antoine lagorce
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Bonjour,
voilà une question assez compliquée a résumer.
A chaque fois que je me sens en infériorité, un coup de fatigue, de la tristesse, une contrariété, angoisse... J'ai une peur panique du viol.
Je suis un homme, c'est assez rare apparemment, et depuis tout petit ça se passe comme ça.
Également, quand j'entends parler de violences sexuelles, qu'on la mime dans un film, ou qu'il en est fait seulement évocation (de même lorsque je suis témoin d'une drague trop appuyée, ou d'une domination écrasante par exemple), je ressens un traumatisme violent qui met de long jours, voire semaines à cicatriser.
Les thérapeutes que j'ai consultés n'ont pas décelé d'abus sexuel dans mon enfance, même s'ils n'ont jamais fait d'hypnose régressive.
Certains pense que le fait que mon père se promenait nu à la maison puisse avoir créé une ambiance dévalorisante pour l'homme.
Pour ma part je me demande s'il ne s'agit pas d'une sorte de complexe de castration infantilisé, le sentiment d'abattement étant si grand.
Peut être aussi une demande d'affection trop forte, la peur qu'elle ne soit pas comprise?
J'ai un peu tout supposé.
Qu'en pensez-vous?
voilà une question assez compliquée a résumer.
A chaque fois que je me sens en infériorité, un coup de fatigue, de la tristesse, une contrariété, angoisse... J'ai une peur panique du viol.
Je suis un homme, c'est assez rare apparemment, et depuis tout petit ça se passe comme ça.
Également, quand j'entends parler de violences sexuelles, qu'on la mime dans un film, ou qu'il en est fait seulement évocation (de même lorsque je suis témoin d'une drague trop appuyée, ou d'une domination écrasante par exemple), je ressens un traumatisme violent qui met de long jours, voire semaines à cicatriser.
Les thérapeutes que j'ai consultés n'ont pas décelé d'abus sexuel dans mon enfance, même s'ils n'ont jamais fait d'hypnose régressive.
Certains pense que le fait que mon père se promenait nu à la maison puisse avoir créé une ambiance dévalorisante pour l'homme.
Pour ma part je me demande s'il ne s'agit pas d'une sorte de complexe de castration infantilisé, le sentiment d'abattement étant si grand.
Peut être aussi une demande d'affection trop forte, la peur qu'elle ne soit pas comprise?
J'ai un peu tout supposé.
Qu'en pensez-vous?