantes (merci ici à Xorguina, Léo et Paul). J'ai lu l'ouvrage d'Eckhart Tollé par exemple récemment.

Bon ça fait très acteur qui reçoit un Oscar (merci à mon producteur et à mes 3 maitresses) mais je tenais à remercier les membres du forum qui donnent de leur temps pour m'aider, merci bc.

Juste une petite précision par rapport à un autre message que j'ai écrit récemment: je ne suis pas dépressif (aucun psy ne m'a jamais considéré comme dépressif), j'ai traversé un état dépressif récemment du fait d'une accumulation de problèmes physiques (certains ayant pour origine des angoisses, pas tous), au bout de quelques mois ça a complètement mangé mon énergie et je commençais à me noyer.
Pas que je veuille absolument passer à côté de l'étiquette "dépressif" mais mes problèmes sont essentiellement des angoisses qui donnent lieu à des somatisations. P-e cela peut-il modifier un peu la façon de l'approcher (ou pas je ne sais pas).

Encore merci !
 
I

Intemporelle

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laurenzo à dit:
Bonsoir,
Pas que je veuille absolument passer à côté de l'étiquette "dépressif" mais mes problèmes sont essentiellement des angoisses qui donnent lieu à des somatisations. P-e cela peut-il modifier un peu la façon de l'approcher (ou pas je ne sais pas).

Quand vous dites qu'aucun psy ne vous a "étiqueté" de dépressif, mais pour vous c'est quoi un dépressif ?

Néanmoins, vous n'êtes peut être pas dépressif, mais seulement une anxieté généralisée provoquent tous les symptômes/somatisations déjà évoqués.

Vous savez il y a 3 types de dépressifs, mais au final peu importe.

Prenez le temps de digérer toutes ces informations.

J'espère toutefois que cela ne va à l'encontre du travail que vous faites avec votre thérapeute.
 
surderien

surderien

Toujours savoir trouver le plaisir de chercher…
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« L'affaire Laurenzo » c'est est un vrai roman policier : 47 pages déjà...

oscar du meilleur roman polar ?

et tant de lecteurs fins limiers qui s'efforcent d'en résoudre l'énigme


mais n'oublions pas que c'est l'auteur de ce roman qui en a la clef !

les lecteurs se contentent d'essayer de comprendre le scénario

sauf qu'ici on est en live et qu'on interfère à chaque intervention dans la suite du scénario

du moins le croit-on ?

:?
 
xorguina

xorguina

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Pays basque
laurenzo à dit:
Bonsoir,

Je n'ai pas encore appliqué vos nouveaux conseils et répondrai donc à vos différents messages dans quelques jours lorsque ce sera fait.

Je vois vos approches comme complémentaires et elles vont dans le sens qui me convient:

1) Me reconnecter aux émotions, aux souvenirs, utiliser mes ressentis pour en finir avec ces angoisses. Cela peut aussi passer par des techniques comme l'EFT et l'EMDR (merci ici à Intemporelle et à Valikor pour leurs conseils)

2) Apprendre à avoir une attitude plus saine envers mes pensées, si certaines provoquent de la souffrance ou des blocages, autant s'en passer dans la mesure du possible (merci à Ivan et à Katia ici).

3) Pourquoi pas piocher dans certains concepts pour modifier ma philosophie de vie, toutes les approches sont intéressantes (merci ici à Xorguina, Léo et Paul). J'ai lu l'ouvrage d'Eckhart Tollé par exemple récemment.

Bon ça fait très acteur qui reçoit un Oscar (merci à mon producteur et à mes 3 maitresses) mais je tenais à remercier les membres du forum qui donnent de leur temps pour m'aider, merci bc.


Héhé !! Je préfère te voir acteur de ton film et recevoir un oscar plutot que spectateur :D

Tu te souviens quand tu écris sur une autre page que tu es observateur et que je t'ai dit que ct là pour moi ton problème :idea:

Mais dit moi...tu es un petit coquin ! car si tu commence à prendre conscience que ce film qui se joue n'est que le tien, ta propre réalisation, tu comprends que nous en faisons volontier partie et tu sous entends que tu veux ta récompense d'une de tes maitresses :idea:

Alors je vais jouer avec toi à la maitresse....tu sait quoi, pour avoir une récompense de la maitresse il faut être sage et je te trouve pas très sage, je trouve que tu a été un très vilain petit garçon , tu as fais une grosse bétise et tu ne mérites qu' une BONNE fessée :lol:


Juste une petite précision par rapport à un autre message que j'ai écrit récemment: je ne suis pas dépressif (aucun psy ne m'a jamais considéré comme dépressif), j'ai traversé un état dépressif récemment du fait d'une accumulation de problèmes physiques (certains ayant pour origine des angoisses, pas tous), au bout de quelques mois ça a complètement mangé mon énergie et je commençais à me noyer.
Pas que je veuille absolument passer à côté de l'étiquette "dépressif" mais mes problèmes sont essentiellement des angoisses qui donnent lieu à des somatisations. P-e cela peut-il modifier un peu la façon de l'approcher (ou pas je ne sais pas).

