katia (zoulouk)
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Des morts vivants, il y en a beaucoup....
Des personnes qui ont abandonné, qui acceptent de souffrir faute de savoir faire autre chose et qui ne sont absolument pas en demande de quoi que ce soit.
Ca s'appelle de la résignation
Un exemple d'un discours entendu il y a très peu:
Je choisis de ne pas parler, parce que mon mari ne veut pas que je parle. D'ailleurs on se parle presque jamais. Dans la voiture, je me fais toute petite et je ne bouge pas, parce que mon mari n'aime pas que je le touche. Le toucher, c'est le deranger.
Avec mes amies, je ne parle pas non plus, parce qu'elles ont tellement de choses à dire, que je les laisse parler.
Ce que je dis n'interesse personne, alors je me tais.
Et ceci est une "analyse", comme un fait allant de soi, où il n'y a rien à changer.
C'est la non confiance en soi acquise, doublée d' une estime de soi très faible, devenue naturelles
Et de plus avec la volonté d'y rester.... c'est comme cela, c'est une identité. (il y a d'autres identités préférables, mais pour la personne ce n'est pas évident du tout, c'est la meilleure qu'elle ait trouvé!)
Au départ, surement cet enfant était joueur, avide de decouvrir le monde, joyeux et triste suivant l'emotion du moment, du présent, mais c'est après que cela se gâte... avec les évènements de la vie et la façon d'y réagir.
Des personnes qui ont abandonné, qui acceptent de souffrir faute de savoir faire autre chose et qui ne sont absolument pas en demande de quoi que ce soit.
Ca s'appelle de la résignation
Un exemple d'un discours entendu il y a très peu:
Je choisis de ne pas parler, parce que mon mari ne veut pas que je parle. D'ailleurs on se parle presque jamais. Dans la voiture, je me fais toute petite et je ne bouge pas, parce que mon mari n'aime pas que je le touche. Le toucher, c'est le deranger.
Avec mes amies, je ne parle pas non plus, parce qu'elles ont tellement de choses à dire, que je les laisse parler.
Ce que je dis n'interesse personne, alors je me tais.
Et ceci est une "analyse", comme un fait allant de soi, où il n'y a rien à changer.
C'est la non confiance en soi acquise, doublée d' une estime de soi très faible, devenue naturelles
Et de plus avec la volonté d'y rester.... c'est comme cela, c'est une identité. (il y a d'autres identités préférables, mais pour la personne ce n'est pas évident du tout, c'est la meilleure qu'elle ait trouvé!)
Au départ, surement cet enfant était joueur, avide de decouvrir le monde, joyeux et triste suivant l'emotion du moment, du présent, mais c'est après que cela se gâte... avec les évènements de la vie et la façon d'y réagir.