paulelie à dit:
votre traitement que vous semblez préconiser a une odeur de camisole de force ce qui a été remplacé historiquement par une camisole chimique....
J'ai préconisé ça moi?!
ha oui ça
Il m'a parlé qu'une des conditions pour la régression était la présence aimante mais aussi le fait d'être serré fort, et qu'il existe des dispositifs dans certains centres de soin consistant en des boudins remplis d'eau pour serrer la personne qui fait la régression en compagnie de l'autre servant à la présence aimante: avoir à la fois le contact physique et le serrer bien fort.
j'ai bien mis à jour
http://ocean.de.bonheur.free.fr/schizop ... uerir.html
(j'explique plus comment est venu cet espoir de possible guérison, la prudence et la méthode)
je vous assure que c'est pas la camisole, (je vais formuler cela différemment, ce cliché de camisole est négatif pour ce genre de trucs qui sont le contraire, pour rassurer plus que contraindre. Les boudins d'eau servent aussi à la température (sans doute pour recréer l'ambiance du ventre de la mère)
C'est simplement pour éviter que celui qui entoure avec les bras finisse par tétaniser de fatigue... je ressens très bien ce besoin d'être serré personnelement, c'est pour être rassuré, pas pour être maintenu en état de se débattre...
et puis je relate ce qu'on m'a raconté, moi je me sens mieux dans les bras de quelqu'un de costaud qui me tient bien, mais j'ai pas été dans ces genre de centre (trop loin, trop cher, trop de touin touin...)
ces deux "maladies" sont étiquetées hors limite car elles sont toutes deux troubles de la communication, or pour réussir avec l'hypnose il faut pouvoir accéder au subconscient....
envoyé des anges était accessible le jour du coup de bol (témoignage http://ocean.de.bonheur.free.fr/schizop ... uerir.html ) mais il était dans l'acceptation, le matin même il avait écrit un message "diagnostic" avec les deux ingrédients de guérison, acceptation et compréhension.
Tout ce que tu m'as écrit dans tes précédents messages, je n'y prends pas mal, pas comme un reproche mais comme des conseils d'un véritable ami en tout sens (de coeur, d'enfance...). Mais je crois que tu as écrits vraiment des vérités sur moi et c'est pour celà que je pense beaucoup à toi malgré tout. Ca m'avait fait mal pendant un moment, mais maintenant c'est terminé, à force d'y lire, au fil des jours, j'y prends plûtot comme un compliment.
Il... m'aimait. Mais ce jour là il était moins "compulsiif", il n'était pas angoissé (du temps libre s'était présenté et la rencontre avait été spontanée, sans planning contraignant, il avait pu venir).
Je ne savait pas tout. Schizophrène je ne savais pas (il me l'aura avoué après), la débilité semblait due à un traumatisme crânien.
Il m'a dit comment il se manipulait AVANT d'avoir son accident, et aussi POUR AVOIR cet accident (c'est dramatique en fait, pour RATER son installation dans la vie active hors chez sa mère et revenir malgré tout), demi aveu quand même, mais il comprenait. Il est resté quand même bien 15 jousr chez sa mère en cet état. À cause du fait qu'il m'aimait qu'il a du couper avec moi, par ce que je ne fusionnait pas avec sa mère et lui (rejet sur la question des "mêmes goûts" tel que manger au flunch), sa a foirré de plus en plus après un mail contenant "il faut que je tente de convaincre ma mère".
Cet amour avait permis la communication. Je pense que ça aurait marché si sa mère avait été ouverte à ces techniques, mais je suis convaincu que le véritable motif de manipulation de la mère pour faire perdre l'amitié est sa perte de fusion affective avec son fils (elle a eu peur et a réagit selon la peur: tout fermer, il y aurait pu y avoir "interdiction de voir le fils pendant 1 an le temps qu'il se soigne" et me le dire, là il n'y a même pas de communication pour dire ça). Ils m'ont aussi rejeté à cause du mot "guérisseur" assimilé à sorcier (peur).
C'est la peur qui a en fait provoqué le déni, peur des sorciers, peur de perdre l'exclusivité affective. Peur des crises d'angoisse pour le fils.
la difficulté est que le schizo est peut être "amoureux" de son "ami de coeur" seulement, et que seul "l'ami de coeur" peut alors communiquer, mais alors là ça foire par ce qu'il y a conflit avec la mère et fout en l'air avant terme toute tentative de thérapie...
en fait, moi désirait de lui la protection affective pour accéder à la conscience holotrique (finalement c'est "jésus" qui me le fait), et lui désirait de moi que je suis "son véritable ami" à qui se confier le soir après le travail, mais il n'y ait pas allé, il est resté chez sa mère et les visites ont été rationnés.