Tu as bien compris que ce n'était qu'une étiquette et que tu n'es pas celà...tu es plus que ça ! ettu t'es étiquetté angoissé ducoup ton adn et toute tes cellules répondent aux maitre du jeu et ne veulent surtout pas le contrarier dans sa croyance..........et ça !!!....... c'est une GROSSE bétise...tu vas avoir ta fessée ! :lol:

Les choses sont ce qu'elles sont pensées :idea:


Encore merci !
 
L

laurenzo

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Bonjour à tous,

Alors voilà où j'en suis depuis mes derniers posts:

- J'ai continué à prendre l'AD prescrit par mon médecin. Point positif je ne me sens pas du tout shooté ou coupé de mes émotions (j'ai un dosage relativement faible apparemment). Ca m'a aidé dans une période où j'avais bc de symptômes et où j'en étais à une sorte d'épuisement, une déprime réactionnelle probablement. Par contre aucun impact sur mes symptômes "habituels": nausées, fatigue, oppressions matinales...

- Je poursuis le travail avec la psychologue dont je vous avais parlé. Un peu frustré ces temps-ci, j'ai l'impression de stagner, l'impression de ne pas aller au fond des choses (séances de 40 minutes, je pense être un peu diesel donc c'est souvent court pour moi).

- Je continue à me connecter à mes émotions, à faire de l'AH, un peu de méditation.

- Je suis les conseils d'Ivan en me détachant des pensées parasites lorsque j'ai des symptômes. Ca permet d'économiser un peu de carburant mais ça n'empêche pas les symptômes physiques jusqu'à présent.

- Je pense qu'il me serait utile de consulter en parallèle de ma psy actuelle un thérapeute avec qui le format des séances serait moins minuté et où je pourrais aller encore plus en profondeur. Ca me frustre pas mal quand j'arrive à bien me plonger dans une situation passée d'être arrêté en plein milieu parce que la séance arrive à son terme, l'impression de passer à côté de quelque chose.

Si certains ont des réactions c'est toujours intéressant, bonne journée !
 
I

Intemporelle

Invité
Laurenzo, rappelez moi votre psychologue est également hypnothérapeute ou pas du tout ? effectivement 40 mn c'est un court...

Combien de séances en cours avec elle ? je suis quand même un peu surprise que vos symptômes nausées, oppressions soient toujours d'actualité... :roll:
 
L

laurenzo

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Non elle n'est pas hypnothérapeute, psychologue plutôt analytique je dirais mais qui travaille sur les émotions. 1 séance par semaine depuis environ 2 ans donc oui ça commence à faire long...
 
I

Intemporelle

Invité
laurenzo à dit:
Non elle n'est pas hypnothérapeute, psychologue plutôt analytique je dirais mais qui travaille sur les émotions. 1 séance par semaine depuis environ 2 ans donc oui ça commence à faire long...

hum hum... ceci explique cela... :roll: :idea:

Comment pouvez vous travailler sur les émotions sur un plan conscient ?
Les stimulations alternatives (sous hypnose) peuvent faire ce travail en profondeur et de façon définitive...
 
L

laurenzo

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En général, je ferme les yeux et je me connecte à un évènement passé, le raconte, laisse remonter les émotions. Comme je le disais, étant un peu lent pour bien me connecter à ces épisodes passés, il me manque probablement un peu de temps durant ces séances.
 
I

Intemporelle

Invité
laurenzo à dit:
En général, je ferme les yeux et je me connecte à un évènement passé, le raconte, laisse remonter les émotions. Comme je le disais, étant un peu lent pour bien me connecter à ces épisodes passés, il me manque probablement un peu de temps durant ces séances.

J'ai bien compris, vous avez déjà fait beaucoup de progrès pour vous connecter à vos émotions, néanmoins il manque quelques techniques à votre psychologue pour terminer ce travail, bien sûr c'est mon point de vue connaissant les difficultés d'un travail sur soi... :D
 
L

laurenzo

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Je pense qu'il manque effectivement quelque chose pour avancer plus. Je crois qu'une thérapie avec pas mal de souplesse dans le fonctionnement me conviendrait bien.
 
papusza

papusza

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:lol: En manque t'il encore plutot beaucoup ou plutot qu'un petit peu ?

Qu'est ce qui est présent ?

Voyez si je me concentre sur ce que je n'ai pas, eh bien la liste serait très longue, très longue. Il y a beaucoup de choses que je n'ai pas. (un plus grand bocal par exemple) Ca me rendrait presque triste.

Mais j'ai des choses aussi. Vous vous n'avez rien ou presque rien ? Vous avez bien regardé ?
 
L

laurenzo

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Ah je n'ai pas dit que je n'avais rien ou presque rien. Disons dans ce que j'ai, je voudrais zapper ces symptômes qui me dérangent pas mal.
 
I

Intemporelle

Invité
laurenzo à dit:
Je pense qu'il manque effectivement quelque chose pour avancer plus. Je crois qu'une thérapie avec pas mal de souplesse dans le fonctionnement me conviendrait bien.

Pas vraiment dans la souplesse, plus dans la technique : les stimulations alternatives, vous repositionner dans vos croyances dysfonctionelles, etc, amène un travail en profondeur.

C'est pour ça que vous ressentez cette stagnation à ce jour.
 
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