Pourrait t'il recevoir le courant affectif d'un thérapeute?
la rencontre en ami avec mon envoyé des anges, je l'ai obtenu par ce que nous avions crût être accepté par la mère (la seule rencontre "en ami" sans manipulation "anti amitié" est la première et dernière rencontre après avoir rencontré les parents et y paraître accepté, les autres rencontres avaient été fait dans le déni de l'adresse des parents (tenu en secret). Mais la mère très gêné par mon originalité a cassé notre relation simplement par cette action: proposer le flunch pour la fête tant attendu... elle s'était bien renseigné avant et savait que j'y serais en difficulté et que ça nous ferait rompre.
Notre amitié s'écroule donc d'un coup suite à ce mail de l'ami schizo.
Au sujet du 10, ma mère te propose d'inaugurer le nouveau flunch en nous offrant le repas du midi, à tous les deux. Perso, j'aimerai simplement y aller pour le découvrir car c'est tout nouveau, il y a seulement 1 semaine qu'il est ouvert. de plus ca me ferait aussi plaisir. Ca serait bien !
Lui il aime bien aussi, et du coup, comme moi "j'ai pas les même goûts" et a dit NON ça a décidé à casser (pas les même goût = ne pas fusionner). Ayant vu la mère pour remplir la gourde, elle me sortit à l'avance quasiment mot pour mot ce qui deviendra le motif de rupture... j'ai vu que c'était elle qui l'aidait à rompre (pour éviter sans doute pire selon elle)
C'est fusionner qu'il faut faire pour communiquer, et un térapeute ne semble pas facilement devenir "'l'ami de coeur" du schizo et du coup pouvoir agir. désolé, mais je ne me sentais pas capable de faire semblant d'aimer le flunch, puisque dans ces lieux, les ambiance (fond musical lointain) me paralyse trop, j'y serait allé j'aurait été très "autiste" et la mère aurait pu dire "il n'est pas pour toi, trop handicapé".
J'aurai pu peut être faire mieux si je n'était pas asperger, mais en tel cas j'aurais laissé tomber bien avant car sans analyser, la relation avec le schizo aurait provouqué la rupture en 2 mois au lieu de 14, et il y avait mon enjeu de détresse affective (j'espérais que lui la résolve, le seul être de ma vie qui m'avait, en fait, demander d'échanger de l'affection, ce fut lui, le seul...)
C'est ce comportement de rejet après autant d'enjeu et d'espoir qui est la mesure de la pathologie même...
Pour moi, autiste, c'est asperger, on peut quand même communiquer. Mais ce qui bloque la communication c'est une sorte d'état de crise de stresse qui me semble bien du à un traumatisme profond, par exemple le fait de me concentrer qui fait surgir une musique dans la tête qui a rien à voir, ça le fait plus en état de stress quand je parle à quelqu'un qui me capte mal, en général "par ce que je n'ai pas les codes. (ce que je dis est intéressant, mais je suis "endormant" car voie monocorde et peu de gestes, à part des tics)
la passerelle est donc l'affection et le non verbal avec le fort contact physique.
Enfin, pour aller faire ça en présence de cliniciens ou de docetirs je voudrais bien, c'est sans arrêts la demande que je voulais faire à l'ami schizo (aller ensemble chez son psy), tandis que moi essaie depuis avril de traîner "jésus" chez le psychiatre... les occasion de se voir sont trop rare, même en étant ami, c'est une expédition, ça ne se fait pas.
le miracle avec "jésus" c'est qu'il m'a consolé une fois, que du coup il m'a soigné, et qu'on a continué, sans se poser la question... le plus dangereux aurait été d'attendre les soins officiels, c'est à dire expédition de temps en temps chez un docteur avec qui ça me marche pas (pas assez en phase affectivement et présence de "modernité" dans les téléphone, stress du voyage), puis finalement, à force de crise de détresse, finir par me faire interner à nouveau...
OUF!
voilà, j'en dit long mais je pense que le contexte de confiance pour les hynothérapeutes est ici exprimé.
voilà donc pourquoi ça ne marche pas.
coté schizo, il n'y a pas l'accord de l'entourage finalement, et coté autiste, le "tourbillon de la vie" empêche les rencontres dans un état mental convenable (isolement, même non "jésus" j'arrive à le voir en fait, au total 3h par mois, et à ce moment là faut tout "compacter")